Occurences de l'expression
d
pour DORAT, Claude-Joseph
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LA FEINTE PAR AMOUR (1773)
- Ce que c'est d'habiter dans le même logis ! v.1 (Acte 1, scène 1, GERMAIN)
- Quel motif peut ici te conduire ? v.3 (Acte 1, scène 1, GERMAIN)
- Un billet qu'à Damis, Mélise vient d'écrire. v.4 (Acte 1, scène 1, DORINE)
- Billet_doux ? v.5 (Acte 1, scène 1, GERMAIN)
- Il suffit ; tout va se déclarer. v.5 (Acte 1, scène 1, DORINE)
- Tu n'aimes point Damis ? v.6 (Acte 1, scène 1, GERMAIN)
- Et comment l'endurer ? v.6 (Acte 1, scène 1, DORINE)
- Monsieur apparemment craint de se compromettre. v.8 (Acte 1, scène 1, DORINE)
- C'est un air, c'est un ton équivoque et discret, v.9 (Acte 1, scène 1, DORINE)
- Un feu sourd qui veut naître et soudain disparaît. v.10 (Acte 1, scène 1, DORINE)
- Je veux, moi, qu'en aimant l'on bavarde, l'on rie, v.11 (Acte 1, scène 1, DORINE)
- Qu'on ait le diable au corps. v.13 (Acte 1, scène 1, GERMAIN)
- Ton Damis ne l'a pas. v.13 (Acte 1, scène 1, DORINE)
- Il est du plus beau froid !... v.14 (Acte 1, scène 1, DORINE)
- Il te faut des éclats, v.14 (Acte 1, scène 1, GERMAIN)
- Des soins... marqués. v.15 (Acte 1, scène 1, GERMAIN)
- Sur ce pied-là mon maître ; v.15 (Acte 1, scène 1, GERMAIN)
- Neuf ou dix mois plus tôt était ton fait peut-être. v.16 (Acte 1, scène 1, GERMAIN)
- Prodiguer, comme un autre, et son coeur et sa foi. v.18 (Acte 1, scène 1, GERMAIN)
- Il est vrai qu'aujourd'hui ce n'est plus le même homme, v.19 (Acte 1, scène 1, GERMAIN)
- Non, depuis sa réforme, il n'est plus à mon gré ; v.22 (Acte 1, scène 1, GERMAIN)
- De quels graves motifs sa réforme a pu naître. v.24 (Acte 1, scène 1, DORINE)
- Que pour certaine femme il eut l'hiver dernier. v.26 (Acte 1, scène 1, GERMAIN)
- C'était un vrai lutin ne voulant que séduire v.27 (Acte 1, scène 1, GERMAIN)
- Attirant avec art, dans l'espoir d'éconduire, v.28 (Acte 1, scène 1, GERMAIN)
- Bien parjure, bien gai, de tout faisant un jeu : v.29 (Acte 1, scène 1, GERMAIN)
- Il alla brusquement l'étourdir d'un aveu ; v.30 (Acte 1, scène 1, GERMAIN)
- La dame s'en moqua, prit son vol de plus belle, v.31 (Acte 1, scène 1, GERMAIN)
- Et voilà vingt amants attroupés autour d'elle. v.32 (Acte 1, scène 1, GERMAIN)
- Le dépit, la fureur, la plainte étaient son lot : v.33 (Acte 1, scène 1, GERMAIN)
- Depuis cet accident, il a juré sans doute, v.35 (Acte 1, scène 1, GERMAIN)
- Voulant un autre sort, de prendre une autre route, v.36 (Acte 1, scène 1, GERMAIN)
- D'élaguer tes soupirs, les protestations v.37 (Acte 1, scène 1, GERMAIN)
- Et d'être moins alerte en déclarations. v.38 (Acte 1, scène 1, GERMAIN)
- Quelqu'amoureux qu'on soit, Dorine, Dieu fait comme v.39 (Acte 1, scène 1, GERMAIN)
- Quatre mois de rigueur découragent un homme. v.40 (Acte 1, scène 1, GERMAIN)
- Veuve d'un pédagogue appelé son mari, v.45 (Acte 1, scène 1, DORINE)
- Elle a pris dans le monde un maintien aguerri ; v.46 (Acte 1, scène 1, DORINE)
- Et de la liberté connaissant l'avantage, v.47 (Acte 1, scène 1, DORINE)
- Elle ne voudra plus tâter de l'esclavage. v.48 (Acte 1, scène 1, DORINE)
- D'honneur, l'indépendance est un état charmant ! v.49 (Acte 1, scène 1, DORINE)
- Les villes, le spectacle et les goûts du moment, v.50 (Acte 1, scène 1, DORINE)
- El le renom flatteur d'une femme citée, v.52 (Acte 1, scène 1, DORINE)
- Qui depuis plusieurs jours ont voilé ses attraits. v.54 (Acte 1, scène 1, DORINE)
- Fière d'accumuler conquête sur conquête, v.55 (Acte 1, scène 1, DORINE)
- Son unique désir, crois-moi, c'est de charmer : v.57 (Acte 1, scène 1, DORINE)
- Nous vous laissons le soin et l'embarras d'aimer. v.58 (Acte 1, scène 1, DORINE)
- Qu'il élude l'aveu... Ma foi cela nous pique. v.60 (Acte 1, scène 1, DORINE)
- Vous entendre gémir et soupirer vos feux v.61 (Acte 1, scène 1, DORINE)
- Moi, c'est là dans l'amour ce que j'aime le mieux. v.62 (Acte 1, scène 1, DORINE)
- Je suis tout stupéfait de ta délicatesse ! v.64 (Acte 1, scène 1, GERMAIN)
- Mon maître cependant, Mélise en conviendra, v.65 (Acte 1, scène 1, GERMAIN)
- Peut tourner une tête alors qu'il le voudra ; v.66 (Acte 1, scène 1, GERMAIN)
- Et j'ai, moi qui te parle, adopté son système v.67 (Acte 1, scène 1, GERMAIN)
- On se fait mieux aimer, ne disant pas qu'on aime. v.68 (Acte 1, scène 1, GERMAIN)
- J'ai donné dans le piège où lui-même il fut pris : v.69 (Acte 1, scène 1, GERMAIN)
- Ce qu'il m'en a coûté de soupirs et de larmes v.72 (Acte 1, scène 1, GERMAIN)
- Qu'il me vienne à présent quelqu'adroite soubrette. v.75 (Acte 1, scène 1, GERMAIN)
- Oui-dà ? v.76 (Acte 1, scène 1, DORINE)
- Par sa frivolité connu dans tout Paris, v.78 (Acte 1, scène 1, GERMAIN)
- Étourdi s'il en fut, grand conteur de sornettes, v.79 (Acte 1, scène 1, GERMAIN)
- Et trop distrait surtout, pour acquitter ses dettes ? v.80 (Acte 1, scène 1, GERMAIN)
- Dis ce qu'il te plaira. v.81 (Acte 1, scène 1, DORINE)
- Il doit, il se ruine. v.83 (Acte 1, scène 1, DORINE)
- On le dit. v.83 (Acte 1, scène 1, GERMAIN)
- Il subvient à propos aux langueurs de mon zèle v.84 (Acte 1, scène 1, DORINE)
- Donne sans trop compter et va toujours semant v.85 (Acte 1, scène 1, DORINE)
- Ce qui mène une intrigue et distingue un amant. v.86 (Acte 1, scène 1, DORINE)
- Comme il voudrait enfin avancer ses affaires, v.87 (Acte 1, scène 1, GERMAIN)
- N'a-t-il pas depuis peu doublé tes honoraires ? v.88 (Acte 1, scène 1, GERMAIN)
- Votre bon oncle est fou de Damis et de moi. v.90 (Acte 1, scène 1, GERMAIN)
- Il est vrai que Damis aujourd'hui s'en empare. v.91 (Acte 1, scène 1, DORINE)
- Ne me parle jamais de ce vieux éventé. v.93 (Acte 1, scène 1, DORINE)
- C'est le dernier qu'il voit dont il est entêté. v.94 (Acte 1, scène 1, DORINE)
- Ce qu'il veut le matin, le soir peut lui déplaire v.95 (Acte 1, scène 1, DORINE)
- Et lassé de ton maître, il voudra s'en défaire v.96 (Acte 1, scène 1, DORINE)
- Tête vague esprit faible et sans le moindre plan. v.97 (Acte 1, scène 1, DORINE)
- Ne fut-il pas jadis apprentif courtisan ? v.98 (Acte 1, scène 1, DORINE)
- Je riais de le voir, dans son humeur caustique, v.99 (Acte 1, scène 1, DORINE)
- S'ériger en penseur trancher du politique. v.100 (Acte 1, scène 1, DORINE)
- Ce ton a disparu maintenant c'est un autre. v.103 (Acte 1, scène 1, DORINE)
- On entre : c'est Damis... Il a l'air de rêver. v.105 (Acte 1, scène 1, DORINE)
- Il tient le portrait de Mélise elle-même v.107 (Acte 1, scène 2, GERMAIN)
- Voilà ces traits si doux, ce naïf enjouement v.109 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- Ces regards ou l'esprit est joint au sentiment. v.110 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- Heureuse illusion qui me rends sa présence, v.111 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- Je ne fais cependant ; ce portrait séducteur, v.113 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- Qu'est-ce qu'un bien qui pèse à la délicatesse ? v.116 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- N'est qu'un larcin, hélas ! Et dut être un bienfait. v.118 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- C'est que de ses bijoux il a fait la revue ; v.120 (Acte 1, scène 2, GERMAIN)
- C'est un portrait qu'il a tiré de son écrin. v.121 (Acte 1, scène 2, GERMAIN)
- De ces misères là nous tenions magasin. v.122 (Acte 1, scène 2, GERMAIN)
- Que dis-tu ? v.123 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- Je dis que quelque belle v.123 (Acte 1, scène 2, GERMAIN)
- Vous a sans doute fait cette faveur nouvelle. v.124 (Acte 1, scène 2, GERMAIN)
- Le drôle n'en croit rien. v.125 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- De Mélise ? v.126 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- Voyons : d'un vain espoir je me flatte peut-être... v.127 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- « Vos assiduités, j'aurais dû le prévoir, v.129 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- Fixent sur moi les yeux d'un monde susceptible. v.130 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- Échappons aux propos en cessant de nous voir. v.131 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- Quel que soit cet effort, j'ai cru me le devoir, v.132 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- Et votre calme heureux m'y rendra moins sensible. » v.133 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- Je dois récompenser, Dorine, un tel message. v.137 (Acte 1, scène 3, DAMIS)
- Ce procédé, Monsieur, est vraiment héroïque. v.141 (Acte 1, scène 3, DORINE)
- Qu'à prix d'or quelquefois on payât un congé, v.143 (Acte 1, scène 3, DORINE)
- L'argent est bien donné... quitte à prouver le reste. v.145 (Acte 1, scène 3, DORINE)
- Un congé, dites-vous ? v.146 (Acte 1, scène 3, DAMIS)
- J'ai vu, n'en doutez pas, composer ce billet ; v.147 (Acte 1, scène 3, DORINE)
- Tant pis, si votre orgueil est offensé du terme. v.149 (Acte 1, scène 3, DORINE)
- Je voulais de Mélise en cette occasion, v.150 (Acte 1, scène 3, DAMIS)
- Couvrir l'étourderie et l'indiscrétion : v.151 (Acte 1, scène 3, DAMIS)
- Votre maîtresse en moi trouve un ami docile, v.153 (Acte 1, scène 3, DAMIS)
- Pour souscrire à l'arrêt que son coeur a dicté. v.155 (Acte 1, scène 3, DAMIS)
- J'admire le biais dont vous prenez la chose. v.156 (Acte 1, scène 3, DORINE)
- Et ne murmurez pas d'un arrêt si soudain ? v.158 (Acte 1, scène 3, DORINE)
- D'un air indifférent. v.160 (Acte 1, scène 3, DORINE)
- Indifférent ? v.160 (Acte 1, scène 3, DAMIS)
- Sans doute. v.160 (Acte 1, scène 3, DORINE)
- Mais au fait, savez-vous le fin de tout ceci ? v.162 (Acte 1, scène 3, DAMIS)
- Je fais que cette nuit on a très mal dormi. v.163 (Acte 1, scène 3, DORINE)
- Ah, voilà contre moi ce qui la détermine ! v.164 (Acte 1, scène 3, DAMIS)
- Mais ne dirait-on pas que ce n'est rien ! v.165 (Acte 1, scène 3, DORINE)
- Dorine v.165 (Acte 1, scène 3, DAMIS)
- Eh, ne le dois-je pas ? v.166 (Acte 1, scène 3, DORINE)
- Surtout quand elle fait de semblables éclats. v.167 (Acte 1, scène 3, DAMIS)
- La prudence le veut. v.168 (Acte 1, scène 3, DAMIS)
- Éconduire un amant, c'est blesser la prudence, v.169 (Acte 1, scène 3, DORINE)
- Mais brisons là-dessus. Quoi que Mélise fasse, v.172 (Acte 1, scène 3, DAMIS)
- Je saurai constamment endurer ma disgrâce ; v.173 (Acte 1, scène 3, DAMIS)
- Je juge le motif, pour calmer ma douleur. v.175 (Acte 1, scène 3, DAMIS)
- Le caprice m'exclut, l'amitié lui pardonne. v.177 (Acte 1, scène 3, DAMIS)
- L'indulgente amitié n'a jamais de fureurs v.178 (Acte 1, scène 3, DAMIS)
- Et ne connaît point l'art de contraindre les coeurs. v.179 (Acte 1, scène 3, DAMIS)
- Vous êtes surprenant. Je vais dire à Mélise v.181 (Acte 1, scène 3, DORINE)
- Avec quelle douceur et de quel air serein v.182 (Acte 1, scène 3, DORINE)
- On accueille chez vous ses billets du matin. v.183 (Acte 1, scène 3, DORINE)
- Enfin, Madame, enfin, je connais votre style. v.184 (Acte 1, scène 4, DAMIS)
- Lisimon est, dit-on chez Mélise. v.186 (Acte 1, scène 5, GERMAIN)
- Ce diable de billet lui tourmente l'esprit. v.187 (Acte 1, scène 5, GERMAIN)
- Rien n'est encor perdu mon secret me demeure. v.189 (Acte 1, scène 5, DAMIS)
- De l'éclat et du bruit, v.190 (Acte 1, scène 5, DAMIS)
- Des soins trop prodigués c'est l'orgueil qui jouit. v.191 (Acte 1, scène 5, DAMIS)
- Je vous ai fait parler, j'ai bien fait de me taire. v.193 (Acte 1, scène 5, DAMIS)
- On distrait votre coeur ;... il faut le ranimer, v.194 (Acte 1, scène 5, DAMIS)
- Et punir la coquette, en la forçant d'aimer. v.195 (Acte 1, scène 5, DAMIS)
- Mais ce cruel billet !... Gardons-nous de m'en plaindre. v.196 (Acte 1, scène 5, DAMIS)
- J'ai dû le désirer, beaucoup plus que le craindre ; v.197 (Acte 1, scène 5, DAMIS)
- C'est quelque chose au moins... Qu'est-ce que je prétends ? v.198 (Acte 1, scène 5, DAMIS)
- Fixer un coeur volage. Il résiste, et j'attends... v.199 (Acte 1, scène 5, DAMIS)
- J'attendrai. Ce billet m'a rendu l'espérance. v.200 (Acte 1, scène 5, DAMIS)
- Heureux d'être aujourd'hui l'objet d'une imprudence ! v.201 (Acte 1, scène 5, DAMIS)
- Trop heureux d'occuper ! Pour qui s'y connaît bien, v.202 (Acte 1, scène 5, DAMIS)
- Un dépit, un congé vaut toujours mieux que rien. v.203 (Acte 1, scène 5, DAMIS)
- Je ne suis plus admis aux secrets de votre âme. v.205 (Acte 1, scène 5, GERMAIN)
- Ce qu'on ne me dit pas, je ne le fais pas moins. v.207 (Acte 1, scène 5, GERMAIN)
- De mes propres amours me faire confidence. v.209 (Acte 1, scène 5, DAMIS)
- Oui, monsieur ; cet air froid qui cache votre feu, v.210 (Acte 1, scène 5, GERMAIN)
- Vos discours, votre ton, tout cela n'est qu'un jeu. v.211 (Acte 1, scène 5, GERMAIN)
- Très scrupuleusement gardez vos conjectures. v.212 (Acte 1, scène 5, DAMIS)
- Vous m'entendez ?... v.214 (Acte 1, scène 5, DAMIS)
- Me direz-vous aussi que ce n'est pas le sien ? v.219 (Acte 1, scène 5, GERMAIN)
- D'après son grand tableau lorsqu'elle fut sortie, v.220 (Acte 1, scène 5, GERMAIN)
- Vous obtenez des droits sur ma discrétion. v.223 (Acte 1, scène 5, GERMAIN)
- Prévenez là-dedans qu'à me suivre on s'apprête. v.224 (Acte 1, scène 5, DAMIS)
- Déclaré. v.228 (Acte 1, scène 5, GERMAIN)
- Tenez, lui-même ici vous en rendra bon compte, v.229 (Acte 1, scène 6, GERMAIN)
- Je suis triste, et je viens près de toi, v.230 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Pour éclaircir le noir qui s'empare de moi. v.231 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Tu maintiens dans tes goûts le plus juste équilibre. v.233 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Le fort prévient tes voeux, tout succède à ton gré ; v.234 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Très peu d'ambition, un amour tempéré ! v.235 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Moi, je suis ballotté de toutes les manières : v.236 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Le feu plus que jamais s'est mis dans mes affaires. v.237 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Tout, depuis ce matin, m'affecte horriblement. v.238 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Depuis ce matin ? v.239 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- Ma sensibilité devient insupportable. v.240 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Nous vivons, mon ami, dans un siècle d'airain. v.243 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Rien n'avance ne va... j'ai plus de cent paroles : v.244 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Pour les effets, néant... J'ai beau changer de rôles, v.245 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Saisir l'esprit, le ton de nos sociétés, v.246 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Amuser tous les jours dix cercles d'hébétés, v.247 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Voir les gens qu'il faut voir, briller par ma dépense, v.248 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Je reste là tout net... On me berce d'espoir ; v.250 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- J'ai prouvé cependant que je puis être utile... v.253 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Tiens, pas plus tard qu'hier, dans un fort grand soupé, v.254 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- J'eus des traits d'un bonheur... dont chacun fut frappé. v.255 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- J'abîmai le baron ; il parut détestable. v.257 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Eh bien, quand on sourit, je réclamai son zèle ; v.261 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Elle me répondit par des airs nonchalants, v.262 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Me pria de descendre et d'appeler ses gens. v.263 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Eh, sur ces têtes là fondés quelque espérance v.264 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Nulle solidité, point de reconnaissance. v.265 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Et mon ingrat pays n'est pas digne de moi. v.267 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Crois-tu donc à ce mot, à ce brillant prestige ? v.269 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Il semble qu'aujourd'hui la fortune vous rie ; v.272 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Demain le ciel se brouille, et la scène varie. v.273 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Ainsi de crainte en crainte, et d'espoir en espoir, v.278 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Parmi cent concurrents coudoyé dans la foule, v.280 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Moins de gré que de force, on cède au flot qui roule ; v.281 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- On se retrouve au point d'où l'on était parti. v.283 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Ce tableau me paraît frappant de ressemblance. v.284 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- Vous devenez profond ! v.285 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- La demande est exquise ! v.289 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- Dès lors plus d'embarras. v.291 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- De vos expédients j'admire la justesse. v.292 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- Nul procédé, surtout : le prix est pour l'adresse. v.293 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Dorine me protège ; elle fait babiller : v.294 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Moi, je possède l'art de la faire parler ; v.295 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Cette Dorine là me paraît entendue. v.297 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- Et Lisimon, d'ailleurs, servira mon amour. v.298 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- On dit qu'il a jadis raffolé de la Cour ; v.299 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Rien n'est mieux calculé qu'une telle conduite ; v.304 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- D'un sourire attrayant la finesse éloquente, v.309 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- S'aimer, détail bourgeois ! Bravant ce sot abus, v.314 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- Oui. Par ce mariage ( et tu m'y détermines ) v.316 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Je veux de ma fortune étayer les ruines. v.317 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Pour les gens de notre ordre il n'est que ce recours. v.318 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Étourdis par nos goûts, distraits par nos amours, v.319 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Tant que l'activité nous tient lieu d'opulence, v.320 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Nous vivons dans l'ivresse et dans l'indépendance. v.321 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Adieu : je vais courir chez tous mes gens d'affaires, v.324 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Et mettre à la raison intendant et notaires. v.325 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- Ont toujours de l'humeur, et n'ont jamais d'argent. v.327 (Acte 1, scène 6, FLORICOURT)
- D'un moment de dépit il peut tout obtenir ; v.330 (Acte 1, scène 7, DAMIS)
- Il va voir Lisimon, je dois le prévenir. v.331 (Acte 1, scène 7, DAMIS)
- N'eussé-je point d'amour, je lui serais contraire ; v.332 (Acte 1, scène 7, DAMIS)
- Je voudrais traverser le bonheur qu'il espère : v.333 (Acte 1, scène 7, DAMIS)
- L'amitié m'en eut seule inspiré le dessein. v.334 (Acte 1, scène 7, DAMIS)
- Sans adorer Mélise, il prétend à sa main ! v.335 (Acte 1, scène 7, DAMIS)
- En elle il considère, il cherche la richesse ! v.337 (Acte 1, scène 7, DAMIS)
- Quel amant ! De mon but ne nous écartons point : v.338 (Acte 1, scène 7, DAMIS)
- L'amour me l'indiqua, la probité s'y joint. v.339 (Acte 1, scène 7, DAMIS)
- Se borne à cette Cour dont elle est entourée ! v.341 (Acte 1, scène 7, DAMIS)
- Attentive à l'hommage, est sourde au sentiment. v.343 (Acte 1, scène 7, DAMIS)
- Ce pénible détour m'est dicté par toi-même. v.345 (Acte 1, scène 7, DAMIS)
- Chez Mélise, aujourd'hui ! Moi ! Quelle hardiesse ! v.348 (Acte 2, scène 1, DAMIS)
- Il va venir, osons ; et dans l'espoir que j'ai, v.350 (Acte 2, scène 1, DAMIS)
- En feignant un refus, vengeons-nous du congé. v.351 (Acte 2, scène 1, DAMIS)
- Je puis bien à mon tour risquer une imprudence v.352 (Acte 2, scène 1, DAMIS)
- Ah ! Je vous attendais avec impatience. v.353 (Acte 2, scène 2, DAMIS)
- Me voilà. J'en conviens j'étais dans ce moment, v.354 (Acte 2, scène 2, LISIMON)
- D'une vue assez neuve occupé fortement. v.355 (Acte 2, scène 2, LISIMON)
- Monsieur c'est que le tact des affaires publiques v.356 (Acte 2, scène 2, LISIMON)
- Veut de mâles esprits et des coeurs énergiques. v.357 (Acte 2, scène 2, LISIMON)
- Quand je m'en escrimais, j'accordais tout cela : v.358 (Acte 2, scène 2, LISIMON)
- Le tableau de l'Europe était imprimé là. v.359 (Acte 2, scène 2, LISIMON)
- Tu m'as fait avertir, j'accours, adieu l'idée, v.360 (Acte 2, scène 2, LISIMON)
- C'est le diable ! v.361 (Acte 2, scène 2, LISIMON)
- Pardon. Votre humeur est fondée. v.361 (Acte 2, scène 2, DAMIS)
- Mélise est fort aimable ; elle a droit de prétendre v.364 (Acte 2, scène 2, DAMIS)
- Aux hommages, aux voeux de l'amant le plus tendre ; v.365 (Acte 2, scène 2, DAMIS)
- Mais comment souffre-t-elle un cercle d'étourdis, v.366 (Acte 2, scène 2, DAMIS)
- D'agréables, de sots, par la mode enhardis, v.367 (Acte 2, scène 2, DAMIS)
- Du bon ton qu'ils n'ont pas se croyant les arbitres, v.368 (Acte 2, scène 2, DAMIS)
- Mettant leur ineptie à l'ombre de leurs titres, v.369 (Acte 2, scène 2, DAMIS)
- Traînant d'un luxe outré l'indiscret attirail, v.370 (Acte 2, scène 2, DAMIS)
- Petits sultans honnis même dans leur sérail ; v.371 (Acte 2, scène 2, DAMIS)
- Tous ces demi-seigneurs sans talents et sans âme, v.372 (Acte 2, scène 2, DAMIS)
- De pères très fameux enfants très peu connus, v.374 (Acte 2, scène 2, DAMIS)
- Dont on cite les noms, au défaut des vertus ? v.375 (Acte 2, scène 2, DAMIS)
- Tel que tu me vois, jadis j'eus ma chimère, v.377 (Acte 2, scène 2, LISIMON)
- Comme un autre : à la cour j'étais fort assidu ; v.378 (Acte 2, scène 2, LISIMON)
- Dans un monde nouveau je me croyais perdu. v.379 (Acte 2, scène 2, LISIMON)
- Je proposais alors des plans économiques, v.380 (Acte 2, scène 2, LISIMON)
- Mais l'embarras était de les faire adopter. v.383 (Acte 2, scène 2, LISIMON)
- Ces gens-ci m'y servaient, du moins en apparence : v.384 (Acte 2, scène 2, LISIMON)
- Je les reçus chez moi, par excès de prudence. v.385 (Acte 2, scène 2, LISIMON)
- Sous les dehors du zèle, ils venaient par essaims, v.386 (Acte 2, scène 2, LISIMON)
- En obsédant ma nièce, opiner sur mes vins. v.387 (Acte 2, scène 2, LISIMON)
- Qu'ai-je embrassé ? Du vent. On ne m'écouta pas v.390 (Acte 2, scène 2, LISIMON)
- Aussi tout va, Dieu fait ! Grâces a ma routine, v.392 (Acte 2, scène 2, LISIMON)
- Aujourd'hui secondé, j'exécute demain. v.395 (Acte 2, scène 2, LISIMON)
- Oui, Monsieur, qu'on m'installe, et je réponds du reste. v.396 (Acte 2, scène 2, LISIMON)
- Je puis être à l'état d'un profit manifeste. v.397 (Acte 2, scène 2, LISIMON)
- Voilà dans quel espoir ma folle complaisance v.400 (Acte 2, scène 2, LISIMON)
- A de ces importuns toléré l'affluence. v.401 (Acte 2, scène 2, LISIMON)
- De leur zèle affecté voyez quels sont les fruits. v.402 (Acte 2, scène 2, DAMIS)
- Puisqu'ils ne peuvent rien, ils seront éconduits. v.403 (Acte 2, scène 2, LISIMON)
- Bon change-t-on ainsi sa manière de vivre ? v.404 (Acte 2, scène 2, DAMIS)
- Et croyant échapper à de tristes liens, v.406 (Acte 2, scène 2, DAMIS)
- Obéit à des goûts qui ne font pas les siens. v.407 (Acte 2, scène 2, DAMIS)
- Entre différents choix reste encor suspendue. v.409 (Acte 2, scène 2, DAMIS)
- Mais il faut avec vous s'expliquer sans détours, v.411 (Acte 2, scène 2, DAMIS)
- Jeu cruel qui bientôt mène à la perfidie, v.413 (Acte 2, scène 2, DAMIS)
- Des plus doux sentiments corrompt la pureté, v.414 (Acte 2, scène 2, DAMIS)
- Il faudrait à Mélise un ami difficile, v.416 (Acte 2, scène 2, DAMIS)
- Qui tourmentât son coeur, encor neuf et docile, v.417 (Acte 2, scène 2, DAMIS)
- Y jetât par degrés un trouble intéressant, v.419 (Acte 2, scène 2, DAMIS)
- Enveloppât de fleurs les traits de la censure, v.420 (Acte 2, scène 2, DAMIS)
- Et sut, à force d'art, le rendre à la nature. v.421 (Acte 2, scène 2, DAMIS)
- Il faut, comme tu dis, la tourmenter un peu, v.423 (Acte 2, scène 2, LISIMON)
- Par de certains secrets dérouter son caprice, v.424 (Acte 2, scène 2, LISIMON)
- Retenir la coquette au bord du précipice ; v.425 (Acte 2, scène 2, LISIMON)
- Et lui sauvant surtout l'ennui de la leçon, v.426 (Acte 2, scène 2, LISIMON)
- La forcer par humeur d'avoir de la raison... v.427 (Acte 2, scène 2, LISIMON)
- L'idée est lumineuse, et je l'ai bien saisie. v.428 (Acte 2, scène 2, LISIMON)
- Revenons s'il vous plaît, et daignez m'écouter. v.430 (Acte 2, scène 2, DAMIS)
- Dont la façon de voir s'accorde avec la mienne, v.433 (Acte 2, scène 2, DAMIS)
- Qui connaisse le prix d'un amour délicat, v.434 (Acte 2, scène 2, DAMIS)
- Sans doute elle t'a fait quelque nouvelle scène, v.437 (Acte 2, scène 2, LISIMON)
- Car c'est une étourdie !... Ah ! Je vais la tancer v.438 (Acte 2, scène 2, LISIMON)
- D'une belle façon ! v.439 (Acte 2, scène 2, LISIMON)
- Gardez-vous d'y penser. v.439 (Acte 2, scène 2, DAMIS)
- Ne vous voilà-t-il pas, comme à votre ordinaire, v.440 (Acte 2, scène 2, DAMIS)
- Mais on fera morbleu ce que je résoudrai. v.443 (Acte 2, scène 2, LISIMON)
- Dans ce que j'ai conclu je suis fixe et tenace. v.444 (Acte 2, scène 2, LISIMON)
- Modérez-vous, de grâce : v.445 (Acte 2, scène 2, DAMIS)
- De mon absence au moins choisissez le moment, v.446 (Acte 2, scène 2, DAMIS)
- Damis ici ? v.448 (Acte 2, scène 3, MÉLISE)
- Quand nous mariez-vous ? v.450 (Acte 2, scène 3, MÉLISE)
- Je le voudrais en vain v.450 (Acte 2, scène 3, LISIMON)
- Vous l'avez trop bien su guérir de ce dessein. v.451 (Acte 2, scène 3, LISIMON)
- Mais quoi donc ? v.453 (Acte 2, scène 3, MÉLISE)
- Que Damis à vos charmes renonce. v.453 (Acte 2, scène 3, LISIMON)
- De vos airs de vos tons, il est las à la fin. v.454 (Acte 2, scène 3, LISIMON)
- Il refuse, en un mot, le don de votre main. v.455 (Acte 2, scène 3, LISIMON)
- Toujours maître de lui ( car c'est son caractère ), v.457 (Acte 2, scène 3, LISIMON)
- Si posément enfin, et d'un air fi glacé, v.458 (Acte 2, scène 3, LISIMON)
- Courroucé ! Pourquoi donc ? Le trait est impayable. v.460 (Acte 2, scène 3, MÉLISE)
- Damis est admirable ! v.461 (Acte 2, scène 3, MÉLISE)
- Lui mandais ce matin de ne me plus revoir. v.463 (Acte 2, scène 3, M?LISE)
- De l'exécution cette main fut chargée. v.465 (Acte 2, scène 3, DORINE)
- De sa froideur pour moi vous voilà convaincu ? v.466 (Acte 2, scène 3, MÉLISE)
- Félicitez-vous bien, vantez votre conduite v.468 (Acte 2, scène 3, MÉLISE)
- De vos précautions voilà quelle est la suite. v.469 (Acte 2, scène 3, M?LISE)
- Moi, j'ai cru que ces noeuds seraient bien assortis. v.470 (Acte 2, scène 3, LISIMON)
- J'ai même soupçonné que vous aimiez Damis. v.471 (Acte 2, scène 3, LISIMON)
- Non, je suis véridique. v.473 (Acte 2, scène 3, LISIMON)
- Il lit, sans se tromper, jusqu'au fond de nos âmes ; v.476 (Acte 2, scène 3, DORINE)
- Comme il déchiffre un coeur ! Comme il connaît les femmes ! v.477 (Acte 2, scène 3, DORINE)
- On est dupe longtemps avant d'en venir là... v.479 (Acte 2, scène 3, LISIMON)
- Mais, dans ce moment, ci je m'abuse peut-être, v.480 (Acte 2, scène 3, LISIMON)
- Je ne démêle rien, je ne fais rien connaître... v.481 (Acte 2, scène 3, LISIMON)
- Que m'importe après tout ? Congédiez Damis ; v.482 (Acte 2, scène 3, LISIMON)
- Vous l'aimiez dans ces jours de folie, v.484 (Acte 2, scène 3, MÉLISE)
- Où les gens du bel air étaient votre manie ; v.485 (Acte 2, scène 3, M?LISE)
- Quand mon oncle, en projets consumant chaque jour, v.486 (Acte 2, scène 3, M?LISE)
- En poste allait chercher des chagrins à la Cour... v.487 (Acte 2, scène 3, M?LISE)
- De tous ces meilleurs là vous goûtiez l'importance. v.488 (Acte 2, scène 3, M?LISE)
- Oh ! J'avais mes raisons. Le bien public d'ailleurs... v.490 (Acte 2, scène 3, LISIMON)
- Bref, c'est un autre temps, et je veux d'autres moeurs. v.491 (Acte 2, scène 3, LISIMON)
- Floricourt, au surplus, n'a rien pour vous déplaire. v.492 (Acte 2, scène 3, DORINE)
- D'une vieille parente il sera légataire ; v.493 (Acte 2, scène 3, DORINE)
- De vouer à l'état votre rare génie, v.497 (Acte 2, scène 3, DORINE)
- Aux airs de courtisan il fau[d]ra vous plier v.498 (Acte 2, scène 3, DORINE)
- Quel plaisir de briller, d'étendre un peu sa sphère ! v.500 (Acte 2, scène 3, DORINE)
- Une fois en crédit, que d'heureux on doit faire ! v.501 (Acte 2, scène 3, DORINE)
- Tu crois donc qu'on pourrait. v.502 (Acte 2, scène 3, LISIMON)
- Je vous ai dévoilé. v.502 (Acte 2, scène 3, DORINE)
- Toi !... Comment donc ? Par où ? v.503 (Acte 2, scène 3, LISIMON)
- Discours obscurs mais fins ; silence énigmatique... v.504 (Acte 2, scène 3, DORINE)
- Eh ! Ce qu'elle dit là n'est pas sans fondement ; v.507 (Acte 2, scène 3, LISIMON)
- Je veux encor pour vous signaler ma tendresse. v.509 (Acte 2, scène 3, LISIMON)
- Je regrette Damis, quoi que vous en disiez, v.510 (Acte 2, scène 3, LISIMON)
- Et veux le ramener dès ce soir à vos pieds. v.511 (Acte 2, scène 3, LISIMON)
- Je sens bien qu'il faudra, rappelant ma finesse, v.512 (Acte 2, scène 3, LISIMON)
- Négocier la chose avec un peu d'adresse... v.513 (Acte 2, scène 3, LISIMON)
- Mais on fait se tirer d'une difficulté, v.514 (Acte 2, scène 3, LISIMON)
- Et délicatement ménager un traité. v.515 (Acte 2, scène 3, LISIMON)
- Damis, toujours Damis ! Ce caprice est risible... v.517 (Acte 2, scène 4, DORINE)
- Oui ; mais tous ces discours sont ici superflus. v.518 (Acte 2, scène 4, DORINE)
- Damis est hors de Cour, et vous n'y songez plus. v.519 (Acte 2, scène 4, DORINE)
- Y songer ! Il faudrait que je fusse bien folle ! v.520 (Acte 2, scène 4, MÉLISE)
- Sa conduite avec moi cependant me désole. v.521 (Acte 2, scène 4, M?LISE)
- Je voudrais à mes pieds le voir s'humilier, v.522 (Acte 2, scène 4, M?LISE)
- Ce procédé là serait plus régulier. v.523 (Acte 2, scène 4, DORINE)
- Sans doute. v.524 (Acte 2, scène 4, DORINE)
- Au fond, je le déteste. v.524 (Acte 2, scène 4, MÉLISE)
- De vos ressentiments ce dépit est le reste. v.525 (Acte 2, scène 4, DORINE)
- Tu dis que mon billet n'a point paru l'aigrir ? v.526 (Acte 2, scène 4, MÉLISE)
- Nais moi, Dorine, aussi j'ai fait une imprudence ; v.528 (Acte 2, scène 4, MÉLISE)
- Que prétendais-je enfin ? v.529 (Acte 2, scène 4, M?LISE)
- Punir son impudence. v.529 (Acte 2, scène 4, DORINE)
- Dis sa discrétion, c'est le mot : en effet, v.530 (Acte 2, scène 4, MÉLISE)
- Tu le fais comme moi, qu'a-t-il dit, qu'a-t-il fait v.531 (Acte 2, scène 4, M?LISE)
- Comment, un insolent qui ne dit pas qu'il aime ! v.533 (Acte 2, scène 4, DORINE)
- Moi, je vous garantis qu'il brûle au fond de l'âme. v.536 (Acte 2, scène 4, DORINE)
- N'ayez pas seulement l'air de le remarquer. v.539 (Acte 2, scène 4, DORINE)
- Laissons ce sujet ; car il vous indispose. v.540 (Acte 2, scène 4, DORINE)
- Moi ! Non : autant parler de lui que d'autre chose. v.541 (Acte 2, scène 4, MÉLISE)
- Parlons-en donc... Eh bien, v.542 (Acte 2, scène 4, DORINE)
- Puisque vous le voulez, qu'en dirons-nous ? v.543 (Acte 2, scène 4, DORINE)
- Pourquoi donc cette humeur et cette Impatience ? v.544 (Acte 2, scène 4, DORINE)
- Tu n'as point distingué ? v.547 (Acte 2, scène 4, MÉLISE)
- D'un oeil très satisfait. v.548 (Acte 2, scène 4, DORINE)
- Tu n'as rien entendu de ce qu'il a pu dire ? v.549 (Acte 2, scène 4, MÉLISE)
- Je ne demande pas s'il était triste ou gai ; v.551 (Acte 2, scène 4, MÉLISE)
- Répondez juste au moins. v.552 (Acte 2, scène 4, M?LISE)
- Demeurez, je vous prie. v.553 (Acte 2, scène 4, MÉLISE)
- Madame ; commandez, et je cours obéir. v.555 (Acte 2, scène 5, GERMAIN)
- Je montais chez Damis. v.556 (Acte 2, scène 5, GERMAIN)
- Oui, même tout le soir je crois qu'il y doit être. v.557 (Acte 2, scène 5, GERMAIN)
- Madame, écoutez donc... v.561 (Acte 2, scène 5, GERMAIN)
- Dis, tu dois t'y connaître. v.561 (Acte 2, scène 5, DORINE)
- Je sais qu'il s'est donné ces airs là quelquefois. v.562 (Acte 2, scène 5, GERMAIN)
- Et fait-on quel objet a décidé son choix ? v.563 (Acte 2, scène 5, DORINE)
- Non : il est fort discret, il soupire en silence ; v.564 (Acte 2, scène 5, GERMAIN)
- Et ce portrait divin, dont il est enivré, v.566 (Acte 2, scène 5, DORINE)
- À ton compte, Germain, n'est-ce point un indice ? v.568 (Acte 2, scène 5, DORINE)
- Sans doute : allons, du coeur. v.570 (Acte 2, scène 5, DORINE)
- Fais-le donc parler. v.571 (Acte 2, scène 5, MÉLISE)
- Va donc. v.572 (Acte 2, scène 5, DORINE)
- Seul dans un coin quand il est à son aise, v.572 (Acte 2, scène 5, GERMAIN)
- Il lui parle souvent comme s'il l'entendait, v.574 (Acte 2, scène 5, GERMAIN)
- Et lui reparle encor comme s'il répondait. v.575 (Acte 2, scène 5, GERMAIN)
- Cela me charme, moi, je me plais à l'entendre. v.576 (Acte 2, scène 5, GERMAIN)
- À cette école là tu deviendras fort tendre. v.577 (Acte 2, scène 5, DORINE)
- Germain discret ! Mais cela n'est point mal... v.579 (Acte 2, scène 5, MÉLISE)
- Oh ! C'est n'en doutons pas, quelque franche coquette ? v.580 (Acte 2, scène 5, M?LISE)
- Madame, en vérité... v.581 (Acte 2, scène 5, GERMAIN)
- Madame, je rougis... v.582 (Acte 2, scène 5, GERMAIN)
- Affreux ! Cela vous plaît à dire. v.584 (Acte 2, scène 5, GERMAIN)
- Je cède et me retire. v.585 (Acte 2, scène 5, GERMAIN)
- Si Damis n'est point trop occupé de fa flamme, v.588 (Acte 2, scène 5, MÉLISE)
- Dis-lui que je t'attends, ici même. v.589 (Acte 2, scène 5, M?LISE)
- Oui, Madame. v.589 (Acte 2, scène 5, GERMAIN)
- Il faut que je lui parle indispensablement. v.590 (Acte 2, scène 6, MÉLISE)
- Ma maîtresse en tient indubitablement. v.591 (Acte 2, scène 6, DORINE)
- Comme il va s'applaudir ! v.593 (Acte 2, scène 6, DORINE)
- Retirez-vous, Dorine. v.593 (Acte 2, scène 6, MÉLISE)
- J'entends du bruit : on vient. Ciel ! Floricourt ! L'ennui ! v.594 (Acte 2, scène 6, M?LISE)
- Mais feignons. Contre moi tout conspire aujourd'hui. v.595 (Acte 2, scène 6, M?LISE)
- De disparaître ainsi, de tromper mon attente. v.597 (Acte 2, scène 7, FLORICOURT)
- Non, Madame ; avec vous ce ton là part du coeur. v.599 (Acte 2, scène 7, FLORICOURT)
- Du coeur ! Y songez-vous ? Vous léger, vous frivole !... v.600 (Acte 2, scène 7, MÉLISE)
- Sans doute. v.602 (Acte 2, scène 7, FLORICOURT)
- Encore un coup, supprimons la fadeur ; v.602 (Acte 2, scène 7, MÉLISE)
- Sinon je vous le dis, j'aurai beaucoup d'humeur, v.603 (Acte 2, scène 7, M?LISE)
- Mais depuis près d'un mois, disons la vérité, v.606 (Acte 2, scène 7, FLORICOURT)
- Dans quelle solitude avez-vous végété ? v.607 (Acte 2, scène 7, FLORICOURT)
- C'est le conduire mal ; tout le monde en murmure. v.608 (Acte 2, scène 7, FLORICOURT)
- Plus de bals de soupers pas la moindre aventure ! v.609 (Acte 2, scène 7, FLORICOURT)
- Vous avez de l'humeur : on n'en est pas surpris. v.610 (Acte 2, scène 7, FLORICOURT)
- Comment donc, belle, aimable, à la fleur de votre âge, v.612 (Acte 2, scène 7, FLORICOURT)
- Vous rendre à vos amis, vous remettre au courant. v.615 (Acte 2, scène 7, FLORICOURT)
- Mon nom, ce que je suis, et ce que je dois être, v.617 (Acte 2, scène 7, FLORICOURT)
- Ressuscitez ; sortez de cette nuit profonde, v.620 (Acte 2, scène 7, FLORICOURT)
- Et paraissons tous deux sur la scène du monde. v.621 (Acte 2, scène 7, FLORICOURT)
- Mais vous devenez fou ! v.622 (Acte 2, scène 7, MÉLISE)
- C'est trop ensevelir de si brillants appas, v.623 (Acte 2, scène 7, FLORICOURT)
- Faits pour orner, Madame, un plus décent asile v.624 (Acte 2, scène 7, FLORICOURT)
- Que des cercles obscurs et l'ombre de la ville. v.625 (Acte 2, scène 7, FLORICOURT)
- Écoutez-moi : je viens d'apprendre en ce moment, v.626 (Acte 2, scène 7, FLORICOURT)
- J'en ai l'avis sur moi, que je dois sûrement. v.627 (Acte 2, scène 7, FLORICOURT)
- Hériter, avant peu, d'une tante éternelle !... v.628 (Acte 2, scène 7, FLORICOURT)
- Cette dame est cruelle. v.629 (Acte 2, scène 7, MÉLISE)
- Il paraît cependant qu'elle a pris son parti. v.631 (Acte 2, scène 7, FLORICOURT)
- Elle a quatre-vingt_ans, c'est l'âge des retraites. v.632 (Acte 2, scène 7, FLORICOURT)
- J'envahis sa fortune ; elle est des plus complètes. v.633 (Acte 2, scène 7, FLORICOURT)
- Le trésor d'un amant c'est l'amour qu'il inspire. v.637 (Acte 2, scène 7, MÉLISE)
- Vous bravez la fortune et cédez au mérite. v.641 (Acte 2, scène 7, FLORICOURT)
- Je savais à quel coeur je m'étais adressé. v.643 (Acte 2, scène 7, FLORICOURT)
- Par exemple, Marquis, permettez-moi de rire. v.644 (Acte 2, scène 7, MÉLISE)
- Quoi, vous prenez pour vous ce que je viens de dire ? v.645 (Acte 2, scène 7, M?LISE)
- Eh ! Comment s'y tromper ? Le détour est charmant. v.646 (Acte 2, scène 7, FLORICOURT)
- Vous me voyez dans un enchantement !... v.647 (Acte 2, scène 7, FLORICOURT)
- Je suis las d'espérer. Décidez-vous de grâce. v.648 (Acte 2, scène 7, FLORICOURT)
- Ah ! Je vous le demande au nom de nos beaux jours, v.650 (Acte 2, scène 7, FLORICOURT)
- Trêve donc s'il vous plaît à la plaisanterie... v.652 (Acte 2, scène 7, MÉLISE)
- Non. Je lis dans vos yeux dans ce tendre embarras, v.654 (Acte 2, scène 7, FLORICOURT)
- Que mon hommage a pris, et ne vous déplaît pas. v.655 (Acte 2, scène 7, FLORICOURT)
- C'est à moi d'affermir mon bonheur qui s'apprête. v.656 (Acte 2, scène 7, FLORICOURT)
- Fort bien ! Le tête-à-tête est un peu hasardé. v.658 (Acte 2, scène 8, DAMIS)
- Est-ce pour ce tableau que vous m'avez mandé ? v.659 (Acte 2, scène 8, DAMIS)
- A-t-il le bonheur de vous plaire ? v.660 (Acte 2, scène 8, MÉLISE)
- Il me parlait de son ardeur sincère. v.661 (Acte 2, scène 8, MÉLISE)
- Et vous daigniez répondre à des transports si doux ? v.662 (Acte 2, scène 8, DAMIS)
- J'étais libre, Monsieur, lorsqu'on vous lit descendre. v.664 (Acte 2, scène 8, MÉLISE)
- Vos ordres sont sacrés ; j'ai volé pour m'y rendre. v.665 (Acte 2, scène 8, DAMIS)
- Dont il vous accusait ? v.669 (Acte 2, scène 8, MÉLISE)
- Quand tout vous rend hommage, v.669 (Acte 2, scène 8, DAMIS)
- Madame, en vérité, pensez-vous à cela ? v.670 (Acte 2, scène 8, DAMIS)
- Et c'est l'art d'embrouiller la chose la plus claire. v.673 (Acte 2, scène 8, DAMIS)
- Je ne m'attendais pas à ce bonheur soudain ; v.675 (Acte 2, scène 8, DAMIS)
- Je n'avais ni le droit, ni l'orgueil d'y prétendre ; v.676 (Acte 2, scène 8, DAMIS)
- C'est en m'appréciant que j'osai m'en défendre. v.677 (Acte 2, scène 8, DAMIS)
- Mais vous, Madame, vous, v.678 (Acte 2, scène 8, DAMIS)
- M'expliquez-vous enfin quel est ce grand courroux, v.679 (Acte 2, scène 8, DAMIS)
- Cet étonnant billet qui de chez vous me chasse ? v.680 (Acte 2, scène 8, DAMIS)
- Comment me suis-je donc attiré ma disgrâce ? v.681 (Acte 2, scène 8, DAMIS)
- Ma lettre vous l'apprend sans rien dissimuler. v.682 (Acte 2, scène 8, MÉLISE)
- Je suis lasse, Monsieur, d'apprêter à parler. v.683 (Acte 2, scène 8, M?LISE)
- Est-ce à titre d'amant que je suis renvoyé ? v.686 (Acte 2, scène 8, DAMIS)
- Point de détail. v.687 (Acte 2, scène 8, MÉLISE)
- Quand on aime, on s'échappe, on se trahit. Madame, v.688 (Acte 2, scène 8, DAMIS)
- Vous ai-je dit un mot qui fît croire à ma flamme ? v.689 (Acte 2, scène 8, DAMIS)
- Eh ! Quand cela serait ? v.690 (Acte 2, scène 8, MÉLISE)
- Cette assiduité que tout Paris a vue, v.692 (Acte 2, scène 8, MÉLISE)
- N'annonçaient pas assez un homme qui prétend, v.694 (Acte 2, scène 8, M?LISE)
- Et semble, pour le dire, aux_aguets d'un instant ? v.695 (Acte 2, scène 8, M?LISE)
- Ah ! Ne confondons point : tout cela voulait dire v.696 (Acte 2, scène 8, DAMIS)
- Qu'on rencontre chez vous ce que mon coeur désire, v.697 (Acte 2, scène 8, DAMIS)
- Des grâces, des talents... v.698 (Acte 2, scène 8, DAMIS)
- Un commerce divin, cent belles qualités. v.699 (Acte 2, scène 8, DAMIS)
- Cela, je le dis sans détour, v.702 (Acte 2, scène 8, DAMIS)
- De quoi donc ? Il m'outrage à chaque mot. v.706 (Acte 2, scène 8, MÉLISE)
- De quoi ? v.706 (Acte 2, scène 8, DAMIS)
- De l'amour prétendu qui vous révolte en moi. v.707 (Acte 2, scène 8, DAMIS)
- Vous me haïssez donc, Monsieur ? v.708 (Acte 2, scène 8, MÉLISE)
- Qui ? Moi, madame ? v.708 (Acte 2, scène 8, DAMIS)
- Répondez. v.709 (Acte 2, scène 8, MÉLISE)
- Mieux que moi vous lisez dans mon âme, v.709 (Acte 2, scène 8, DAMIS)
- Comment lorsqu'on vous voit, dire qu'on n'aime pas ? v.711 (Acte 2, scène 8, DAMIS)
- Pourquoi m'envelopper dans vos ressentiments ? v.715 (Acte 2, scène 8, DAMIS)
- Allez, Monsieur, allez, vous m'êtes odieux. v.718 (Acte 2, scène 8, MÉLISE)
- Éteignez-vous des miens. v.720 (Acte 2, scène 8, MÉLISE)
- D'où vient cette colère ? v.720 (Acte 2, scène 8, DAMIS)
- J'obéis, et je sors, de peur de vous déplaire. v.721 (Acte 2, scène 8, DAMIS)
- Eh ! De cet homme là je serais le jouet ! v.722 (Acte 2, scène 9, MÉLISE)
- Qu'est-ce donc qui me tient ? L'aimerais-je en effet ? v.723 (Acte 2, scène 9, M?LISE)
- Oh ! Que je l'aime ou non, je prétends qu'il fléchisse. v.724 (Acte 2, scène 9, M?LISE)
- Et son adroit orgueil ne veut pas s'expliquer ! v.727 (Acte 2, scène 9, M?LISE)
- C'est mon maudit billet !... Qui me forçait d'écrire ? v.728 (Acte 2, scène 9, M?LISE)
- Que prétendais-je avant qu'il m'eut osé rien dire ? v.729 (Acte 2, scène 9, M?LISE)
- Ma conduite est étrange, incroyable vraiment ; v.730 (Acte 2, scène 9, M?LISE)
- Mais je m'en vengerai, quand je l'aurai soumis. v.735 (Acte 2, scène 9, M?LISE)
- Cet homme, avec le temps, peut jouer un grand rôle. v.737 (Acte 3, scène 1, LISIMON)
- Dans ce moment encore, il m'a très bien parlé. v.738 (Acte 3, scène 1, LISIMON)
- Malgré mon air discret, comme il m'a démêlé ! v.739 (Acte 3, scène 1, LISIMON)
- La peste quel coup_d_oeil ! Oui, j'étais un barbare : v.740 (Acte 3, scène 1, LISIMON)
- Je désolais Mélise, il faut que je répare. v.741 (Acte 3, scène 1, LISIMON)
- Et de lui quelque jour on peut avoir besoin. v.743 (Acte 3, scène 1, LISIMON)
- Damis, je le vois bien, n'est pas ce qu'il vous faut. v.747 (Acte 3, scène 2, LISIMON)
- Il a je ne sais quoi qui d'abord intéresse ; v.748 (Acte 3, scène 2, LISIMON)
- Mais sa conduite sourde annonce trop d'adresse. v.749 (Acte 3, scène 2, LISIMON)
- Trop de flegme, à la longue, est à périr d'ennui, v.750 (Acte 3, scène 2, LISIMON)
- Vivat ! Enfin, monsieur redevient raisonnable. v.752 (Acte 3, scène 2, DORINE)
- Damis a des moments, mais il n'est point aimable. v.753 (Acte 3, scène 2, DORINE)
- Il aime avec méthode, il brûle sensément ; v.754 (Acte 3, scène 2, DORINE)
- La mode en peut venir, et rien n'est moins plaisant. v.755 (Acte 3, scène 2, DORINE)
- À ravir ! Comment donc ! Allez, Mademoiselle, v.756 (Acte 3, scène 2, MÉLISE)
- Renfermez avec soin ces transports indiscrets, v.758 (Acte 3, scène 2, M?LISE)
- Et supprimez surtout le talent des portraits. v.759 (Acte 3, scène 2, M?LISE)
- Madame une autre fois je ferai moins sincère, v.760 (Acte 3, scène 2, DORINE)
- Sans doute elle outre un peu ; mais je crois qu'en effet v.762 (Acte 3, scène 2, LISIMON)
- Damis est trop contraint, et n'est point votre fait. v.763 (Acte 3, scène 2, LISIMON)
- Je ne comprends plus rien à vos métaphores. v.765 (Acte 3, scène 2, MÉLISE)
- Oh ! Je veux vous venger d'un insolent refus. v.766 (Acte 3, scène 2, LISIMON)
- Je vous dispense, moi, de ces soins superflus. v.767 (Acte 3, scène 2, MÉLISE)
- Mon amitié pour lui, dans cette circonstance, v.768 (Acte 3, scène 2, LISIMON)
- Lui vaut de votre part un reste d'indulgence : v.769 (Acte 3, scène 2, LISIMON)
- Mais je vois clairement que vous le détestez, v.770 (Acte 3, scène 2, LISIMON)
- Et je ne prétends pas forcer les volontés. v.771 (Acte 3, scène 2, LISIMON)
- J'admire en pareil cas, votre sécurité : v.775 (Acte 3, scène 2, LISIMON)
- Je suis d'une fureur !... C'est que cette aventure v.776 (Acte 3, scène 2, LISIMON)
- Peut prendre dans le monde une sotte tournure. v.777 (Acte 3, scène 2, LISIMON)
- Et puis d'ailleurs j'ai su v.778 (Acte 3, scène 2, LISIMON)
- Quoi, cela vous reprend ? v.780 (Acte 3, scène 2, MÉLISE)
- Quand on a votre esprit, vos grâces, votre goût, v.781 (Acte 3, scène 2, LISIMON)
- Il faut prendre un mari fait pour aller à tout. v.782 (Acte 3, scène 2, LISIMON)
- J'ai des projets... je veux.... l'affaire m'intéresse ; v.783 (Acte 3, scène 2, LISIMON)
- Et pour bien des raisons, je dois venger ma nièce, v.784 (Acte 3, scène 2, LISIMON)
- En ce jour, à l'instant : oui, j'y cours de ce pas... v.785 (Acte 3, scène 2, LISIMON)
- Vous m'arrêtez en vain, je n'en démordrai pas. v.786 (Acte 3, scène 2, LISIMON)
- Qui veut et ne veut plus ; il faut du caractère. v.788 (Acte 3, scène 2, LISIMON)
- Voilà du Floricourt... Si pourtant son humeur... v.789 (Acte 3, scène 3, MÉLISE)
- Damis a dans mon oncle un zèle protecteur ! v.790 (Acte 3, scène 3, M?LISE)
- Je crois qu'il devient fou... Mais moi, suis-je plus sage ? v.791 (Acte 3, scène 3, M?LISE)
- De parler aujourd'hui vous avez une rage ! v.792 (Acte 3, scène 3, M?LISE)
- Damis est à plaindre. v.793 (Acte 3, scène 3, MÉLISE)
- Je vous trouve aujourd'hui brillante en réparties. v.795 (Acte 3, scène 3, MÉLISE)
- Mais, par où de mon oncle arrêter les lubies ? v.796 (Acte 3, scène 3, M?LISE)
- Il va trouver Damis : que lui va-t-il conter ? v.797 (Acte 3, scène 3, M?LISE)
- Je ne fais où j'ai pris ces indiscrets éclats. v.801 (Acte 3, scène 4, MÉLISE)
- Tout ce qui me fâchait, c'est qu'en vous défendant, v.805 (Acte 3, scène 4, MÉLISE)
- Vous paraissiez encore avoir l'air d'un amant. v.806 (Acte 3, scène 4, M?LISE)
- Il régnait dans vos tons je ne sais qu'elle gêne, v.807 (Acte 3, scène 4, M?LISE)
- Oui, tenez, on eût dit que vous étiez piqué. v.809 (Acte 3, scène 4, M?LISE)
- Voilà ce que dans moi vous avez remarqué ? v.810 (Acte 3, scène 4, DAMIS)
- Idée. v.811 (Acte 3, scène 4, DAMIS)
- Êtes-vous bien certain de votre indifférence ? v.812 (Acte 3, scène 4, MÉLISE)
- Celui-là vient de loin ! Quoi, vous ne croyez pas ? v.813 (Acte 3, scène 4, DAMIS)
- Mais ne retournons point à nos premiers débats. v.814 (Acte 3, scène 4, DAMIS)
- Prenez garde; au traité vous êtes infidèle, v.815 (Acte 3, scène 4, DAMIS)
- Quand je vous aimerais pensez-vous entre nous v.817 (Acte 3, scène 4, DAMIS)
- Moi qui sais à quel point cela peut vous déplaire, v.819 (Acte 3, scène 4, DAMIS)
- Moi qu'on vient de chasser sans nul préliminaire ? v.820 (Acte 3, scène 4, DAMIS)
- Si contre moi le doute a bien pu vous armer, v.821 (Acte 3, scène 4, DAMIS)
- Le cas est différent. v.823 (Acte 3, scène 4, MÉLISE)
- Il deviendrait le même. v.823 (Acte 3, scène 4, DAMIS)
- Pourquoi, sans nul objet, s'échauffer là-dessus ? v.826 (Acte 3, scène 4, DAMIS)
- Loin d'en faire l'aveu, loin de me prévenir... v.829 (Acte 3, scène 4, MÉLISE)
- Mais... Il est quelquefois très bon de voir venir. v.830 (Acte 3, scène 4, DAMIS)
- Les hommes ! Quels fléaux ! Puis on s'en prend aux femmes ! v.832 (Acte 3, scène 4, MÉLISE)
- D'un instinct libre et pur si l'amour est le fruit, v.833 (Acte 3, scène 4, M?LISE)
- Du moment qu'on raisonne, il est déjà détruit. v.834 (Acte 3, scène 4, M?LISE)
- L'homme honnête, Monsieur, dédaignant la finesse, v.835 (Acte 3, scène 4, M?LISE)
- Doit tout à son penchant, et rien à son adresse. v.836 (Acte 3, scène 4, M?LISE)
- Eh ! Qu'attendre d'un coeur par lui-même gêné, v.837 (Acte 3, scène 4, M?LISE)
- Il faut s'abandonner, sentir tout, ne rien feindre, v.839 (Acte 3, scène 4, M?LISE)
- S'enflammer pour le prix, sans projet pour l'atteindre. v.840 (Acte 3, scène 4, M?LISE)
- Ah ! Je plains bien le sort d'une femme sensible !... v.843 (Acte 3, scène 4, M?LISE)
- Le trouver, c'est l'affaire du temps. v.845 (Acte 3, scène 4, DAMIS)
- De vos goûts passagers comment suivre les traces ? v.847 (Acte 3, scène 4, DAMIS)
- Le sentiment chez vous disparaît sous les grâces. v.848 (Acte 3, scène 4, DAMIS)
- Quoi vous ne savez pas lire au fond de nos coeurs ? v.849 (Acte 3, scène 4, MÉLISE)
- Moi ! Vraiment je le donne aux plus fins connaisseurs. v.850 (Acte 3, scène 4, DAMIS)
- Vous n'avez donc pas vu que cent fois dans sa vie, v.851 (Acte 3, scène 4, MÉLISE)
- Floricourt, par exemple, et m'excède et m'ennuie ? v.852 (Acte 3, scène 4, M?LISE)
- Vous n'avez donc point vu malgré tous leurs propos, v.853 (Acte 3, scène 4, M?LISE)
- Qu'au milieu du grand monde, où je parais légère, v.855 (Acte 3, scène 4, M?LISE)
- Vous vous taisez ? Pourquoi donc ? v.859 (Acte 3, scène 4, DAMIS)
- Je m'admire ! v.859 (Acte 3, scène 4, MÉLISE)
- Eh bien, Monsieur... Je n'ai plus rien à dire. v.860 (Acte 3, scène 4, MÉLISE)
- Quand le coeur ne sent rien... v.861 (Acte 3, scène 4, DAMIS)
- D'honneur le tour est gai. v.861 (Acte 3, scène 5, FLORICOURT)
- Jugez s'il m'aime ! Il veut, et dès cette journée, v.863 (Acte 3, scène 5, FLORICOURT)
- Décider mon bonheur, fixer notre hyménée. v.864 (Acte 3, scène 5, FLORICOURT)
- Il est expéditif. v.865 (Acte 3, scène 5, FLORICOURT)
- L'aveu de Lisimon vous assure du mien : v.866 (Acte 3, scène 5, MÉLISE)
- Après ce tour d'adresse, v.867 (Acte 3, scène 5, FLORICOURT)
- Avez-vous donc, Monsieur, retourné son esprit ? v.869 (Acte 3, scène 5, MÉLISE)
- Bien dit. v.870 (Acte 3, scène 5, FLORICOURT)
- Pour le réduire, il a fallu lui plaire. v.870 (Acte 3, scène 5, FLORICOURT)
- Votre oncle s'est d'abord armé d'un front sévère. v.871 (Acte 3, scène 5, FLORICOURT)
- J'ai radouci mon ton pour ne le point heurter, v.872 (Acte 3, scène 5, FLORICOURT)
- Et j'ai surpris enfin l'instant de le flatter. v.873 (Acte 3, scène 5, FLORICOURT)
- J'ai vanté son discours soi-disant laconique, v.874 (Acte 3, scène 5, FLORICOURT)
- Ne fût point dans l'état très puissant aujourd'hui. v.877 (Acte 3, scène 5, FLORICOURT)
- Vous auriez un oeil d'aigle, un abord populaire, v.878 (Acte 3, scène 5, FLORICOURT)
- Et l'art d'approfondir, joint avec l'art de plaire ! v.879 (Acte 3, scène 5, FLORICOURT)
- Lui disais-je à peu près : il l'a cru bonnement. v.880 (Acte 3, scène 5, FLORICOURT)
- Moi de montrer alors un zèle véhément, v.881 (Acte 3, scène 5, FLORICOURT)
- D'offrir tout mon crédit... Enfin rien ne l'arrête, v.882 (Acte 3, scène 5, FLORICOURT)
- Le voilà décidé. v.883 (Acte 3, scène 5, FLORICOURT)
- À ses nouveaux desseins je n'ose être contraire. v.886 (Acte 3, scène 5, MÉLISE)
- Oui, Marquis, devient très positif. v.888 (Acte 3, scène 5, MÉLISE)
- La grandeur de votre oncle est un point décisif, v.889 (Acte 3, scène 5, DAMIS)
- J'ai craint de Damis quelque temps la poursuite ; v.890 (Acte 3, scène 5, FLORICOURT)
- Qui donc ? v.891 (Acte 3, scène 5, DAMIS)
- Dites-nous vite. v.891 (Acte 3, scène 5, MÉLISE)
- Eh comment donc ? Comment ? v.893 (Acte 3, scène 5, FLORICOURT)
- C'est Céladon lui-même ! v.894 (Acte 3, scène 5, FLORICOURT)
- Madame il est trop vrai, je l'aime éperdument. v.896 (Acte 3, scène 5, DAMIS)
- L'original, sans doute est un objet charmant ? v.897 (Acte 3, scène 5, MÉLISE)
- Je lui dois cet hommage. v.898 (Acte 3, scène 5, DAMIS)
- Si madame le veut, ma prudence consent ; v.900 (Acte 3, scène 5, DAMIS)
- Mais à condition que vous serez absent. v.901 (Acte 3, scène 5, DAMIS)
- Vous le faire entrevoir, c'est en donner copie. v.903 (Acte 3, scène 5, DAMIS)
- Il est d'une rigueur Madame, prononcez. v.904 (Acte 3, scène 5, FLORICOURT)
- J'entends, vous me chassez. v.905 (Acte 3, scène 5, FLORICOURT)
- Je vais de Lisimon aiguillonner le zèle ; v.906 (Acte 3, scène 5, FLORICOURT)
- Votre bonheur, le mien près de lui me rappelle, v.907 (Acte 3, scène 5, FLORICOURT)
- J'y vole en m'éclipsant d'un air paisible et doux, v.908 (Acte 3, scène 5, FLORICOURT)
- Je satisfais d'avance aux égards d'un époux. v.909 (Acte 3, scène 5, FLORICOURT)
- Tout de bon, croyez-vous que j'y sois résolue ? v.911 (Acte 3, scène 6, MÉLISE)
- Pourquoi non ? De votre oncle il a déjà l'aveu, v.912 (Acte 3, scène 6, DAMIS)
- Volontiers. Mais, de grâce, v.914 (Acte 3, scène 6, MÉLISE)
- Vous êtes occupé tout le prouve et le dit : v.916 (Acte 3, scène 6, M?LISE)
- C'est que vous possédez une étrange maîtresse. v.919 (Acte 3, scène 6, M?LISE)
- Elle est assurément calme dans ses amours. v.920 (Acte 3, scène 6, M?LISE)
- De tous vos soins pour moi spectatrice immobile, v.923 (Acte 3, scène 6, M?LISE)
- Madame ne dit mot, trouve que tout est bien, v.924 (Acte 3, scène 6, M?LISE)
- Et n'a garde avec vous de se plaindre de rien ! v.925 (Acte 3, scène 6, M?LISE)
- Elle a donc cinquante ans ? v.926 (Acte 3, scène 6, M?LISE)
- Ah ! N'en parlez point mal. Quand vous la connaîtrez, v.928 (Acte 3, scène 6, DAMIS)
- D'un jugement trop prompt vous vous repentirez ; v.929 (Acte 3, scène 6, DAMIS)
- C'est moi qui vous le dis. v.930 (Acte 3, scène 6, DAMIS)
- Vous dites à merveille, v.930 (Acte 3, scène 6, MÉLISE)
- Qu'une humeur sans motif cache un dépit jaloux ? v.933 (Acte 3, scène 6, MÉLISE)
- Cela serait nouveau ! Moi, de la jalousie ! v.934 (Acte 3, scène 6, M?LISE)
- Vous ne devinez pas combien vous m'enchantez... v.937 (Acte 3, scène 6, DAMIS)
- C'est votre dernier mot ? v.938 (Acte 3, scène 6, DAMIS)
- Ce doute là m'offense. v.938 (Acte 3, scène 6, MÉLISE)
- Vos discours à la fin lassent ma patience. v.939 (Acte 3, scène 6, M?LISE)
- Et gardez constamment un aussi rare objet. v.941 (Acte 3, scène 6, M?LISE)
- Mon_Dieu ! J'en étais sûre... v.942 (Acte 3, scène 6, MÉLISE)
- Me donne le désir de contempler ses traits. v.945 (Acte 3, scène 6, M?LISE)
- Oh ! Dans ce moment-ci vous verriez mal sans_doute. v.946 (Acte 3, scène 6, DAMIS)
- Elle craint mes regards ? v.947 (Acte 3, scène 6, MÉLISE)
- C'est moi... qui les redoute. v.947 (Acte 3, scène 6, DAMIS)
- Comptez, comptez d'avance, v.950 (Acte 3, scène 6, MÉLISE)
- Puisqu'elle en a besoin, sur beaucoup d'indulgence. v.951 (Acte 3, scène 6, M?LISE)
- Oui, oui. Mais donnez donc, Monsieur. v.952 (Acte 3, scène 6, MÉLISE)
- Cette audace est extrême ! v.955 (Acte 3, scène 6, MÉLISE)
- Puisqu'il est ressemblant, Madame, il est vengé. v.957 (Acte 3, scène 6, DAMIS)
- D'honneur, il est parlant, et... Quel fourbe vous êtes ! v.958 (Acte 3, scène 6, MÉLISE)
- Voilà donc contre nous les complots que vous faites ? v.959 (Acte 3, scène 6, M?LISE)
- Sur l'excès de vos torts je n'ose m'arrêter. v.960 (Acte 3, scène 6, M?LISE)
- Il est chargé de tout ; moi je n'ai rien à dire. v.963 (Acte 3, scène 6, DAMIS)
- D'ailleurs, puis-je jamais fléchir votre courroux ? v.964 (Acte 3, scène 6, DAMIS)
- C'est le cas ou jamais d'être fort en colère. v.966 (Acte 3, scène 6, MÉLISE)
- C'est selon... Cependant... Je dois... Que fais-je ? v.968 (Acte 3, scène 6, MÉLISE)
- Quand le coupable plaît... v.969 (Acte 3, scène 6, DAMIS)
- Il vous tint lieu d'aveu : qu'il soit donc ma réponse. v.971 (Acte 3, scène 6, MÉLISE)
- Ne vous souvenez plus d'une ruse innocente, v.974 (Acte 3, scène 6, DAMIS)
- Qui peut-être a fixé votre âme indépendante... v.975 (Acte 3, scène 6, DAMIS)
- Le calme de mon front cachait un coeur brûlant. v.977 (Acte 3, scène 6, DAMIS)
- Je redoutais vos goûts, le Marquis... vos caprices, v.978 (Acte 3, scène 6, DAMIS)
- Vous ne vous doutiez pas de tous mes sacrifices. v.979 (Acte 3, scène 6, DAMIS)
- Des combats douloureux voilà mes Seuls forfaits. v.980 (Acte 3, scène 6, DAMIS)
- J'ai feint quelques instants, pour ne feindre jamais. v.981 (Acte 3, scène 6, DAMIS)
- Je pardonne. v.983 (Acte 3, scène 6, MÉLISE)
- Attends... Je reste confondu... v.984 (Acte 3, scène 7, LISIMON)
- L'attitude me plaît... D'ailleurs c'est un rendu. v.985 (Acte 3, scène 7, FLORICOURT)
- Quel est donc ce mystère ? v.986 (Acte 3, scène 7, LISIMON)
- Que diable ! Je croyais que vous aviez su plaire. v.987 (Acte 3, scène 7, LISIMON)
- Daignez combler mes voeux. v.988 (Acte 3, scène 7, DAMIS)
- Courage.... ou vous voilà disgraciés tous deux. v.989 (Acte 3, scène 7, DORINE)
- Adieu nos grands projets. Tout amant à ma place v.990 (Acte 3, scène 7, FLORICOURT)
- S'en irait contristé, honteux de sa disgrâce. v.991 (Acte 3, scène 7, FLORICOURT)
- Un tendre désespoir m'ennuierait à mourir. v.992 (Acte 3, scène 7, FLORICOURT)
- Éprouve-je un revers ? Je médite un plaisir. v.993 (Acte 3, scène 7, FLORICOURT)
- Je reviens à mes goûts, il me faut des coquettes. v.994 (Acte 3, scène 7, FLORICOURT)
- Damis est trop heureux ! Je le suis, si vous l'êtes. v.995 (Acte 3, scène 7, FLORICOURT)
- Nous avons esquivé la déclaration ! v.997 (Acte 3, scène 8, GERMAIN)
RÉGULUS (1765)
- Les Députés d'Afrique ici doivent se rendre ; v.1 (Acte 1, scène 1, MARCIE)
- Le Sénat, hors de Rome, ici doit les entendre; v.2 (Acte 1, scène 1, MARCIE)
- Moi, devançant leurs pas, j'attendrai Manlius ; v.3 (Acte 1, scène 1, MARCIE)
- Une Dame Romaine !... v.6 (Acte 1, scène 1, BARSINE)
- Dont la gloire et l'amour marquaient tous les instants ; v.8 (Acte 1, scène 1, MARCIE)
- Quand Régulus, heureux par l'hymen de Marcie, v.9 (Acte 1, scène 1, MARCIE)
- Que ces jours de bonheur se sont vite écoulés ! v.11 (Acte 1, scène 1, MARCIE)
- Aux plaisirs des humains que de maux sont mêlés ! v.12 (Acte 1, scène 1, MARCIE)
- Loin de nos murs alors, tu ne vis point, Barsine, v.13 (Acte 1, scène 1, MARCIE)
- De mes profonds ennuis la funeste origine. v.14 (Acte 1, scène 1, MARCIE)
- À peine de l'hymen j'avais serré les noeuds ; v.15 (Acte 1, scène 1, MARCIE)
- La haine dans Carthage alluma tous ses feux : v.16 (Acte 1, scène 1, MARCIE)
- Opposer un héros aux héros de l'Afrique. v.18 (Acte 1, scène 1, MARCIE)
- Sans briguer cet honneur; modeste et renfermé, v.19 (Acte 1, scène 1, MARCIE)
- Le croirais-tu ? ce choix, source de tant de larmes, v.21 (Acte 1, scène 1, MARCIE)
- Ce choix, en m'accablant, avait pour moi des charmes. v.22 (Acte 1, scène 1, MARCIE)
- Cette image est toujours présente à ma douleur. v.24 (Acte 1, scène 1, MARCIE)
- Sa mâle fermeté, sa sévère tendresse v.25 (Acte 1, scène 1, MARCIE)
- À son fils effrayé qui pleurait dans mes bras. v.28 (Acte 1, scène 1, MARCIE)
- Peut-être un peu d'orgueil alors me fut permis. v.31 (Acte 1, scène 1, MARCIE)
- Rome tournait vers moi ses regards attendris ; v.32 (Acte 1, scène 1, MARCIE)
- De mon illustre époux la valeur fortunée v.33 (Acte 1, scène 1, MARCIE)
- Au bonheur de l'État liait ma destinée. v.34 (Acte 1, scène 1, MARCIE)
- Quel changement, ô Ciel ! dans son sort et le mien! v.35 (Acte 1, scène 1, MARCIE)
- Ma gloire est aujourd'hui d'empêcher sa ruine. v.38 (Acte 1, scène 1, MARCIE)
- Plus de titres, de rang, lorsqu'il est dans les fers. v.39 (Acte 1, scène 1, MARCIE)
- Partager, loin de lui, l'horreur de ses revers, v.40 (Acte 1, scène 1, MARCIE)
- Fatiguer les Romains de ma plainte importune, v.42 (Acte 1, scène 1, MARCIE)
- Ce sont là mes devoirs; je les ai tous remplis. v.44 (Acte 1, scène 1, MARCIE)
- L'austère Manlius est vertueux sans doute : v.46 (Acte 1, scène 1, MARCIE)
- Qu'au projet de me nuire il ait pu s'abaisser : v.48 (Acte 1, scène 1, MARCIE)
- Mais d'un sentiment tendre il méconnaît les charmes ; v.49 (Acte 1, scène 1, MARCIE)
- Et ses stoïques yeux ne versent point de larmes. v.50 (Acte 1, scène 1, MARCIE)
- Qu'il seconde mes voeux, qu'il serve Régulus ; v.51 (Acte 1, scène 1, MARCIE)
- Ami de Régulus, chargé de sa défense, v.53 (Acte 1, scène 1, MARCIE)
- Dans le Sénat, Barsine, il doit parler pour lui. v.56 (Acte 1, scène 1, MARCIE)
- Dieux ! que je trouve accès dans cette âme sévère ! v.58 (Acte 1, scène 1, MARCIE)
- Pour un héros que j'aime attendrir tous les coeurs ! v.60 (Acte 1, scène 1, MARCIE)
- Seigneur, daignez m'entendre ; v.61 (Acte 1, scène 2, MARCIE)
- À cette grâce au moins j'ai le droit de prétendre. v.62 (Acte 1, scène 2, MARCIE)
- Madame, pardonnez si des soins importants v.63 (Acte 1, scène 2, MANLIUS)
- Tous mes instants sont dus au devoir qui m'enchaîne. v.65 (Acte 1, scène 2, MANLIUS)
- Et vous le demandez ! Feignez-vous d'ignorer v.67 (Acte 1, scène 2, MARCIE)
- Le dessein qui m'occupe et peut seul m'attirer ? v.68 (Acte 1, scène 2, MARCIE)
- Songez à Régulus, perdu pour la Patrie, v.69 (Acte 1, scène 2, MARCIE)
- Traînant dans un cachot une odieuse vie ; v.70 (Acte 1, scène 2, MARCIE)
- Et sous des fers honteux pour vous, pour les Romains, v.71 (Acte 1, scène 2, MARCIE)
- Et fait, en expirant, des voeux pour cet Empire, v.74 (Acte 1, scène 2, MARCIE)
- Pour son ingrat pays, dont il est oublié. v.76 (Acte 1, scène 2, MARCIE)
- Est-ce donc la valeur, la vertu la plus rare ? v.78 (Acte 1, scène 2, MARCIE)
- Sur les rives du Tibre, oublier Régulus ? v.80 (Acte 1, scène 2, MARCIE)
- Les Tribunaux ! Du faible il y fut le vengeur : v.83 (Acte 1, scène 2, MARCIE)
- Et dites, quelle main, utile à cet empire, v.86 (Acte 1, scène 2, MARCIE)
- Y plaça ces drapeaux à Carthage enlevés, v.87 (Acte 1, scène 2, MARCIE)
- Gages de sa valeur, que Rome a conservés. v.88 (Acte 1, scène 2, MARCIE)
- Que dis-je ? Ces Licteurs, cette garde orgueilleuse, v.89 (Acte 1, scène 2, MARCIE)
- De tout cet appareil la pompe fastueuse, v.90 (Acte 1, scène 2, MARCIE)
- Et cette pourpre enfin, dont vous êtes orné, v.91 (Acte 1, scène 2, MARCIE)
- Il régnait au Sénat, il périt dans les chaînes ! v.93 (Acte 1, scène 2, MARCIE)
- Est-ce donc là le prix que l'on garde aux vertus ? v.96 (Acte 1, scène 2, MARCIE)
- Calmez cette douleur ; elle a trop d'injustice. v.97 (Acte 1, scène 2, MANLIUS)
- Le sort de Régulus pour Rome est un supplice : v.98 (Acte 1, scène 2, MANLIUS)
- Rome oublie un Romain, un défenseur fidèle. v.102 (Acte 1, scène 2, MARCIE)
- Carthage, en l'accablant, se venge d'un vainqueur : v.103 (Acte 1, scène 2, MARCIE)
- Rome, en l'abandonnant, punit un bienfaiteur. v.104 (Acte 1, scène 2, MARCIE)
- Prononcez, Manlius : du sort de ce grand homme v.105 (Acte 1, scène 2, MARCIE)
- Oui doit-on accuser de Carthage ou de Rome ? v.106 (Acte 1, scène 2, MARCIE)
- Les Députés d'Afrique ici doivent se rendre. v.109 (Acte 1, scène 2, MARCIE)
- Hé bien ! de ce secours que pouvez-vous attendre ? v.110 (Acte 1, scène 2, MANLIUS)
- Offrir aux Africains la rançon d'un héros ; v.112 (Acte 1, scène 2, MARCIE)
- Prier ou commander, parler avec courage ; v.113 (Acte 1, scène 2, MARCIE)
- Arracher Régulus aux fureurs de Carthage. v.114 (Acte 1, scène 2, MARCIE)
- N'allez point, Manlius, détruire mon espoir. v.115 (Acte 1, scène 2, MARCIE)
- Vous venez me prier de remplir mon devoir ! v.116 (Acte 1, scène 2, MANLIUS)
- Ne suis-je pas Romain ? Ce titre seul, Madame, v.117 (Acte 1, scène 2, MANLIUS)
- Tout mon sang. J'aurais trop à rougir aujourd'hui, v.119 (Acte 1, scène 2, MANLIUS)
- Mais je vous en préviens, quel_que_soit ce grand homme. v.121 (Acte 1, scène 2, MANLIUS)
- Si son rappel blessait les intérêts de Rome, v.122 (Acte 1, scène 2, MANLIUS)
- N'attendez rien de moi, rien de mon amitié : v.123 (Acte 1, scène 2, MANLIUS)
- Mon coeur, dès ce moment, se ferme à la pitié. v.124 (Acte 1, scène 2, MANLIUS)
- Mais, dans ce coeur, tout cède au bien de la patrie : v.126 (Acte 1, scène 2, MANLIUS)
- Elle seule est l'objet, le but de mes travaux. v.127 (Acte 1, scène 2, MANLIUS)
- Eh ! n'est-ce pas l'aimer que lui rendre un héros ? v.128 (Acte 1, scène 2, MARCIE)
- L'Ambassadeur arrive : v.129 (Acte 1, scène 3, PRISCUS)
- Tout le Peuple à grands flots a couru vers la rive : v.130 (Acte 1, scène 3, PRISCUS)
- Madame, éloignez-vous. v.131 (Acte 1, scène 3, MANLIUS)
- Protégez Régulus, rendez-moi mon époux. v.132 (Acte 1, scène 3, MARCIE)
- Exaucez-moi, grands Dieux ! v.133 (Acte 1, scène 3, MARCIE)
- Que dit-il ? Régulus !... Soutiens-moi. v.135 (Acte 1, scène 4, MARCIE)
- Dieux ! qui me consolez, n'est-ce qu'une ombre vaine ? v.138 (Acte 1, scène 4, MARCIE)
- Non, je suis dans tes bras... Je puis presser ces mains, v.139 (Acte 1, scène 4, MARCIE)
- Ces mains, qui, tant de fois, ont sauvé les Romains ! v.140 (Acte 1, scène 4, MARCIE)
- Elles portent des fers ! justes Dieux ! Quel outrage ! v.141 (Acte 1, scène 4, MARCIE)
- Fais-le jouir bientôt d'une vue aussi chère... v.146 (Acte 1, scène 4, MARCIE)
- Quel bonheur ! quels transports !... Pardonnez, Sénateurs, v.147 (Acte 1, scène 4, MARCIE)
- Vous fûtes les témoins de mes longues douleurs : v.148 (Acte 1, scène 4, MARCIE)
- Soyez-le de ma joie ... v.149 (Acte 1, scène 4, MARCIE)
- Pour les perdre en discours, ils sont trop importants. v.151 (Acte 1, scène 4, RÉGULUS)
- N'écoute point surtout ces transports imprudents. v.152 (Acte 1, scène 4, R?GULUS)
- Je frémis... parle ; que veux-tu dire ? v.153 (Acte 1, scène 4, MARCIE)
- Après tant de tourments, souffre que je respire. v.154 (Acte 1, scène 4, MARCIE)
- Que craindrait Régulus dans le Sénat Romain ? v.156 (Acte 1, scène 4, MARCIE)
- Parmi tant de héros, témoins de son courage, v.157 (Acte 1, scène 4, MARCIE)
- Rivaux de ses vertus, ennemis de Carthage ? v.158 (Acte 1, scène 4, MARCIE)
- Vous avez tous juré de finir son malheur ; v.159 (Acte 1, scène 4, MARCIE)
- Manlius !... Vous, Tribun, soyez son défenseur : v.160 (Acte 1, scène 4, MARCIE)
- C'est un dépôt sacré qu'aujourd'hui je vous laisse. v.161 (Acte 1, scène 4, MARCIE)
- Vous allez servir Rome, en servant ma tendresse. v.162 (Acte 1, scène 4, MARCIE)
- Je dois, je l'avouerai, rendre grâce au destin, v.163 (Acte 1, scène 5, RÉGULUS)
- Qui m'amène aujourd'hui dans le Sénat Romain. v.164 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- J'y porte, sans rougir, ces marques d'esclavage ; v.165 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- La fortune, Romains, commande à la vertu : v.168 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Ô Dieux ! combien de fois j'ai joui de leurs craintes ! v.173 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Les airs retentissaient de leurs farouches plaintes ; v.174 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Le souffle de la mort infectait leurs déserts, v.176 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Et les cris de Carthage, à la douleur en proie, v.177 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Au fond de mon cachot venaient porter la joie. v.178 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Votre ennemie enfin s'abaisse devant vous : v.179 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Du bras qui la poursuit elle a senti les coups. v.180 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Quand le Ciel la punit, quand le Ciel la condamne, v.181 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Ne pouvant arrêter le cours de vos succès, v.183 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Et, si vous rejetez sa première demande, v.185 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Elle souhaite au moins que le Sénat lui rende v.186 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Ces illustres captifs, dans vos murs retenus : v.187 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Les vôtres, à ce prix, vous seraient tous rendus ; v.188 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- À ce prix, je suis libre ; et voilà son adresse. v.189 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Osant me soupçonner d'une lâche faiblesse, v.190 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Voilà comme elle a cru s'assurer de ma foi : v.191 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Ah, Dieux ! v.195 (Acte 1, scène 5, LICINIUS)
- Craignez la paix qu'elle ose demander. v.195 (Acte 1, scène 5, RÉGULUS)
- Si l'échange vous sauve, il le faut accorder. v.196 (Acte 1, scène 5, LICINIUS)
- Gardez d'y consentir : rejetez l'un et l'autre. v.197 (Acte 1, scène 5, RÉGULUS)
- Séparez aujourd'hui mon salut et le vôtre : v.198 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Souvenez-vous de Rome, et non pas de mes fers. v.200 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Et d'un si noble appui que le Sénat se prive ? v.202 (Acte 1, scène 5, LICINIUS)
- Dans l'intérêt commun mon intérêt n'est rien : v.203 (Acte 1, scène 5, RÉGULUS)
- L'État, sans s'appauvrir, peut perdre un citoyen. v.204 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Eh ! Quoi, pour racheter la liberté d'un homme, v.205 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Quel exemple odieux donneriez-vous à Rome ? v.206 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- L'honneur, ce feu sacré, que j'atteste aujourd'hui v.207 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Cette âme des vertus, qui s'éteignent sans lui, v.208 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- De nos antiques moeurs la force héréditaire, v.209 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- La discipline enfin, ce frein si nécessaire ; v.210 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Tout n'est-il pas détruit, si de lâches soldats, v.211 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Qui se disent Romains, et craignent le trépas, v.212 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- De revoir leurs foyers, leurs femmes, leur Patrie ? v.214 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Quels secours en attendre ? Ils ont fui, ces Romains ; v.215 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Ils ont tendu leurs bras aux fers des Africains ! v.216 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Ils ont laissé leur Chef sans secours, sans défense, v.217 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Entouré d'ennemis, qu'immolait sa vengeance ! v.218 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Qu'ils meurent dans les fers ! ils ont fui, sous mes yeux : v.223 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Je les ai commandés ; je dois mourir comme eux. v.224 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Et si l'échange enfin peut être dangereux, v.227 (Acte 1, scène 5, LICINIUS)
- Eh ! qui suis-je, grands Dieux ? v.228 (Acte 1, scène 5, RÉGULUS)
- Vont s'éteindre bientôt sous les glaces de l'âge. v.230 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Les coups de l'infortune, encor plus que mes ans, v.231 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Précipitent la fin de mes jours languissants : v.232 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Tant de jeunes Captifs, espoir de leur pays ? v.236 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Ces Soldats généreux, aigris par l'esclavage, v.237 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Sont autant de Héros, dont vous privez Carthage. v.238 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Romains, je les ai vus, de carnage altérés, v.239 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Arracher de nos mains leurs drapeaux déchirés ; v.240 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Échauffer, enflammer les coeurs les plus timides ; v.241 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Dans les plus grands périls, toujours plus intrépides, v.242 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Ivres de notre sang, dont ils étaient couverts, v.243 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Ne succomber qu'au nombre, et rugit dans leurs fers. v.244 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Devenus vos captifs, gardez-vous de les rendre. v.245 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Contre eux, ce faible bras pourrait-il vous défendre ? v.246 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- D'ailleurs, n'avez-vous point celui de Métellus ; v.247 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Je fus déjà vaincu ; je pourrais encor l'être : v.249 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Votre estime, Romains, je la perdrais peut-être ; v.250 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Quand ils sont contre vous, accepter vos bienfaits. v.252 (Acte 1, scène 5, R?GULUS)
- Qu'ici, dans le Sénat, un arrêt solennel v.255 (Acte 1, scène 5, LICINIUS)
- Vous condamne aux horreurs d'un exil éternel ! v.256 (Acte 1, scène 5, LICINIUS)
- Vous, de qui le retour aujourd'hui nous console ! v.257 (Acte 1, scène 5, LICINIUS)
- Vous, que nous devrions conduire au Capitole ! v.258 (Acte 1, scène 5, LICINIUS)
- Le chercher dans le champ que labouraient ses mains ? v.260 (Acte 1, scène 5, LICINIUS)
- Interrompre le cours de ses travaux rustiques, v.261 (Acte 1, scène 5, LICINIUS)
- Et l'arracher du sein de ses Dieux domestiques ? v.262 (Acte 1, scène 5, LICINIUS)
- On dirait donc un jour, parlant de Régulus ! v.263 (Acte 1, scène 5, LICINIUS)
- Renonçant au repos, prodigue de sa vie, v.265 (Acte 1, scène 5, LICINIUS)
- Il s'immolait entier au bien de la Patrie. v.266 (Acte 1, scène 5, LICINIUS)
- Guerrier, par ses exploits il défendait l'État : v.267 (Acte 1, scène 5, LICINIUS)
- Dans les déserts d'Afrique il s'ouvrit un passage ; v.269 (Acte 1, scène 5, LICINIUS)
- Et ce même Romain, à l'exil condamné, v.271 (Acte 1, scène 5, LICINIUS)
- Mourut dans un cachot, par Rome abandonné. v.272 (Acte 1, scène 5, LICINIUS)
- Va, je leur suis fidèle : v.273 (Acte 1, scène 5, LICINIUS)
- Tout le Peuple, en ce jour, applaudit à mon zèle : v.274 (Acte 1, scène 5, LICINIUS)
- Ou bien, comme un aveu, j'entends votre silence. v.278 (Acte 1, scène 5, RÉGULUS)
- Tout cède, s'attendrit ; et je ressens moi-même v.281 (Acte 1, scène 5, MANLIUS)
- Quel est sur le Sénat ton ascendant suprême. v.282 (Acte 1, scène 5, MANLIUS)
- Il faut peser, sans toi, de si grands intérêts : v.283 (Acte 1, scène 5, MANLIUS)
- Alors, plus d'équité réglera nos décrets ; v.284 (Acte 1, scène 5, MANLIUS)
- Il craint plutôt, il craint l'effet de ta présence. v.286 (Acte 1, scène 5, MANLIUS)
- Hé bien ! Romains, je sors : surtout point de pitié. v.287 (Acte 1, scène 5, RÉGULUS)
- C'est un avis des Dieux que Régulus nous donne. v.289 (Acte 1, scène 6, MANLIUS)
- Que le Sénat s'assemble au Temple de Bellone : v.290 (Acte 1, scène 6, MANLIUS)
- Mais, au défaut des Dieux, agissons en Romains. v.292 (Acte 1, scène 6, MANLIUS)
- Ô héros ! Ô grand homme ! v.293 (Acte 1, scène 7, MANLIUS)
- Faut-il donc qu'à jamais tu sois perdu pour Rome ? v.294 (Acte 1, scène 7, MANLIUS)
- J'ai conçu tes raisons ; je dois, avec éclat, v.295 (Acte 1, scène 7, MANLIUS)
- Je le dois ; il le faut : Rome attend de mon zèle v.297 (Acte 1, scène 7, MANLIUS)
- Que je sois inflexible, et que je sois fidèle : v.298 (Acte 1, scène 7, MANLIUS)
- Que tu vas m'applaudir ! Mais que dira Marcie ? v.301 (Acte 1, scène 7, MANLIUS)
- Elle va m'accuser ou de haine ou d'envie : v.302 (Acte 1, scène 7, MANLIUS)
- Dans les emportements de sa juste douleur, v.303 (Acte 1, scène 7, MANLIUS)
- Mon devoir, à ses yeux, sera mon déshonneur... v.304 (Acte 1, scène 7, MANLIUS)
- Dois-je être, plus que toi, sensible à ses alarmes ? v.306 (Acte 1, scène 7, MANLIUS)
- Je crains peu les soupçons : il est, il est des Dieux ; **** v.307 (Acte 1, scène 7, MANLIUS)
- Et leur regard suffit à l'homme vertueux. v.308 (Acte 1, scène 7, MANLIUS)
- Quand je sers la Patrie, et songe à son bonheur, v.311 (Acte 1, scène 7, MANLIUS)
- J'ai le Ciel pour témoin ; mon juge est dans mon coeur. v.312 (Acte 1, scène 7, MANLIUS)
- Est-il de mon destin d'empoisonner ta vie ? v.314 (Acte 2, scène 1, RÉGULUS)
- J'ai craint de te montrer l'excès de mon amour : v.315 (Acte 2, scène 1, R?GULUS)
- Malheureuse ! Ah ! Pardonne : attendri par tes charmes, v.317 (Acte 2, scène 1, R?GULUS)
- J'ai senti l'amertume et le prix de tes larmes : v.318 (Acte 2, scène 1, R?GULUS)
- Mais enfin j'ai promis... Ainsi donc, pour jamais, v.319 (Acte 2, scène 1, R?GULUS)
- Je consens à briser les noeuds les plus parfaits ! v.320 (Acte 2, scène 1, R?GULUS)
- Je renonce aux doux noms et d'époux et de père ; v.322 (Acte 2, scène 1, R?GULUS)
- À ce soin, le premier d'un coeur tel que le mien, v.323 (Acte 2, scène 1, R?GULUS)
- De former dans mon fils l'âme d'un citoyen ! Hélas !... v.324 (Acte 2, scène 1, R?GULUS)
- Suis-je donc Régulus ? Est-ce là son langage ? v.326 (Acte 2, scène 1, R?GULUS)
- Rome, reçois ici tous les voeux de ce coeur, v.327 (Acte 2, scène 1, R?GULUS)
- Enivré de ta gloire et plein de ta grandeur : v.328 (Acte 2, scène 1, R?GULUS)
- Entouré de liens, c'est toi que je préfère : v.329 (Acte 2, scène 1, R?GULUS)
- Que dis-je ? En ce moment peut-être le Sénat, v.331 (Acte 2, scène 1, R?GULUS)
- Afin de me sauver, immole tout l'État. v.332 (Acte 2, scène 1, R?GULUS)
- Pour me mettre à l'abri de ce zèle barbare, v.333 (Acte 2, scène 1, R?GULUS)
- Se pourrait-il ?... Voilà ce qui doit m'agiter ! v.335 (Acte 2, scène 1, R?GULUS)
- Voilà le seul péril que j'aie à redouter. v.336 (Acte 2, scène 1, R?GULUS)
- Sénateurs, songez bien que la perte d'un homme v.337 (Acte 2, scène 1, R?GULUS)
- Ne doit point occuper les défenseurs de Rome. v.338 (Acte 2, scène 1, R?GULUS)
- De mon amour, Dieux ! quel horrible prix ! v.340 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- De ta perte aujourd'hui rendait Rome complice ! v.342 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- C'était te dévouer à des tourments affreux : v.344 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Mais enfin, tout est su. Le Sénat qui t'admire, v.345 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Tremble, et frémit du piège où tu l'allais conduire : v.346 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Qu'entends-je ? que dis-tu ? v.347 (Acte 2, scène 2, RÉGULUS)
- Oui ; nous te défendrons de ta propre vertu. v.348 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Pour te rendre à ton fils, à sa mère qui t'aime, v.349 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Barbare, il faudra bien t'arracher à toi-même. v.350 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- D'où naissent ces discours qui me glacent d'effroi ? v.351 (Acte 2, scène 2, RÉGULUS)
- De ces nouveaux projets quel est l'auteur ? v.352 (Acte 2, scène 2, R?GULUS)
- Ma tendresse incertaine v.353 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- A su tout découvrir par la Garde Africaine. v.354 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- J'ai couru, j'ai volé, l'oeil inondé de pleurs ; v.355 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Le Temple de Bellone, ouvert à mes douleurs, v.356 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- A retenti soudain de mes trop justes plaintes : v.357 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Un Dieu, sans doute, un Dieu s'expliquait par ma voix : v.359 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- D'un Héros qu'on opprime il soutenait les droits. v.360 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- J'ai fait, n'en doute pas, tout ce que j'ai du faire : v.361 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Prodiguant, tour-à-tour, l'éloge et la prière, v.362 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Si j'ai bravé du rang la vaine dignité ; v.363 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- J'ai de tes longs malheurs retracé l'origine ; v.365 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- J'ai peint dans son horreur la mort qu'on te destine. v.366 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- De tendresse et d'effroi les coeurs ont tressailli : v.368 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- De chacun, fans rougir, j'ai brigué le suffrage. v.369 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Ce noble abaissement déplaît à ton courage : v.370 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Mais, quels que soient ici tes superbes discours v.371 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Qu'as-tu dit ? qu'as-tu fait ? Quelle aveugle tendresse, v.373 (Acte 2, scène 2, RÉGULUS)
- Pour mieux me dégrader, à mon sort t'intéresse ? v.374 (Acte 2, scène 2, R?GULUS)
- À tes vaines frayeurs serai-je donc soumis ? v.375 (Acte 2, scène 2, R?GULUS)
- Parmi ceux de l'État ? v.377 (Acte 2, scène 2, R?GULUS)
- De l'État ? À quel titre ? v.377 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Je prends Rome aujourd'hui, l'Univers pour arbitre, v.378 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Tu renonças, pour eux, aux plus tendres liens. v.380 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Arraché par leur choix de ton champêtre asile, v.381 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Délaissé, quand ton bras ne put leur être utile : v.382 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Lorsque le Ciel enfin te remet dans le port, v.383 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Après un long oubli, que leur dois-tu ? v.384 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Ta mort ! qu'oses-tu dire ? Et ton fils et ta femme v.385 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- N'ont-ils pas, Régulus, quelques droits sur ton âme ? v.386 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Verras-tu d'un oeil sec, et ses pleurs et les miens ? v.387 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Quand tu peux les serrer, rompras-tu nos liens ? v.388 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Peins-toi mon désespoir, et vois, dès aujourd'hui, v.391 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Tu m'aimas !... Ah ! ton coeur infidèle et parjure v.393 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Doit-il donc tout à Rome, et rien à la Nature ? v.394 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- La Nature, Marcie, a des droits précieux, v.395 (Acte 2, scène 2, RÉGULUS)
- Trop connus de ce coeur, qu'elle rendait heureux, v.396 (Acte 2, scène 2, R?GULUS)
- Tu le sais : quand le Ciel eut joint nos destinées, v.397 (Acte 2, scène 2, R?GULUS)
- Dans quels ravissements s'écoulaient nos années ! v.398 (Acte 2, scène 2, R?GULUS)
- Satisfait de ton coeur, sans brigues, sans chagrins, v.399 (Acte 2, scène 2, R?GULUS)
- Enviais-je le sort des superbes humains ? v.400 (Acte 2, scène 2, R?GULUS)
- Exerçant dans mes champs une obscure industrie v.401 (Acte 2, scène 2, R?GULUS)
- Elle m'a réclamé : j'ai volé : je l'ai dû : v.403 (Acte 2, scène 2, R?GULUS)
- J'ai regretté ce temps que je croyais perdu ; v.404 (Acte 2, scène 2, R?GULUS)
- Et, pour la bien venger de ce repos stérile, v.405 (Acte 2, scène 2, R?GULUS)
- Jusqu'au dernier soupir je lui veux être utile. v.406 (Acte 2, scène 2, R?GULUS)
- Qui de nous peut sans crime en être séparé ? v.408 (Acte 2, scène 2, R?GULUS)
- Lui prodiguer son sang, la servir, la défendre, v.409 (Acte 2, scène 2, R?GULUS)
- Va, crois-moi, ce n'est point lui donner, c'est lui rendre. v.410 (Acte 2, scène 2, R?GULUS)
- Ne lui devons-nous pas, rangs, honneurs, sûreté, v.411 (Acte 2, scène 2, R?GULUS)
- Le nom de citoyen, surtout la liberté, v.412 (Acte 2, scène 2, R?GULUS)
- La liberté, sans qui l'homme cesse d'être homme, v.413 (Acte 2, scène 2, R?GULUS)
- Ce droit cher et sacré, qui fait l'orgueil de Rome. v.414 (Acte 2, scène 2, R?GULUS)
- Il faut de quelque peine acheter sa douceur ; v.415 (Acte 2, scène 2, R?GULUS)
- Mais, exempt de travaux, a-t-on droit au bonheur ; v.416 (Acte 2, scène 2, R?GULUS)
- L'ingrat qui le prétend, qu'il s'éloigne, qu'il fuit ; v.417 (Acte 2, scène 2, R?GULUS)
- Qu'il aille, loin du Tibre, ensevelir sa vie, v.418 (Acte 2, scène 2, R?GULUS)
- Et malheureux partout, chassé de l'Univers, v.419 (Acte 2, scène 2, R?GULUS)
- À des monstres cruels disputer les déserts. v.420 (Acte 2, scène 2, R?GULUS)
- Ah, Dieux ! combien ton zèle et t'aveugle et t'égare ! v.421 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Mais quelle est donc enfin, quelle est ta liberté ; v.423 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Ce don si précieux, et par toi si vanté ? v.424 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Des maux qu'elle t'a faits revois la triste image ; v.425 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Depuis douze ans, ta vie est un long esclavage : v.426 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- De périls en périls à toute heure entraîné ; v.427 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Par ta brillante erreur sans cesse dominé, v.428 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Dépendant, inquiet, et dans le rang suprême, v.429 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Cher et cruel époux, depuis ce temps, dis-moi, v.431 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Un jour, un seul moment, as-tu joui de toi ? v.432 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- De l'amitié paisible as-tu goûté les charmes ? v.433 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Voudrais-tu d'un bonheur qui fait couler mes larmes ? v.434 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Je ne puis commander au trouble de mes sens. v.435 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Sceller de tout son sang ce double caractère, v.438 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- À ces doux sentiments abandonner son coeur ; v.439 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Voilà les droits de l'homme, et voilà son bonheur. v.440 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Je répondrai deux mots ; je suis épouse et mère. v.446 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Du noeud qui te retient j'ai connu la douceur ; v.448 (Acte 2, scène 2, RÉGULUS)
- Comme toi, de l'Amour j'ai senti les délices ; v.449 (Acte 2, scène 2, R?GULUS)
- Mais les grandes vertus sont les grands sacrifices : v.450 (Acte 2, scène 2, R?GULUS)
- Ces sublimes efforts distinguent les Romains, v.451 (Acte 2, scène 2, R?GULUS)
- Et les ont séparés du reste des humains. v.452 (Acte 2, scène 2, R?GULUS)
- La Nature leur cède, et leur est asservie ; v.454 (Acte 2, scène 2, R?GULUS)
- Elle combat en vain l'ardeur d'un si beau feu : v.455 (Acte 2, scène 2, R?GULUS)
- L'écouter est d'un homme, et la vaincre est d'un Dieu. v.456 (Acte 2, scène 2, R?GULUS)
- De la gloire, Marcie, ignores-tu les charmes ? v.457 (Acte 2, scène 2, R?GULUS)
- J'ai dû, jusques ici, pardonner à tes larmes ; v.458 (Acte 2, scène 2, R?GULUS)
- D'étouffer tes soupirs, de ne point m'arrêter ; v.460 (Acte 2, scène 2, R?GULUS)
- De ne voir mon trépas que comme une victoire, v.461 (Acte 2, scène 2, R?GULUS)
- Qui me rend tous mes droits, en me rendant ma gloire. v.462 (Acte 2, scène 2, R?GULUS)
- Sois Romaine, du moins, en retenant tes pleurs. v.464 (Acte 2, scène 2, R?GULUS)
- Tout mon coeur la dément, et n'est point fait pour elle. v.466 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Qui, moi ! je te verrais t'arracher de mes bras, v.467 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Pour chercher, loin de moi, le plus affreux trépas ! v.468 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Et tu me défendrais le désespoir, les larmes ! v.470 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Va, de ta fermeté tu peux t'enorgueillir : v.471 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Ma gloire est de t'aimer jusqu'au dernier soupir ; v.472 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- D'aller, de me jeter mourante à ton passage. v.473 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Et de faiblesse encor tu peux me soupçonner, v.475 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Mais, grâce aux Dieux vengeurs et protecteurs du Tibre, v.477 (Acte 2, scène 2, MARCIE)
- Réponds... v.480 (Acte 2, scène 3, RÉGULUS)
- Une lettre... donnez.... v.481 (Acte 2, scène 3, MARCIE)
- J'ose tout, quand je crains pour ta vie. v.482 (Acte 2, scène 3, MARCIE)
- Je les ai soutenus en ami d'un grand homme : v.484 (Acte 2, scène 3, MARCIE)
- Je n'ai vu que ta gloire et l'intérêt de Rome : v.485 (Acte 2, scène 3, MARCIE)
- Qui te donne la mort, nous perd et nous sépare ; v.492 (Acte 2, scène 3, MARCIE)
- Qui, pour toute vertu, n'a que l'art séducteur v.493 (Acte 2, scène 3, MARCIE)
- De fasciner les yeux, de nous voiler son coeur ? v.494 (Acte 2, scène 3, MARCIE)
- Et dont l'austérité, nous prenant pour victimes, v.495 (Acte 2, scène 3, MARCIE)
- De l'ombre du devoir embellit tous ses crimes. v.496 (Acte 2, scène 3, MARCIE)
- Oui ; lui seul fut toujours l'artisan de tes maux : v.497 (Acte 2, scène 3, MARCIE)
- Il n'est point assez grand pour défendre un héros : v.498 (Acte 2, scène 3, MARCIE)
- Il nourrit dans son coeur une secrète envie ; v.499 (Acte 2, scène 3, MARCIE)
- J'abjure ton amour, quand il me fait rougir. v.502 (Acte 2, scène 3, RÉGULUS)
- Prétends-tu pénétrer, d'une vue incertaine, v.503 (Acte 2, scène 3, R?GULUS)
- Les augustes secrets de la grandeur romaine ; v.504 (Acte 2, scène 3, R?GULUS)
- Juger tous ces ressorts, ces douloureux combats, v.505 (Acte 2, scène 3, R?GULUS)
- Renferme tes soupçons : et toi, Priscus, pardonne v.507 (Acte 2, scène 3, R?GULUS)
- Cette indigne faiblesse où son coeur s'abandonne. v.508 (Acte 2, scène 3, R?GULUS)
- Avec transport. Va dire à Manlius, qu'il a rempli mes voeux ; v.509 (Acte 2, scène 3, R?GULUS)
- Pour hâter mon départ, c'est lui seul que j'implore : v.512 (Acte 2, scène 3, R?GULUS)
- Un coeur tel que le sien ne peut se démentir. v.513 (Acte 2, scène 3, R?GULUS)
- D'un Peuple mutiné qu'il éclaire le zèle ; v.515 (Acte 2, scène 3, R?GULUS)
- Qu'il brave son murmure, et qu'il me soit fidèle : v.516 (Acte 2, scène 3, R?GULUS)
- Priscus, son amitié, dont je ressens l'effet, v.517 (Acte 2, scène 3, R?GULUS)
- Éclatera surtout dans ce dernier bienfait. v.518 (Acte 2, scène 3, R?GULUS)
- Le Peuple vers ces lieux accourt de toute part ; v.521 (Acte 2, scène 4, LICINIUS)
- Et tous de Régulus condamnent le départ. v.522 (Acte 2, scène 4, LICINIUS)
- Eh ! dois-je respecter leurs caprices bizarres ? v.523 (Acte 2, scène 4, RÉGULUS)
- On doute que la foi soit due à des Barbares : v.524 (Acte 2, scène 4, LICINIUS)
- Pour décider ce doute et ce point important, v.525 (Acte 2, scène 4, LICINIUS)
- Les Augures mandés s'assemblent à l'instant. v.526 (Acte 2, scène 4, LICINIUS)
- Ni le vol des oiseaux, ni le flanc des victimes, v.527 (Acte 2, scène 4, RÉGULUS)
- Ne peut déterminer nos vertus ou nos crimes : v.528 (Acte 2, scène 4, R?GULUS)
- Je cède, j'obéis à ses lois toujours sures. v.531 (Acte 2, scène 4, R?GULUS)
- L'honneur et la vertu n'ont pas besoin d'augures. v.532 (Acte 2, scène 4, R?GULUS)
- De grâce, cher époux, attendons leurs décrets. v.533 (Acte 2, scène 4, MARCIE)
- Non ; je n'attendrai rien, si mes vaisseaux sont prêts. v.534 (Acte 2, scène 4, RÉGULUS)
- Quoi ! Toujours inflexible, et fier de ton courage, v.535 (Acte 2, scène 4, MARCIE)
- Tu peux me préférer les bourreaux de Carthage ? v.536 (Acte 2, scène 4, MARCIE)
- De ta douleur, va, je suis pénétré : v.537 (Acte 2, scène 4, RÉGULUS)
- Mais voudrais-tu, dis-moi, d'un coeur déshonoré ? v.538 (Acte 2, scène 4, R?GULUS)
- Femme de Régulus, imite sa constance : v.539 (Acte 2, scène 4, R?GULUS)
- Ta faiblesse à la fois m'attendrit et m'offense. v.540 (Acte 2, scène 4, R?GULUS)
- Va rejoindre ton fils, ce fils ton seul espoir, v.541 (Acte 2, scène 4, R?GULUS)
- Qui dut me consoler, et que je n'ose voir. v.542 (Acte 2, scène 4, R?GULUS)
- Ah ! Tu portes la mort dans mes sens effrayés : v.545 (Acte 2, scène 4, MARCIE)
- C'est au nom de ce fils que je tombe à tes pieds... v.546 (Acte 2, scène 4, MARCIE)
- De ce fils tant aimé... Que lui dira sa mère ? v.547 (Acte 2, scène 4, MARCIE)
- Sans cesse à ma douleur il demande son père. v.548 (Acte 2, scène 4, MARCIE)
- Si tu veux le conduire, il peut te ressembler. v.550 (Acte 2, scène 4, MARCIE)
- Au-dessus de son âge, il en a tous les charmes v.551 (Acte 2, scène 4, MARCIE)
- Déjà sa faible main a soulevé les armes : v.552 (Acte 2, scène 4, MARCIE)
- Tout fier d'être ton fils, Il se fait mille fois ; v.553 (Acte 2, scène 4, MARCIE)
- Au récit de tes maux, dans un morne silence, v.555 (Acte 2, scène 4, MARCIE)
- Il semble, encore enfant, méditer ta vengeance. v.556 (Acte 2, scène 4, MARCIE)
- À ce courroux muet succèdent les éclats ; v.557 (Acte 2, scène 4, MARCIE)
- Il vient, avec des cris, se jeter dans mes bras ; v.558 (Acte 2, scène 4, MARCIE)
- Et je l'ai vu souvent pour toi quel doux présage ! v.559 (Acte 2, scène 4, MARCIE)
- S'indigner et frémir au seul nom de Carthage. v.560 (Acte 2, scène 4, MARCIE)
- Tu sembles t'attendrir. v.561 (Acte 2, scène 4, MARCIE)
- Chère épouse !... Il sera l'honneur de son pays. v.562 (Acte 2, scène 4, RÉGULUS)
- Dans es grands sentiments affermis bien son âme : v.563 (Acte 2, scène 4, R?GULUS)
- Puisse-t-il de Carthage être un jour le fléau, v.565 (Acte 2, scène 4, R?GULUS)
- Et dans ses murs fumants pleurer sur mon tombeau ! v.566 (Acte 2, scène 4, R?GULUS)
- Quoi ! je n'obtiendrai rien ! quoi l'amour le plus tendre v.567 (Acte 2, scène 4, MARCIE)
- À ton coeur généreux ne peut se faire entendre ! v.568 (Acte 2, scène 4, MARCIE)
- Désarmez votre ami, qui ne me connaît plus. v.570 (Acte 2, scène 4, MARCIE)
- Qu'espérez-vous de moi, quand il brave vos larmes ! v.571 (Acte 2, scène 4, LICINIUS)
- Ah ! vous n'en doutez pas ; je vous aime tous deux : v.573 (Acte 2, scène 4, RÉGULUS)
- Même en les déchirant, je respecte mes noeuds. v.574 (Acte 2, scène 4, R?GULUS)
- Je sens couler mes pleurs dans ce moment horrible. v.575 (Acte 2, scène 4, R?GULUS)
- Va ; mon coeur, chère épouse, est loin d'être insensible ; v.576 (Acte 2, scène 4, R?GULUS)
- Mais il est des devoirs augustes, révérés, v.577 (Acte 2, scène 4, R?GULUS)
- L'homme doit les remplir ; c'est là son apanage ; v.579 (Acte 2, scène 4, R?GULUS)
- Il doit à ces devoirs mesurer son courage, v.580 (Acte 2, scène 4, R?GULUS)
- Ou languir dans la honte et dans l'obscurité, v.581 (Acte 2, scène 4, R?GULUS)
- Je t'adore et te quitte. v.584 (Acte 2, scène 4, RÉGULUS)
- Adieu. v.585 (Acte 2, scène 4, R?GULUS)
- Ah ! Pour le retenir, tout doit m'être permis. v.586 (Acte 2, scène 4, MARCIE)
- Et, puisque de l'amour il brave le murmure, v.587 (Acte 2, scène 4, MARCIE)
- Faisons parler encor la voix de la Nature. v.588 (Acte 2, scène 4, MARCIE)
- Dans ce lieu, malgré moi, je me vois ramené ! v.590 (Acte 3, scène 1, RÉGULUS)
- L'opprobre d'un Romain, ô Rome, est ton ouvrage ! v.592 (Acte 3, scène 1, R?GULUS)
- Fondateurs de l'Empire, illustres demi-Dieux, v.593 (Acte 3, scène 1, R?GULUS)
- Qu'un airain immortel reproduit à mes yeux, v.594 (Acte 3, scène 1, R?GULUS)
- Vous qu'enflamma toujours l'amour de la Patrie, v.595 (Acte 3, scène 1, R?GULUS)
- Soyez les défenseurs de ma gloire flétrie, v.596 (Acte 3, scène 1, R?GULUS)
- Sortez de vos tombeaux, et garants de ma foi, v.597 (Acte 3, scène 1, R?GULUS)
- Élevez-vous soudain entre ce peuple et moi. v.598 (Acte 3, scène 1, R?GULUS)
- Dans les fers de Carthage, hélas ! Je fus plus libre, v.599 (Acte 3, scène 1, R?GULUS)
- Qu'au sein de ma Patrie et sur les bords du Tibre. v.600 (Acte 3, scène 1, R?GULUS)
- On commande à mes voeux ; on enchaîne mes pas ; v.601 (Acte 3, scène 1, R?GULUS)
- Amis de Régulus, défendez le passage. v.608 (Acte 3, scène 2, LICINIUS)
- Mon devoir. v.609 (Acte 3, scène 2, LICINIUS)
- C'est donc à moi, Tribun, à qui vous insultez ! v.610 (Acte 3, scène 2, RÉGULUS)
- Malheureux que je suis ! ainsi, dans cet asile, v.611 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- J'apportais le flambeau de la guerre civile ! v.612 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- Sus opposer le Peuple au décret du Sénat, v.614 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- As fait parler les Dieux consultés par ton zèle : v.615 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- Va ; garde ta pitié ; je suis au-dessus d'elle. v.616 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- Quand tu crois me sauver, c'est toi, Licinius, v.617 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- Qui plonges le poignard au sein de Régulus : v.618 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- Que dis-tu ? j'obéis, au Peuple, à l'équité. v.621 (Acte 3, scène 2, LICINIUS)
- Je sers Rome et les Dieux ; je sers l'humanité. v.622 (Acte 3, scène 2, LICINIUS)
- Quand ta noble fureur me condamne et m'accuse, v.623 (Acte 3, scène 2, LICINIUS)
- Que tous ces grands motifs soient au moins mon excuse. v.624 (Acte 3, scène 2, LICINIUS)
- Cette main verserait tout mon sang devant toi ; v.626 (Acte 3, scène 2, LICINIUS)
- Mais, quand tu cours remplir des devoirs trop funestes, v.627 (Acte 3, scène 2, LICINIUS)
- Que je reste, grands Dieux ! non, ne l'espérez pas ; v.629 (Acte 3, scène 2, RÉGULUS)
- Non, laissez-moi vous fuir, me sauver de vos bras. v.630 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- C'est une lâcheté que des Romains demandent ! v.631 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- Et c'est de Régulus que des Romains l'attendent ! v.632 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- As-tu donc mérité de mourir dans les fers ? v.633 (Acte 3, scène 2, LICINIUS)
- Eh ! Pourquoi les briser, dis-moi, s'ils me sont chers ? v.634 (Acte 3, scène 2, RÉGULUS)
- Moi ! je préférerais à des fers honorables v.635 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- La triste liberté qu'on laisse à des coupables ! v.636 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- Ces chaînes font ma gloire, et la rendent plus pure. v.639 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- Le dernier citoyen ferait baisser les yeux. v.642 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- Il n'est point de liens, pour l'homme qui les brave ; v.643 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- Et c'est le crime seul qui peut le rendre esclave. v.644 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- Regarde, autour de toi ; contemple nos douleurs : v.645 (Acte 3, scène 2, LICINIUS)
- Rome entière, à tes pieds, les arrose de pleurs. v.646 (Acte 3, scène 2, LICINIUS)
- Je dois mourir pour elle... v.647 (Acte 3, scène 2, RÉGULUS)
- Ainsi d'affreux supplices v.647 (Acte 3, scène 2, LICINIUS)
- Paieront tant de vertus, d'exploits et de services ? v.648 (Acte 3, scène 2, LICINIUS)
- J'ai fait ce que j'ai dû, quand je vous ai servis ; v.649 (Acte 3, scène 2, RÉGULUS)
- Mais il est un moyen de m'en payer le prix. v.650 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- Ont cru dans Régulus vous envoyer un traître, v.652 (Acte 3, scène 2, RÉGULUS)
- Qui de leur cruauté voudrait se préserver, v.653 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- Et viendrait vous trahir, afin de se sauver ; v.654 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- Hé bien ! je vous remets le soin de ma vengeance ; v.656 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- Cherchez, au sein des mers, des triomphes nouveaux : v.658 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- Vos drapeaux avilis et vos aigles captives. v.660 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- N'expirent étendus sur de sanglants débris. v.662 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- Éternel Monument de la rage Africaine, v.663 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- Que ma mort dans vos coeurs soit un titre de haine. v.664 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- Pour vous guider encor, mes mânes en courroux, v.665 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- S'élevant dans vos rangs, marcheront devant vous ; v.666 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- Et, mon nom devenant le signal du carnage, v.667 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- Du fond de mon tombeau je détruirai Carthage. v.668 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- Cette idée ennoblit le trépas où je cours : v.669 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- Ne bornons point la vie au terme de nos jours. v.670 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- Amis, le lâche meurt, et jamais le grand homme : v.671 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- Brutus n'est plus, Brutus respire encor dans Rome. v.672 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- Je vois à mes regards un vaste champ s'ouvrir ; v.673 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- Revivre dans vos coeurs, est-ce donc là mourir ? v.674 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- Entouré d'Africains expirants par mes coups ! v.678 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- Ne m'arrêtez donc plus, au nom d'un Peuple libre, v.679 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- De ces monts, de ces lieux arrosés par le Tibre. v.680 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- Quel prix de mon trépas, et pour moi quels honneurs, v.681 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- Quand je serai nommé parmi vos bienfaiteurs, v.682 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- Lorsque de vieux Romains, héritiers de mon zèle, v.683 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- À leurs enfants un jour m'offriront pour modèle ! v.684 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- Est-ce un Dieu qui nous parle ? v.685 (Acte 3, scène 2, LICINIUS)
- Je sais qu'au fond du coeur, chacun de vous m'envie, v.687 (Acte 3, scène 2, RÉGULUS)
- Et fait des voeux secrets, pour perdre ainsi la vie. v.688 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- Un instant de pitié surprit votre vertu... v.689 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- Vous avez surmonté ces indignes alarmes. v.691 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- Dérobez à mes veux des regrets superflus, v.693 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- Et jusqu'à ses vaisseaux conduisez Régulus. v.694 (Acte 3, scène 2, R?GULUS)
- Ils obéissent tous : je demeure immobile ! v.695 (Acte 3, scène 2, LICINIUS)
- Dieux ! le passage est libre... Africains, je vous suis. v.697 (Acte 3, scène 2, RÉGULUS)
- Avant que de partir, embrasse au moins ton fils. v.698 (Acte 3, scène 3, MARCIE)
- Toi, vole dans ses bras. v.699 (Acte 3, scène 3, MARCIE)
- Quoi ! vous abandonnez votre fils et sa mère ! v.700 (Acte 3, scène 3, ATTILIUS)
- Et quand je vous revois, c'est pour vous perdre. v.702 (Acte 3, scène 3, ATTILIUS)
- Ah ! Demeurez ; soyez l'appui de ma jeunesse : v.703 (Acte 3, scène 3, ATTILIUS)
- Laissez dans votre coeur, faible une seule fois, v.705 (Acte 3, scène 3, ATTILIUS)
- Pénétrer les accents de ma timide voix. v.706 (Acte 3, scène 3, ATTILIUS)
- Au nom de mon amour, de mes pleurs, de mon âge ! v.707 (Acte 3, scène 3, ATTILIUS)
- Mon Père, demeurez, n'allez point à Carthage... v.708 (Acte 3, scène 3, ATTILIUS)
- Mon père, vous m'avez repoussé de vos bras ! v.710 (Acte 3, scène 3, ATTILIUS)
- Que dites-vous, mon fils... va, sois sûr que je t'aime, v.711 (Acte 3, scène 3, RÉGULUS)
- Mais, fils de Régulus, tu dois, au fond du coeur, v.713 (Acte 3, scène 3, R?GULUS)
- Tu dois déjà sentir tout ce que peut l'honneur. v.714 (Acte 3, scène 3, R?GULUS)
- C'est à lui, dans ce jour, qu'il faut que je m'immole : v.715 (Acte 3, scène 3, R?GULUS)
- Par d'indignes regrets au lieu de m'outrager, v.717 (Acte 3, scène 3, R?GULUS)
- Attends, pour me pleurer, qu'il ait détruit Carthage. v.719 (Acte 3, scène 3, R?GULUS)
- Tous ces braves Romains guideront ton courage : v.720 (Acte 3, scène 3, R?GULUS)
- Va, mon fils, fans rien craindre, entre dans la carrière, v.723 (Acte 3, scène 3, R?GULUS)
- De la tendre Marcie apaise les douleurs ; v.725 (Acte 3, scène 3, R?GULUS)
- Mais n'instruis point tes yeux à répandre des pleurs : v.726 (Acte 3, scène 3, R?GULUS)
- Que ta noble constance augmente sa tendresse : v.728 (Acte 3, scène 3, R?GULUS)
- Qu'elle applaudisse, un jour, à tes exploits guerriers, v.729 (Acte 3, scène 3, R?GULUS)
- Sont-ce là les adieux que ton coeur nous prépare ? v.732 (Acte 3, scène 3, MARCIE)
- Ainsi, de mes tourments tu te fais un devoir ! v.733 (Acte 3, scène 3, MARCIE)
- Les prières d'un fils, mes cris, mon désespoir, v.734 (Acte 3, scène 3, MARCIE)
- N'ont pu trouver accès dans ton âme sévère ! v.735 (Acte 3, scène 3, MARCIE)
- Permets du moins, permets, qu'imitant ton courage, v.739 (Acte 3, scène 3, MARCIE)
- J'irai, j'attendrirai ces monstres furieux v.741 (Acte 3, scène 3, MARCIE)
- Sur le sort d'un Héros, plus insensible qu'eux : v.742 (Acte 3, scène 3, MARCIE)
- Tu connaîtras enfin, témoin de leurs alarmes, v.743 (Acte 3, scène 3, MARCIE)
- Les droits de la Nature, et la force des larmes : v.744 (Acte 3, scène 3, MARCIE)
- Altérés de ton sang, s'ils veulent le verser ; v.746 (Acte 3, scène 3, MARCIE)
- Ils pourront, au lieu d'une, égorger trois victimes. v.748 (Acte 3, scène 3, MARCIE)
- Sous le même couteau, leurs bras, que tu conduis, v.749 (Acte 3, scène 3, MARCIE)
- Ah ! Marcie, est-il temps d'ébranler mon courage ? v.752 (Acte 3, scène 3, RÉGULUS)
- Veille sur notre fils ; qu'il devienne un grand homme ! v.755 (Acte 3, scène 3, R?GULUS)
- Tu te dois à ce fils, et tu le dois à Rome. v.756 (Acte 3, scène 3, R?GULUS)
- Tu ne peux en sortir, fans blesser ton devoir, v.757 (Acte 3, scène 3, R?GULUS)
- Il faut, pour être grand, plus que de la valeur. v.760 (Acte 3, scène 3, R?GULUS)
- Qu'il soit l'appui du faible, et l'effroi du coupable ! v.762 (Acte 3, scène 3, R?GULUS)
- Qu'il garde ses serments, qu'il s'exerce aux travaux ! v.763 (Acte 3, scène 3, R?GULUS)
- Dans tous les temps, Marcie aux Romains sera chère : v.765 (Acte 3, scène 3, R?GULUS)
- Du fils de Régulus on aimera la mère. v.766 (Acte 3, scène 3, R?GULUS)
- Ah ! Dieux ! v.767 (Acte 3, scène 3, MARCIE)
- Pourrez-vous le souffrir ce départ odieux ! v.768 (Acte 3, scène 3, MARCIE)
- Vous qui semiez tantôt des fleurs sur son passage, v.769 (Acte 3, scène 3, MARCIE)
- L'abandonnerez-vous aux fureurs de Carthage ? v.770 (Acte 3, scène 3, MARCIE)
- Répondez : êtes-vous assemblés sur ce bord, v.771 (Acte 3, scène 3, MARCIE)
- La mort de Régulus ! La mort la plus cruelle v.773 (Acte 3, scène 3, MARCIE)
- D'un héros, d'un ami, d'un Citoyen fidèle ! v.774 (Acte 3, scène 3, MARCIE)
- La voix d'un Peuple entier, qu'il sauva tant de fois. v.776 (Acte 3, scène 3, MARCIE)
- Dans tes bras maternels, ô Rome que j'implore, v.777 (Acte 3, scène 3, MARCIE)
- Demeure, chère épouse : en attendant que l'âge v.778 (Acte 3, scène 3, MARCIE)
- Enchaîne malgré lui ce guerrier qui t'adore ; v.780 (Acte 3, scène 3, MARCIE)
- Que son honneur respecte, et que le tien dément. v.782 (Acte 3, scène 3, MARCIE)
- Lui, mourir ! lui périr dans d'horribles supplices ! v.783 (Acte 3, scène 3, MARCIE)
- Tremblez... De ses bourreaux vous seriez tous complices. v.784 (Acte 3, scène 3, MARCIE)
- Les supplices sont dus à son persécuteur, v.785 (Acte 3, scène 3, MARCIE)
- De ses maux et des miens lâche et perfide auteur ; v.786 (Acte 3, scène 3, MARCIE)
- Arrête : ô Ciel ! Qu'oses-tu dire ? v.787 (Acte 3, scène 3, RÉGULUS)
- Manlius ! ce Héros, que j'aime et que j'admire ! v.788 (Acte 3, scène 3, R?GULUS)
- De tes emportements, oui, tu me vois confus : v.789 (Acte 3, scène 3, R?GULUS)
- Pour ne la point défendre, ou venger à demi, v.793 (Acte 3, scène 3, R?GULUS)
- Je cours, aux yeux de tous, embrasser mon ami ; v.794 (Acte 3, scène 3, R?GULUS)
- Viens expier, mon fils, un outrage odieux : v.797 (Acte 3, scène 3, R?GULUS)
- J'en atteste les Dieux. v.798 (Acte 3, scène 3, MANLIUS)
- Jusqu'au dernier soupir je lui tiens lieu de père ; v.799 (Acte 3, scène 3, MANLIUS)
- Je le jure, en tes mains, aux yeux de Rome entière. v.800 (Acte 3, scène 3, MANLIUS)
- Je pardonne à Marcie un excès de douleur. v.801 (Acte 3, scène 3, MANLIUS)
- Je n'en ai point rougi ; j'étais sûr de mon coeur : v.802 (Acte 3, scène 3, MANLIUS)
- Je sais, ô Régulus, te plaindre et t'admirer ; v.805 (Acte 3, scène 3, MANLIUS)
- Mais je ne te fais point l'affront de te pleurer. v.806 (Acte 3, scène 3, MANLIUS)
- Et voilà l'amitié dont un Romain s'honore. v.807 (Acte 3, scène 3, RÉGULUS)
- Je fuis : c'est trop longtemps demeurer en ces lieux, v.809 (Acte 3, scène 3, R?GULUS)
- Déshonorer ce jour, et souiller nos adieux. v.810 (Acte 3, scène 3, R?GULUS)
- Marcie !... Ah ! Cache-moi ces indignes alarmes. v.811 (Acte 3, scène 3, R?GULUS)
- Qu'on l'éloigne... Mon fils !... je te défens les larmes. v.812 (Acte 3, scène 3, R?GULUS)
- Il court à ses vaisseaux !.. Il y monte... Grands Dieux ! v.813 (Acte 3, scène 3, MARCIE)
- La force m'abandonne. v.816 (Acte 3, scène 3, MARCIE)
- Sur les jours d'une épouse, et sur ceux de mon fils. v.818 (Acte 3, scène 3, RÉGULUS)
LE CÉLIBATAIRE (1776)
- De moment en moment, tout sert à m'agiter. v.2 (Acte 1, scène 1, VERSEUIL)
- De chez Dursé sa soeur ma femme est revenue, v.3 (Acte 1, scène 1, VERSEUIL)
- Cette nuit !... je souhaite et redoute sa vue. v.4 (Acte 1, scène 1, VERSEUIL)
- Du Marquis de Rosanne on la croit veuve ici. v.5 (Acte 1, scène 1, VERSEUIL)
- Mon cruel Oncle est seul auteur de tout ceci. v.6 (Acte 1, scène 1, VERSEUIL)
- Lui seul de mon Hymen prolonge le mystère, v.7 (Acte 1, scène 1, VERSEUIL)
- Exige le secret, m'en à fait un devoir.... v.9 (Acte 1, scène 1, VERSEUIL)
- Enfin, après six mois, je vais donc la revoir ! v.10 (Acte 1, scène 1, VERSEUIL)
- Eh bien ! Où vas tu donc, et quelle impatience...? v.11 (Acte 1, scène 2, VERSEUIL)
- On a sur l'enveloppe écrit, en diligence.... v.12 (Acte 1, scène 2, LE VALET)
- Eh ! Donne donc. De Terville ! Comment !... v.13 (Acte 1, scène 2, VERSEUIL)
- Point de raisonnement. v.14 (Acte 1, scène 2, VERSEUIL)
- Mais près de Montbrisson crains de me compromettre, v.16 (Acte 1, scène 3, VERSEUIL)
- En me désavouant de tout ce que j'ai fait. v.17 (Acte 1, scène 3, VERSEUIL)
- Ton intérêt le veut, l'amitié le désire, v.19 (Acte 1, scène 3, VERSEUIL)
- Et j'ai dit en ton nom tout ce qu'il fallait dire ; v.20 (Acte 1, scène 3, VERSEUIL)
- Si tu n'en as rien su, c'est un soin de ma part ; v.21 (Acte 1, scène 3, VERSEUIL)
- Je n'osais d'un espoir te flatter au hasard. v.22 (Acte 1, scène 3, VERSEUIL)
- Je voulais te surprendre en faisant ces avances ; v.23 (Acte 1, scène 3, VERSEUIL)
- Et le succès peut seul couvrir mes imprudences. » v.24 (Acte 1, scène 3, VERSEUIL)
- Et voilà justement d'où naît mon embarras ? v.25 (Acte 1, scène 3, VERSEUIL)
- Je tremble de parler ... ou de ne parler pas. v.26 (Acte 1, scène 3, VERSEUIL)
- Quoi !... d'honneur, je m'y perds ; j'aime d'Hymen me lie, v.27 (Acte 1, scène 3, VERSEUIL)
- Très bien ! Aussi Terville a-t-il perdu le sens ? v.29 (Acte 1, scène 3, VERSEUIL)
- Prendre pour cet Hymen les soins les plus pressanTs, v.30 (Acte 1, scène 3, VERSEUIL)
- Lui, de la liberté, défenseur intrépide !... v.31 (Acte 1, scène 3, VERSEUIL)
- Faire un sort à Julie est ce qui le décide. v.32 (Acte 1, scène 3, VERSEUIL)
- Ah ! me voilà perdu. v.33 (Acte 1, scène 3, VERSEUIL)
- Je n'ai rien entendu. v.34 (Acte 1, scène 4, NÉRINE)
- J'entrais mais auriez-vous quelque chose à m'apprendre v.35 (Acte 1, scène 4, N?RINE)
- Tout ce que vous voudrez, je consens à l'entendre. v.36 (Acte 1, scène 4, N?RINE)
- Je suis prête, parlez.... que dis-je ? En ce moment, v.37 (Acte 1, scène 4, N?RINE)
- Ce qui doit se passer se devine aisément. v.38 (Acte 1, scène 4, N?RINE)
- Mais, tout prêt d'épouser, et de se voir lié, v.41 (Acte 1, scène 4, NÉRINE)
- Sur les coeurs qu'il soumet l'Hymen agit d'avance, v.43 (Acte 1, scène 4, N?RINE)
- On s'inquiète, on rêve, on songe à son destin, v.45 (Acte 1, scène 4, N?RINE)
- Madame de Rosanne. v.49 (Acte 1, scène 4, N?RINE)
- Et Nérine, du moins, la trouve-t-elle aimable ? v.51 (Acte 1, scène 4, VERSEUIL)
- Pensez-en bien du mal : vous me le confierez. v.54 (Acte 1, scène 4, NÉRINE)
- Oui : comptez là-dessus. v.55 (Acte 1, scène 4, VERSEUIL)
- On dit qu'elle est jolie. v.55 (Acte 1, scène 4, NÉRINE)
- Chez nous depuis cinq mois elle s'est établie. v.56 (Acte 1, scène 4, N?RINE)
- À peine elle connut Confier de Montbrisson, v.57 (Acte 1, scène 4, N?RINE)
- Qu'elle vint à Paris loger dans sa maison ; v.58 (Acte 1, scène 4, N?RINE)
- Lui, jamais il n'avait entendu parler d'elle. v.59 (Acte 1, scène 4, N?RINE)
- La Dame a du babil, de certains airs de zèle, v.60 (Acte 1, scène 4, N?RINE)
- Et vite pour Julie on demande ses soins ; v.61 (Acte 1, scène 4, N?RINE)
- J'avais peu de crédit, il m'en reste encor moins. v.62 (Acte 1, scène 4, N?RINE)
- Je doute de cela. v.65 (Acte 1, scène 4, VERSEUIL)
- La Marquise aime assez tout ces incidents là. v.66 (Acte 1, scène 4, NÉRINE)
- Pourquoi donc parler bas ? autant vaut-il se taire ? v.68 (Acte 1, scène 4, NÉRINE)
- Dieu ! je fuis ! v.69 (Acte 1, scène 4, VERSEUIL)
- Je dois pour le moment éviter leur présence. v.72 (Acte 1, scène 4, VERSEUIL)
- Ah ! je vous attendois avec empressement : v.73 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Pour la tendre amitié, l'absence est un tourment. v.74 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- J'avais besoin de vous, j'ai du chagrin. Julie, v.75 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- De jour en jour, se livre à sa mélancolie ; v.76 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Cette enfant m'inquiète, et sa moindre douleur v.77 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Ne peut être, Madame, étrangère à mon coeur. v.78 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Voilà peut-être aussi l'objet de sa tristesse. v.80 (Acte 1, scène 5, MADAME DE VERSEUIL)
- A-t-elle enfin reçu de ses nouvelles ? v.81 (Acte 1, scène 5, MADAME DE VERSEUIL)
- Quel ami j'ai perdu ! v.83 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Puis-je sans imprudence, v.83 (Acte 1, scène 5, MADAME DE VERSEUIL)
- Demander le motif d'une si longue absence ? v.84 (Acte 1, scène 5, MADAME DE VERSEUIL)
- Ce qui vous intéresse a droit de me toucher. v.85 (Acte 1, scène 5, MADAME DE VERSEUIL)
- Son malheur est de ceux qu'on ne doit pas cacher. v.86 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Dorival, ( c'est le nom du Pere de Julie ), v.87 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Dans un poste éminent honoroit sa patrie ; v.88 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Mais il montroit des moeurs et de la probité : v.89 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Des délateurs puissans bientôt se réunirent : v.91 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- D'injurieux soupçons par degrés le noircirent, v.92 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- De ses biens, de sa charge, il se vit dépouillé. v.94 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- La Cour fut prévenue, et la Cour fut séduite ; v.95 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Contre un infortuné le crédit sollicite. v.96 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Un long-temps se consume à détruire un méchant : v.97 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Pour perdre un honnête homme, il ne faut qu'un instant. v.98 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Dorival malheureux restait sans espérance : v.99 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Je courus le trouver. « Tu m'aimas dès l'enfance : v.100 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Je te dois tout, lui dis-je, et je viens te l'offrir : v.101 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- T'aider dans la disgrâce est mon plus grand plaisir... v.102 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Non, me dit-il, je vais, loin de la perfidie, v.103 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Armer contre le sort une noble industrie ; v.104 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Mais, tu peux satisfaire au plus doux de mes voeux ; v.106 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Je croyais l'élever, que ce droit t'appartienne. v.108 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Je vais, pour elle seule, au moment du repos, v.109 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Ce récit est fidèle. v.111 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Jugez combien Julie a de droits sur mon zèle ! v.112 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Elle tient, dans mon coeur, de ses vertus épris v.113 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- La place de ma femme et celle de mon fils. v.114 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Suis-je assez malheureux ?... Non, Madame, sans elle, v.115 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Depuis près de deux ans, je les pleure tous deux, v.117 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Tout fuit autour de moi ; je n'ai plus que Julie : v.119 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Et, dans cet abandon trop fait pour alarmer, v.121 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Je tiens par elle encor à la douceur d'aimer. v.122 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Elle en est digne au moins : attentive à vous plaire, v.123 (Acte 1, scène 5, MADAME DE VERSEUIL)
- Enchaîner les beaux ans au fort de la vieillesse, v.128 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Il faut que de son âge exerçant tous les droits, v.129 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Je désire en secret pour ma tendre Julie v.131 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Je protège et chéris tous les penchants du coeur, v.133 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- J'en ai senti long-temps l'innocente douceur : v.134 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Elle doit en jouir : c'est la mon espérance, v.135 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Sur personne, je crois ; mais depuis une année, v.139 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Dans mon coeur, en secret, je l'avais destinée. v.140 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Ce coupable travers qui l'égare aujourd'hui. v.142 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Il a dans Ion erreur, dans son illusion, v.145 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Il s'est déjà, Madame, offert dix mariages v.147 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Qui lui garantissaient les plus grands avantages, v.148 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- La faveur de la Cour ; les grâces, les moyens v.149 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- De servir et son Prince et ses Concitoyens ; v.150 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Il a passé trente ans, je n'ai plus d'espérance. v.152 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- S'il avait moins d'esprit, et s'il combinait moins, v.153 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Je pourrais augurer le succès de mes soins ; v.154 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Vient-on à le prêcher, le devient davantage. v.156 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Il est né délicat, honnête, généreux ; v.157 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Tranquille possesseur d'une fortune immense, v.159 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Terville la dissipe avec indifférence ; v.160 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Insensible à l'espoir d'être utile après lui, v.161 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Comment ! Il s'en occupe.... il y met de l'ardeur ! v.166 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Eh ! Quel est, s'il vous plaît, celui qu'il lui destine ? v.167 (Acte 1, scène 5, MADAME DE VERSEUIL)
- Il est jeune, placé, d'une ancienne origine, v.168 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Ayant l'éclat d'un nom, sans en avoir l'orgueil, v.169 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Charmant ; c'est en un mot, le Comte de Verseuil. v.170 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Le Comte de Verseuil ! v.171 (Acte 1, scène 5, MADAME DE VERSEUIL)
- D'où naît cette surprise ? v.171 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Dites-vous bien le nom ? N'est-ce point par méprise ? v.172 (Acte 1, scène 5, MADAME DE VERSEUIL)
- Et c'est celui dit-on, qu'il a toujours porté. v.174 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- On ne peut davantage. v.175 (Acte 1, scène 5, MADAME DE VERSEUIL)
- Je désirais quelqu'un qui fut de votre goût : v.178 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Madame, et vous pouvez avancer cette affaire. v.180 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Monsieur, je vous déclare, et c'est avec regret, v.181 (Acte 1, scène 5, MADAME DE VERSEUIL)
- Qu'ici mon entremise aura très peu d'effet. v.182 (Acte 1, scène 5, MADAME DE VERSEUIL)
- Quoi que vous en disiez, vous voudrez bien, je gage, v.183 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- De concert avec moi, presser ce mariage. v.184 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- Vous m'en dispenserez. v.185 (Acte 1, scène 5, MADAME DE VERSEUIL)
- Votre sagesse aimable aidera ma raison. v.186 (Acte 1, scène 5, MONTBRISSON)
- En vain à deviner mon esprit se fatigue : v.187 (Acte 1, scène 6, MADAME DE VERSEUIL)
- Je ne peux démêler le noeud de cette intrigue. v.188 (Acte 1, scène 6, MADAME DE VERSEUIL)
- Le Comte de Verseuil aurait pu !.... v.189 (Acte 1, scène 6, MADAME DE VERSEUIL)
- Oui, le même toujours ; aussi vrai que fidèle, v.191 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- Détestant de mon coeur la contrainte cruelle v.192 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- Au gré de mes désirs que vous avez tardé ! v.193 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- Victime d'un ami, d'un soin trop hasardé... v.194 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- Mais pourquoi revenir sur les maux de l'absence ? v.195 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- La peine est déjà loin, quand le bonheur commence. v.196 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- Hé bien, daignez m'entendre. v.199 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- A peine eus-je formé le lien le plus tendre, v.200 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- Soudain, vous le savez, mon Régiment partit. v.201 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- L'honneur parle, il commande et l'amour obéit. v.202 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- D'un exil douloureux enfin le terme expire. v.203 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- Voilà mon tort : j'accours, et, plein d'un juste espoir, v.205 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- Trompé dans mon attente, isolé dans Paris, v.209 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- Jugez de mes regrets ! Je m'accuse, et j'écris. v.210 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- De Montbrisson, dit-il, connais-tu la Pupille ? v.212 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- Je brûle d'y venir : il le souhaite aussi ; v.214 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- Et l'on m'apprend alors que j'épouse Julie ! v.216 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- Qu'au silence du moins je me crus obligé ; v.218 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- Je ne l'ai point rompu : dans cette circonstance v.219 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- Je n'osais de Terville avouer l'imprudence. v.220 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- Voilà d'où naît le mal, je n'ai pu l'éviter ; v.222 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- Et, si dans tout ceci ma conduite est blâmable, v.223 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- Qu'on s'en prenne à lui seul, qui m'a rendu coupable. v.224 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- Puisque je vous revois, tout vous est pardonné. v.226 (Acte 1, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Ainsi donc dans votre ame et dans votre pensée, v.227 (Acte 1, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Vous !... mais combien de voeux je fais pour son bonheur v.229 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- En la louant, Verseuil, on dit ce que j'en pense ; v.231 (Acte 1, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- C'est la grâce naïve unie à la décence. v.232 (Acte 1, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Elle va me haïr, me détester. v.233 (Acte 1, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- D'une vaine frayeur cessez d'être frappée ; v.235 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- Non, je ne la crois pas de moi fort occupée. v.236 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- Si vous cédiez, au reste, au plaisir de changer, v.237 (Acte 1, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Je serais, je vous jure, en fond pour me venger. v.238 (Acte 1, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Tandis qu'on vous offrait de nouvelles conquêtes, v.239 (Acte 1, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Moi, pour mon compte aussi, j'ai fait tourner deux têtes. v.240 (Acte 1, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Ceci devient prenant, v.241 (Acte 1, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Devinez. v.242 (Acte 1, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- De ces énigmes-là j'en devinerais mille. v.244 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- Oui, puisqu'il vous a vue, il a dû s'enflammer ; v.245 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- Terville a trop de goût pour ne pas vous aimer. v.246 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- Il cache, et ce soupçon doit entraîner le vôtre, v.247 (Acte 1, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Dans ses aveux pour moi, ses amours pour une autre. v.248 (Acte 1, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Vous aurez de la peine à vous tirer d'affaire. v.252 (Acte 1, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Je me rends. v.253 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- Déjà ? v.254 (Acte 1, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Dites-moi donc.... v.254 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- Monsieur de Saingérans. v.254 (Acte 1, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- J'étais loin d'y songer. v.256 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- L'anecdote est certaine. v.256 (Acte 1, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Il n'a point trop dormi. v.258 (Acte 1, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Sans doute : v.259 (Acte 1, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Ici ? Je le redoute. v.260 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- Il connaît, m'a-t-il dit, Monsieur de Montbrisson ; v.261 (Acte 1, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- D'exercice et d'étude il fut son compagnon ; v.262 (Acte 1, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Il arrive ce soir et l'a dû même écrire. v.263 (Acte 1, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Fort bien ! c'est sur le tard que mon Oncle soupire !.... v.264 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- Quand j'y pense pourtant, : il ne m'alarme pas, v.265 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- Et peut nous aider même à sortir d'embarras. v.266 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- S'il apprend qu'il s'agit pour moi d'un mariage, v.267 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- Notre homme, j'en réponds, va faire un beau tapage ; v.268 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- Et, grâce à son refus, dont vous serez témoin, v.269 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- D'autre explication nous n'aurons pas besoin. v.270 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- Mais, quand pourrai-je donc, me trahissant moi-même, v.271 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- A l'univers entier dire tout haut que j'aime ! v.272 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- M'abandonner sans crainte à des transports si doux, v.273 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- M'enorgueillir enfin du nom de votre époux, v.274 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- Obéir à l'amour ! Votre délicatesse v.275 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- D'un silence forcé m'imposa la promesse. v.276 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- Sans vous, à feindre ici rien ne m'aurait soumis ; v.277 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- Mon coeur me démentait quand ma bouche a promis. v.278 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- Je brûle d'avouer ce que vous voulez taire, v.280 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- Et je ne risque rien que d'exciter l'envie. v.284 (Acte 1, scène 7, VERSEUIL)
- Quoique l'hymen toujours ait paru lui déplaire, v.287 (Acte 1, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Et libre dans ses moeurs : pouvez-vous oublier v.289 (Acte 1, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Nommait à ses grands biens un autre Légataire v.292 (Acte 1, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- S'il n'eut de vous, dit-on, arraché le serment v.293 (Acte 1, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Désirait un hymen si contraire à nos voeux ? v.297 (Acte 1, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Vous déplairiez peut-être en déclarant vos noeuds ; v.298 (Acte 1, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Et pour moi quel reproche... Ah çà, point de méprise : v.299 (Acte 1, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Je conserve en ces lieux le titre de Marquise, v.300 (Acte 1, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Ta Maîtresse, dis-moi, sait-elle mon retour ? v.306 (Acte 1, scène 8, MADAME DE VERSEUIL)
- Oui, Madame, et je viens demander audience. v.307 (Acte 1, scène 8, NÉRINE)
- Elle descend. v.308 (Acte 1, scène 8, N?RINE)
- Écoutez donc, Monsieur... v.309 (Acte 1, scène 9, NÉRINE)
- Où courez-vous si vite avec cet air d'humeur ? v.310 (Acte 1, scène 9, N?RINE)
- Ils s'entendent déjà ; je n'y serai plus prise. v.312 (Acte 1, scène 9, N?RINE)
- Ah ! le maudit séjour ! Ce Verseuil n'est qu'un fa v.313 (Acte 1, scène 9, N?RINE)
- Va m'égayer au moins ; j'étais d'un morne affreux. v.317 (Acte 1, scène 10, NÉRINE)
- Toujours du mouvement, et jamais une affaire ! v.320 (Acte 1, scène 10, LAFLEUR)
- Ce sont de ces minois qu'on ne peut oublier. v.322 (Acte 1, scène 10, LAFLEUR)
- Oui ; moi, j'ai devancé Jasmin, Germon, Lolive, v.324 (Acte 1, scène 10, LAFLEUR)
- Et me voilà, pestant, enrageant de mon mieux, v.325 (Acte 1, scène 10, LAFLEUR)
- Avec ce bel amour, tu courras donc sans celle ? v.327 (Acte 1, scène 10, NÉRINE)
- Il faut bien, mon enfant. Terville est dans l'ivresse ; v.328 (Acte 1, scène 10, LAFLEUR)
- Il va, vient, s'étourdit. C'est ici, puis c'est là, v.329 (Acte 1, scène 10, LAFLEUR)
- Jamais de poste fixe ; et, malgré tout cela, v.330 (Acte 1, scène 10, LAFLEUR)
- Je ne jurerais pas qu'il n'eût au fond de l'âme v.331 (Acte 1, scène 10, LAFLEUR)
- Souvent je l'ai surpris poussant de longs soupirs... v.333 (Acte 1, scène 10, LAFLEUR)
- Ses distractions ne sont pas des plaisirs. v.334 (Acte 1, scène 10, LAFLEUR)
- Suffit... de ce train là quoiqu'ici je murmure, v.336 (Acte 1, scène 10, LAFLEUR)
- Mes courses cependant valent bien le repos. v.337 (Acte 1, scène 10, LAFLEUR)
- J'ai, pendant ma quinzaine, été dans dix châteaux. v.338 (Acte 1, scène 10, LAFLEUR)
- Des spectacles partout, des fêtes, grande chère. v.339 (Acte 1, scène 10, LAFLEUR)
- Oui-dà ? mais je veux, moi, qu'on soit plus sédentaire ; v.340 (Acte 1, scène 10, NÉRINE)
- Sur ce principe là règle-toi désormais : v.341 (Acte 1, scène 10, N?RINE)
- Point d'intrigue à mener, point d'amant, quel supplice! v.343 (Acte 1, scène 10, N?RINE)
- J'ai du zèle de reste, il est sans exercice ; v.344 (Acte 1, scène 10, N?RINE)
- Ma Maîtresse est charmante, et je la sers de coeur. v.345 (Acte 1, scène 10, N?RINE)
- Il est désespérant.... je suis d'une colère ! . . . v.347 (Acte 1, scène 10, NÉRINE)
- Songe à m'épouser vite, afin de me distraire ! v.348 (Acte 1, scène 10, N?RINE)
- Mon Maître est inflexible et n'entend pas raison v.350 (Acte 1, scène 10, LAFLEUR)
- C'est l'ordre ; et moi, sur-tout, comme premier Valet, v.353 (Acte 1, scène 10, LAFLEUR)
- Je dois m'assujettir à l'état qui lui plaît. v.354 (Acte 1, scène 10, LAFLEUR)
- Il me déplaît à moi. v.355 (Acte 1, scène 10, NÉRINE)
- Je ris de voir Lafleur adopter des systèmes : v.356 (Acte 1, scène 10, NÉRINE)
- Aussi prudent : enfin, v.357 (Acte 1, scène 10, LAFLEUR)
- Aujourd'hui marié, je suis chaste demain. v.358 (Acte 1, scène 10, LAFLEUR)
- L'autre y défend l'hymen.... Que veulent-ils qu'on fasse ? v.360 (Acte 1, scène 10, NÉRINE)
- Je te le dirais bien. v.361 (Acte 1, scène 10, LAFLEUR)
- Et je n'entendrais pas. v.361 (Acte 1, scène 10, LAFLEUR)
- L'amour conjugal a pour moi des appas, v.362 (Acte 1, scène 10, NÉRINE)
- Ou rien. Voilà le diable. v.363 (Acte 1, scène 10, LAFLEUR)
- Où vas-tu donc ? v.364 (Acte 1, scène 10, LAFLEUR)
- Qui n'ait pas comme toi le goût de voyager, v.365 (Acte 1, scène 10, NÉRINE)
- Et qui, jusqu'à l'hymen veuille bien déroger. v.366 (Acte 1, scène 10, N?RINE)
- J'ai le ton de mon siècle .... entre nous, sauf le blâme v.367 (Acte 1, scène 10, LAFLEUR)
- D'accord. v.369 (Acte 1, scène 10, NÉRINE)
- Déjeuner avant tout, et... nous verrons après. v.370 (Acte 1, scène 10, LAFLEUR)
- Ne me voyez-vous point ? Ne suis-je rien au monde ? v.371 (Acte 2, scène 1, NÉRINE)
- Interrogez-moi donc pour que je vous, réponde. v.372 (Acte 2, scène 1, N?RINE)
- On l'attendait.... eh bien ? v.375 (Acte 2, scène 1, JULIE)
- Eh bien, Mademoiselle... v.375 (Acte 2, scène 1, NÉRINE)
- C'est qu'on est à l'affût de la moindre nouvelle, v.376 (Acte 2, scène 1, N?RINE)
- Il amené Lafleur .... riez donc une fois. v.377 (Acte 2, scène 1, N?RINE)
- La santé de Terville ?... v.380 (Acte 2, scène 1, JULIE)
- Eh ! oui : que voulez-vous ? Il s'amuse d'autant. v.382 (Acte 2, scène 1, NÉRINE)
- Chacun a son plaisir et son goût dans la vie : v.383 (Acte 2, scène 1, N?RINE)
- Terville est enchanté quand son cercle varie ; v.384 (Acte 2, scène 1, N?RINE)
- De nos jeunes oisifs il et le plus errant : v.385 (Acte 2, scène 1, N?RINE)
- Mais cela, comme à moi, vous est indifférent ; v.386 (Acte 2, scène 1, N?RINE)
- Nous n'y prenons pas garde. Il court, grand bien lui fasse! v.387 (Acte 2, scène 1, N?RINE)
- Vous ne m'écoutez pas ; maudit soit le destin ! v.390 (Acte 2, scène 1, N?RINE)
- Vous voyez à quel point va pour vous ma tendresse ; v.391 (Acte 2, scène 1, N?RINE)
- Oui : je sèche sur pied... des soupirs !... et puis, rien. v.393 (Acte 2, scène 1, N?RINE)
- Oh ! Je le deviendrai... ce ton froid me désole. v.396 (Acte 2, scène 1, NÉRINE)
- Je n'ai rien à vous dire, et rien à confier. v.398 (Acte 2, scène 1, JULIE)
- Je n'y tiens plus, je pars et sors de la maison. v.402 (Acte 2, scène 1, NÉRINE)
- Le voilà de retour. v.403 (Acte 2, scène 2, MONTBRISSON)
- Et très content de l'être. v.403 (Acte 2, scène 2, TERVILLE)
- Cette fois votre absence a plus duré. v.406 (Acte 2, scène 2, MONTBRISSON)
- D'un reproche flatteur v.409 (Acte 2, scène 2, TERVILLE)
- Oh ! Pendant mon séjour, je prétends la distraire. v.411 (Acte 2, scène 2, TERVILLE)
- J'ai de très grands projets !... Verseuil a-t-il su plaire ? v.412 (Acte 2, scène 2, TERVILLE)
- En effet, rire, aller, danser, à dix-huit ans, v.414 (Acte 2, scène 2, TERVILLE)
- Sa rêverie est douce, et la rend plus aimable. v.416 (Acte 2, scène 2, TERVILLE)
- Où diable a-t-il été ? v.418 (Acte 2, scène 2, TERVILLE)
- Chez Eglé, deux plus loin ; le reste, chez Mélite, v.419 (Acte 2, scène 2, TERVILLE)
- Point de plaisanterie ! v.424 (Acte 2, scène 2, JULIE)
- On vous a donc gardé v.425 (Acte 2, scène 2, JULIE)
- Pendant tout ce temps-là ? v.426 (Acte 2, scène 2, JULIE)
- Malgré moi j'ai cédé. v.426 (Acte 2, scène 2, TERVILLE)
- Prêt à recommencer demain... Ciel ! Quelle vie ! v.427 (Acte 2, scène 2, MONTBRISSON)
- Car enfin, dites-moi, puisque je vous tiens là, v.429 (Acte 2, scène 2, MONTBRISSON)
- Qu'est-ce que vous trouvez de plaisant à cela ? v.430 (Acte 2, scène 2, MONTBRISSON)
- Je me distrais, au moins.....trop heureux qui s'amuse ! v.432 (Acte 2, scène 2, TERVILLE)
- Heureux qui sent le prix de la simplicité, v.433 (Acte 2, scène 2, MONTBRISSON)
- De la paix domestique et de la vérité ! v.434 (Acte 2, scène 2, MONTBRISSON)
- Est le voeu le plus doux, le plus cher à mon coeur. v.438 (Acte 2, scène 2, MONTBRISSON)
- Je la trouve embellie, et sa candeur m'enchante. v.440 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Eh bien ! pour te fixer, que te faut-il de plus ? v.441 (Acte 2, scène 3, MONTBRISSON)
- Et souhaites qu'un autre en soit dépositaire ! v.443 (Acte 2, scène 3, MONTBRISSON)
- Obéis à ton coeur, cède au mien qui t'éclaire. v.444 (Acte 2, scène 3, MONTBRISSON)
- Ma fortune est sa dot. v.445 (Acte 2, scène 3, MONTBRISSON)
- C'est ce dont je me plains, et c'est ce qui m'arrête, v.447 (Acte 2, scène 3, MONTBRISSON)
- Car mon premier dessein roule encor dans ma tête ; v.448 (Acte 2, scène 3, MONTBRISSON)
- Ah ! De grâce, oubliez ce projet. v.449 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Pour vous en détourner, n'ai-je point assez fait ? v.450 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Quand j'établis Julie et m'empresse pour elle, v.451 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Je dois être à l'abri d'une instance nouvelle. v.452 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Mais tu l'aimes, dis-tu? v.453 (Acte 2, scène 3, MONTBRISSON)
- Sans doute, elle m'est chère. v.454 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Je n'entends rien encore au motif qui te guide, v.455 (Acte 2, scène 3, MONTBRISSON)
- Tout dans elle te charme .... un travers te décide ! v.456 (Acte 2, scène 3, MONTBRISSON)
- Il te dit, n'est-ce pas, qu'il faut vivre pour soi, v.458 (Acte 2, scène 3, MONTBRISSON)
- Éluder le tribut qu'on doit à sa Patrie ; v.460 (Acte 2, scène 3, MONTBRISSON)
- Et qu'un sage, un grand homme, un philosophe enfin, v.461 (Acte 2, scène 3, MONTBRISSON)
- Devient un être à part qui n'a plus rien d'humain ? v.462 (Acte 2, scène 3, MONTBRISSON)
- Il me dit d'être heureux, ou de chercher à l'être ; v.463 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- En garde courre moi, de m'en rendre le maître ; v.464 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- D'être libre sur-tout, de craindre et d'éviter v.465 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Un fardeau que l'on prend pour ne le plus quitter. v.466 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Rêver sur le bonheur est l'étude des sages ; v.468 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Ah ! J'étais confiant : mes premières ardeurs v.473 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Me laissaient le bandeau des aimables erreurs. v.474 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Mais j'éprouvai bien-tôt, et sus à mes dépens, v.477 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Que le ton de nos moeurs éteint nos sentiments. v.478 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- On se charge en courant d'une chaîne légère ; v.479 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- L'enchantement d'aimer cède à l'orgueil de plaire ; v.480 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- On est sans passions où dominent les goûts, v.481 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Et l'on se sent blesser dans les noeuds les plus doux : v.482 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Ce coup d'oeil, j'en conviens, m'a rendu moins crédule ; v.483 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Je m'épargne un chagrin, j'évite un ridicule ; v.484 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Je les ai craints tous deux, et, dans mon juste effroi, v.485 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Je me suis bien promis de dépendre de moi : v.486 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- La prudence a vaincu. v.487 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- De ta fausse raison, que ton coeur se défie. v.488 (Acte 2, scène 3, MONTBRISSON)
- Lorsque de la nature on combat l'ascendant, v.489 (Acte 2, scène 3, MONTBRISSON)
- Terville, on est barbare, et l'on n'est pas prudent. v.490 (Acte 2, scène 3, MONTBRISSON)
- Les femmes... entre nous, quelle idée as-tu d'elles ? v.491 (Acte 2, scène 3, MONTBRISSON)
- Sans doute tu n'y vois, dans tes voeux infidèles, v.492 (Acte 2, scène 3, MONTBRISSON)
- Que de faibles jouets que l'on feint d'adorer, v.493 (Acte 2, scène 3, MONTBRISSON)
- Et que, sans nuls remords, on peut déshonorer ? v.494 (Acte 2, scène 3, MONTBRISSON)
- Ah Dieu ! que dites-vous ? Que c'est mal me connaître ! v.495 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Délices de l'esprit et le besoin du coeur. v.498 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Pour moi, je leur devrai le charme de ma vie. v.500 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Pour être délicat, faut-il être enchaîné ? v.502 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Quel qu'il soit, l'esclavage a des fuites cruelles ; v.504 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Il amène les torts, les langueurs, les dégoûts. v.505 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Pour devenir tyran, il suffit d'être époux. v.506 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Mille exemples fameux ont trop su nous l'apprendre. v.507 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- L'homme, armé du pouvoir, néglige d'être tendre : v.508 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Impérieux et froid, même au sein des desirs, v.509 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- En acquérant des droits, il perd tous ses plaisirs. v.510 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Illusion d'un coeur qui s'abuse lui-même! v.511 (Acte 2, scène 3, MONTBRISSON)
- Je ris d'un être vain, inquiet, soucieux, v.513 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Qui se charge, au hasard, d'en rendre un autre heureux. v.514 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- D'avoir à soutenir nos propres destinées. v.516 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Oui, l'on est peu sensé, lorsqu'aux pieds des Autels v.517 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- On va courber son front sous des noeuds éternels, v.518 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Et, du moment qui naît à peine étant le Maître, v.519 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- On ne peut garantir le moment qui doit naître ; v.520 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- L'attrait seul nous décide, et chacun suit son goût : v.522 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Sauf l'égard que je dois à ces noeuds qu'on renomme, v.523 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Mon cher Oncle, d'ailleurs, pourquoi vous plaindre ainsi? v.525 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Contre ce chaste hymen, j'ai beau m'être endurci, v.526 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Je le vois quelquefois sans qu'il me scandalise. v.527 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Qu'ils s'embarquent tous deux sur la foi des serments : v.530 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Et c'est au moins, Monsieur, un moyen d'être utile. v.536 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Ce sera m'enrichir que de lui tout donner. v.541 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Ce coeur si froid voudrait la couronner. v.542 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- De l'héroïsme, allons... mais Verseuil doit dépendre... v.543 (Acte 2, scène 3, MONTBRISSON)
- Son Oncle à vos désirs ne pourra que se rendre. v.544 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Dameret sémillant dans un corps tout débile, v.547 (Acte 2, scène 3, MONTBRISSON)
- Qui promène à grands frais son asthme par la ville, v.548 (Acte 2, scène 3, MONTBRISSON)
- Rien n'est encor profond que le vice et l'ennui. v.550 (Acte 2, scène 3, MONTBRISSON)
- Il nous arrive ; il vient de me l'écrire : v.551 (Acte 2, scène 3, MONTBRISSON)
- On a besoin de lui ; qu'il vienne. v.552 (Acte 2, scène 3, MONTBRISSON)
- Mais je me munirai de son consentement. v.554 (Acte 2, scène 3, MONTBRISSON)
- Il ignore donc tout ? v.555 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Oui ; du moins je le pense. v.555 (Acte 2, scène 3, MONTBRISSON)
- Sa Lettre dit qu'il veut renouer connaissance. v.556 (Acte 2, scène 3, MONTBRISSON)
- Connaissant mieux Julie... Ah ! Comme il doit-l'aimer ! v.558 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Elle est donc de retour ? v.561 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Je vois d'ici quel intérêt l'anime. v.564 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Il ne perd pas son temps. v.565 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- J'honore cette femme on ne peut davantage : v.567 (Acte 2, scène 3, MONTBRISSON)
- La sagesse indulgente est son heureux partage. v.568 (Acte 2, scène 3, MONTBRISSON)
- Et se connaissent-ils depuis longtemps ? v.569 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Je n'en sais rien du tout : tu te moques de moi v.570 (Acte 2, scène 3, MONTBRISSON)
- Votre exemple déjà l'aura gagné peut être ; v.575 (Acte 2, scène 3, MONTBRISSON)
- On fait bien des progrès avec un si bon Maître. v.576 (Acte 2, scène 3, MONTBRISSON)
- Je vous réponds que non : je le déciderai.... v.577 (Acte 2, scène 3, TERVILLE)
- Adieu. v.579 (Acte 2, scène 3, MONTBRISSON)
- Le moyen de souffrir un tort aussi marqué ! v.581 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Ah ! Monsieur de Verseuil, vous allez un peu vite ; v.583 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- De vos pouvoirs ici vous passez la limite. v.584 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Calmez-vous s'il vous plaît, réprimez cette ardeur.... v.585 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Et laissez-moi du moins de quoi tromper mon coeur ; v.586 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Je dois m'en défier, renfermer mon secret, v.589 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Et me réfugier aux pieds d'un autre objet ; v.590 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Refroidi par l'Hymen je me verrais moi-même... v.591 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Comment peut-on risquer d'épouser ce qu'on aime ! v.592 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Et d'un attachement un goût peut préserver. v.594 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Mais, quoi !... Si je déplais, si mon espoir l'offense... v.595 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Je m'en consolerai par mon indépendance. v.596 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Que veut dire, mon cher, le ton que tu prends-là ? v.598 (Acte 2, scène 5, VERSEUIL)
- Julie a de ces traits, v.601 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Qui, dès qu'on les a vus, ne s'effacent jamais : v.602 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- On veut les retrouver dans ceux que l'on adore ; v.603 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- C'est un ... je ne sais quoi, plus doux que les appas, v.605 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Et le coeur qui le sent, ne le définit pas. v.606 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Comment donc ! ce portrait, plein de délicatesse, v.607 (Acte 2, scène 5, VERSEUIL)
- Est digne d'un Amant, et ressemble à l'ivresse! v.608 (Acte 2, scène 5, VERSEUIL)
- Oui, sans détour. v.610 (Acte 2, scène 5, VERSEUIL)
- Emparez-vous d'un bien qu'un ami vous assure. v.612 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Ou, vous ne savez pas ce qu'ici vous perdez... v.613 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Ou, vous manquez, Monsieur, à tous les procédés... v.614 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Eh ! bon Dieu ! quels grands mots ! v.615 (Acte 2, scène 5, VERSEUIL)
- Non, non, ce sont des choses. v.615 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Ce bien que d'accepter tu me fais une loi, v.617 (Acte 2, scène 5, VERSEUIL)
- Que dites-vous ? Qui ? moi ! v.618 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Mais quand je l'aimerais, je voudrais la pourvoir v.622 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Je voudrais..... v.623 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- D'honneur, vous êtes fou. v.624 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- D'honneur, tu n'es pas sage. v.624 (Acte 2, scène 5, VERSEUIL)
- Je vois à cet hymen quelque difficulté. v.626 (Acte 2, scène 5, VERSEUIL)
- D'abord c'est qu'on me hait. v.628 (Acte 2, scène 5, VERSEUIL)
- Eh ! point, on vous adore. v.628 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Voilà bien les amants !... des ombrages sans fin ! v.630 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Ma foi, je ne te dirai pas ; v.633 (Acte 2, scène 5, VERSEUIL)
- T'es-tu persuadé dans le fond de ton ame v.635 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Qu'on doit avec délire être aimé de sa femme ? v.636 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- L'hymen est, tu le sais, un Dieu plein de raison, v.638 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Et l'amour même est sage à l'aspect d'un Notaire. v.639 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Mais tu ne dis pas tout : allons, trêve au mystère v.640 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Conviens-en ; la Marquise a paru dans ces lieux, v.641 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- J'ai droit de l'exiger.... tu l'aimes, je parie ! v.643 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Point de raillerie ? v.644 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Il s'agit d'amitié, je pense ; sans cela v.645 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Je serais très choqué de ce procédé là. v.646 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Tu n'y peux de ce but t'écarter un moment ; v.650 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Tu dois, presque pour rien, y compter la Marquise. v.652 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Demande un peu moins. v.653 (Acte 2, scène 5, VERSEUIL)
- C'est me contrarier que lui rendre des soins : v.654 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Puisqu'il faut dire tout, j'ai des projets sur elle ; v.655 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- De l'objet que je cherche elle est le vrai modèle : v.656 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Elle a de la gaieté, des moeurs, le meilleur ton ; v.657 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Grand-merci de cette confidence. v.659 (Acte 2, scène 5, VERSEUIL)
- Mon coeur, à tous égards, t'a dû la préférence. v.660 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- J'ai déjà même écrit. v.662 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Je saurai la réduire. v.663 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Par cent nouveaux secrets je prétends la séduire ; v.664 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- J'en inventerai tant, qu'elle n'y tiendra pas ; v.665 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Je te dirai ma marche et tu m'applaudiras. v.666 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Il faudra bien : oui, malgré ton peut-être, v.667 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Apprends qu'on est aimé lorsqu'on s'obstine à l'être. v.668 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Mais sois discret, afin que mon bonheur soit pur. v.669 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Tu ne pouvqis choisir un confident plus sûr. v.670 (Acte 2, scène 5, VERSEUIL)
- Il est essentiel, tu vois, de nous entendre ; v.671 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Aux voeux de l'amitié j'ai le droit de prétendre ; v.672 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Tu dois me servir même, au lieu de me croiser ; v.673 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Par des soins mutuels, tenons avec adresse, v.675 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Toi, ta femme, de moi ; moi, de toi, ma Maîtresse, v.676 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Vraiment, tu dois m'aider. v.677 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Modère ce transport. v.677 (Acte 2, scène 5, VERSEUIL)
- Tu t'en trouveras bien, mettons-y de l'accord. v.678 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Dis, me le promets-tu ? v.679 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Ce que tu dis est plein d'extravagance. v.680 (Acte 2, scène 5, VERSEUIL)
- Voilà de nos amis ! v.681 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Tes discours sont si fous ! v.681 (Acte 2, scène 5, VERSEUIL)
- Lui déclarer un feu que je ne puis plus taire. v.684 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Devant moi ? v.685 (Acte 2, scène 5, VERSEUIL)
- Monsieur aujourd'hui trouve tout amusant. v.686 (Acte 2, scène 5, TERVILLE)
- Madame, pardonnez, si mon empressement.... v.689 (Acte 2, scène 6, TERVILLE)
- Paix donc... v.689 (Acte 2, scène 6, TERVILLE)
- J'allais monter dans votre appartement v.690 (Acte 2, scène 6, TERVILLE)
- Point de cérémonie. v.691 (Acte 2, scène 6, MADAME DE VERSEUIL)
- Ô Ciel ! Des compliments auriez-vous la manie ? v.692 (Acte 2, scène 6, MADAME DE VERSEUIL)
- Non ; mais, il est des soins... il m'a seul arrêté ; v.693 (Acte 2, scène 6, TERVILLE)
- Va-t-en donc. v.695 (Acte 2, scène 6, TERVILLE)
- Hem ? Comment ? Qu'est-ce que vous lui dites ? v.695 (Acte 2, scène 6, MADAME DE VERSEUIL)
- Oh ! C'est qu'aux environs il doit quelques visites ; v.696 (Acte 2, scène 6, TERVILLE)
- Je le pressais d'aller. v.697 (Acte 2, scène 6, TERVILLE)
- Je ne veux point troubler un si doux entretien. v.698 (Acte 2, scène 6, VERSEUIL)
- Allez-vous me gronder ? êtes vous courroucée? v.699 (Acte 2, scène 7, TERVILLE)
- Tout cela n'est point fait pour donner de l'humeur. v.702 (Acte 2, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Votre démarche est folle, et pourtant naturelle. v.703 (Acte 2, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Un sang froid admirable ! v.705 (Acte 2, scène 7, TERVILLE)
- Vous avez cru, sans doute, et je vous le pardonne, v.707 (Acte 2, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Qu'à distraire un moment je pouvais être bonne ; v.708 (Acte 2, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Que je préférerais des liens plus aisés v.709 (Acte 2, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- À ces noeuds solennels qui nous sont imposés. v.710 (Acte 2, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Vous vous êtes conduit en vrai Célibataire, v.711 (Acte 2, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Fort bien ! il faut en tout garder son caractère. v.712 (Acte 2, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Je tiens aux vieilles moeurs, aux décences antiques. v.715 (Acte 2, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- C'est ma façon de voir ; elle est des plus gothiques : v.716 (Acte 2, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Je me déclare au moins, et ne me masque pas. v.717 (Acte 2, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Le mariage même eut pour moi des appas, v.718 (Acte 2, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- J'en aimai les devoirs, les égards volontaires, v.719 (Acte 2, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Je suis un composé de petites misères v.720 (Acte 2, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Qui ne vous iraient pas, dont vous seriez honteux, v.721 (Acte 2, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Et l'amour nous rendrait infortunés tous deux. v.722 (Acte 2, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Qui condamne à s'aimer ceux qui s'aiment le moins v.725 (Acte 2, scène 7, TERVILLE)
- Assujettit deux coeurs que l'attrait n'a pas joints ; v.726 (Acte 2, scène 7, TERVILLE)
- Fait deux dupes toujours, et souvent un despote! v.728 (Acte 2, scène 7, TERVILLE)
- Ainsi, vous serez donc ( disons-le... sans détour, ) v.729 (Acte 2, scène 7, TERVILLE)
- Quoi que vous en disiez, j'en ai de temps en temps... v.733 (Acte 2, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Mais ne me parlez point d'un coeur tel que le vôtre. v.736 (Acte 2, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Je m'en défierais trop. v.737 (Acte 2, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Quoiqu'il soit très solide, il a l'air trop distrait. v.738 (Acte 2, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- À force de raison vous n'êtes pas trop sage : v.739 (Acte 2, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Guidé par le caprice, emporté par l'usage, v.740 (Acte 2, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Où, s'il devient profond, c'est dans l'art de changer ; v.742 (Acte 2, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Il trompe par état, cède à la plus nouvelle, v.743 (Acte 2, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Est séduisant, parjure, et gaiement infidèle. v.744 (Acte 2, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Ah ! Peignez-moi, de grâce, avec d'autres couleurs : v.745 (Acte 2, scène 7, TERVILLE)
- Malheur à qui ne voit dans l'état le plus sage, v.747 (Acte 2, scène 7, TERVILLE)
- Que le droit de céder à son humeur volage ! v.748 (Acte 2, scène 7, TERVILLE)
- L'amant qui me ressemble, heureux de s'enflammer, v.749 (Acte 2, scène 7, TERVILLE)
- Veut aimer librement afin de mieux aimer : v.750 (Acte 2, scène 7, TERVILLE)
- De s'engager ailleurs il est toujours le maître, v.751 (Acte 2, scène 7, TERVILLE)
- Mais son coeur est confiant pour le plaisir de l'être. v.752 (Acte 2, scène 7, TERVILLE)
- Des gens dont vous parlez, si j'avais les défauts ; v.753 (Acte 2, scène 7, TERVILLE)
- Si j'étais indiscret, léger, cruel ou faux, v.754 (Acte 2, scène 7, TERVILLE)
- Prétendrais-je à vous plaire ? en aurais-je eu l'envie ? v.755 (Acte 2, scène 7, TERVILLE)
- Quant à l'extérieur, convenez cependant, v.757 (Acte 2, scène 7, TERVILLE)
- De venger les attraits d'un noeud qui les opprime ; v.760 (Acte 2, scène 7, TERVILLE)
- D'offrir au juste orgueil d'un sexe idolâtré, v.761 (Acte 2, scène 7, TERVILLE)
- Ce culte si flatteur des maris ignoré, v.762 (Acte 2, scène 7, TERVILLE)
- Entre mille Beautés de n'en exclure aucune, v.763 (Acte 2, scène 7, TERVILLE)
- Et, toutes les aimant, de n'en préférer qu'une, v.764 (Acte 2, scène 7, TERVILLE)
- De cacher... jusqu'au choix qui peut enorgueillir, v.765 (Acte 2, scène 7, TERVILLE)
- Et d'enchaîner l'amour sous les lois du plaisir ? v.766 (Acte 2, scène 7, TERVILLE)
- Ce langage est joli ; le croyez-vous bien tendre ? v.767 (Acte 2, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- A Ce reproche-là. je n'ai point dû m'attendre. v.768 (Acte 2, scène 7, TERVILLE)
- Vous êtes, dites-vous, épris de mes appas ; v.769 (Acte 2, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Je n'en suis pas la dupe. v.771 (Acte 2, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Si vous vous déguisiez vos véritables feux !... v.773 (Acte 2, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Souvent on est fripon, de peur d'être amoureux : v.774 (Acte 2, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Que veut-elle me dire? v.775 (Acte 2, scène 7, TERVILLE)
- C'est un prétexte vain que je pourrais détruire. v.776 (Acte 2, scène 7, TERVILLE)
- Au reste, il faudra bien que votre coeur l'oublie ; v.779 (Acte 2, scène 7, TERVILLE)
- J'y compte, et, dans ce cas, v.781 (Acte 2, scène 7, TERVILLE)
- De lui ? je le veux bien. v.784 (Acte 2, scène 7, TERVILLE)
- Adieu. Je me retire. v.784 (Acte 2, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Ah ! de grâce, un moment... s'il faut être jaloux, v.785 (Acte 2, scène 7, TERVILLE)
- Vous le dites d'un ton persuasif. v.787 (Acte 2, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Madame, v.787 (Acte 2, scène 7, TERVILLE)
- Ne m'en défiez pas, je connois bien mon ame : v.788 (Acte 2, scène 7, TERVILLE)
- Si je n'ai pas de quoi faire un mari charmant, v.789 (Acte 2, scène 7, TERVILLE)
- J'aurai, quand je voudrai, les défauts d'un Amant. v.790 (Acte 2, scène 7, TERVILLE)
- Ah ! Du moins, je vous prie v.791 (Acte 2, scène 7, TERVILLE)
- Ne l'instruisez de rien. v.792 (Acte 2, scène 7, TERVILLE)
- Moi, j'ai presque oublié ce que vous m'avez dit. v.793 (Acte 2, scène 7, MADAME DE VERSEUIL)
- Quoi ?... ma foi, je m'y perds, sa gaieté m'étourdit. v.794 (Acte 2, scène 7, TERVILLE)
- Aidez-moi de vos soins ; je viens de voir Julie, v.795 (Acte 2, scène 8, MONTBRISSON)
- Madame, et, sur Verseuil quand je l'ai pressentie, v.796 (Acte 2, scène 8, MONTBRISSON)
- Elle a marqué soudain la plus vive douleur. v.797 (Acte 2, scène 8, MONTBRISSON)
- Ses yeux, en se baissant, se sont mouillés de larmes ; v.800 (Acte 2, scène 8, MONTBRISSON)
- Madame, elle vous aime, et surtout vous écoute, v.803 (Acte 2, scène 8, MONTBRISSON)
- Vous saurez arracher l'aveu que je redoute. v.804 (Acte 2, scène 8, MONTBRISSON)
- Dans chaque occasion fiez-vous à mon zele ; v.807 (Acte 2, scène 8, MADAME DE VERSEUIL)
- Combien je vous devrai ! je ne peux voir souffrir v.809 (Acte 2, scène 8, MONTBRISSON)
- Cette ame intéressante et qui craint de s'ouvrir. v.810 (Acte 2, scène 8, MONTBRISSON)
- L'amitié sous vos traits obtiendra davantage. v.812 (Acte 2, scène 8, MONTBRISSON)
- Vous étiez, m'a-t-on dit, dans le petit bosquet ; v.814 (Acte 3, scène 1, NÉRINE)
- Seule à vous affliger : ma foi, Mademoiselle, v.815 (Acte 3, scène 1, N?RINE)
- Quand on a tout pour soi, que l'on est fraîche et belle, v.816 (Acte 3, scène 1, N?RINE)
- Ce n'est plus le dépit, c'est le coeur qui murmure. v.820 (Acte 3, scène 1, NÉRINE)
- Je voudrais avoir part du moins à vos chagrins. v.821 (Acte 3, scène 1, N?RINE)
- Tous vos jours devraient être sereins, v.822 (Acte 3, scène 1, NÉRINE)
- Qui peut dans ce séjour vous arracher des larmes? v.824 (Acte 3, scène 1, N?RINE)
- Eh ! De quoi ? v.827 (Acte 3, scène 1, JULIE)
- Mais... de rien. La douleur est permise ; v.827 (Acte 3, scène 1, NÉRINE)
- Elle me souffle tout ; le plaisir de parler, v.829 (Acte 3, scène 1, N?RINE)
- D'entendre, de répondre et de vous consoler. v.830 (Acte 3, scène 1, N?RINE)
- On me chasse toujours dès que Madame approche. v.832 (Acte 3, scène 2, NÉRINE)
- Eh ! Quoi ! Toujours rêveuse ! À la fleur de vos ans, v.833 (Acte 3, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Au sein de vos amis ! v.834 (Acte 3, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Je ris de temps en temps. v.834 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- Madame ! v.837 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- Je prétends et je dois respecter vos secrets : v.837 (Acte 3, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Mais les déguisements pour vous ne sont pas faits ; v.838 (Acte 3, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Et vous vous trahiriez, en voulant vous contraindre ; v.839 (Acte 3, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Soulagez votre coeur ; vous n'avez rien à craindre ; v.840 (Acte 3, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Vertueux, délicat, et du mien appuyé, v.841 (Acte 3, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- N'oserait-il paraître aux yeux de l'amitié ? v.842 (Acte 3, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Ah ! si vous me louez, je n'oserai rien dire. v.843 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- Ce seul mot là dit tout, et suffit pour m'instruire. v.844 (Acte 3, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- De grâce... v.847 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- Pourquoi donc ? il faut bien vous tirer d'embarras. v.850 (Acte 3, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Madame, puisqu'enfin vous avez deviné, v.853 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- Voyez combien mon coeur doit être infortuné ! v.854 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- Victime d'une erreur qui le perdra lui-même, v.855 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- Je ne peux espérer d'être jamais à lui, v.857 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- Tour ce qui m'enchantait, me désole aujourd'hui. v.858 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- Je le vis en ces lieux dès ma plus tendre enfance, v.859 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- Et trouvai par instinct du charme à sa présence. v.860 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- Il semblait pressentir jusqu'à mes moindres voeux. v.862 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- Même avant de l'aimer, je cherchais à lui plaire. v.863 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- Qui de mes plus beaux jours corrompra la douceur, v.865 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- Et m'offre l'avenir sans l'espoir du bonheur ? v.866 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- Cette douce ignorance était mon bien suprême. v.868 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- La raison vint trop tôt me dessiller les yeux ; v.869 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- Mon coeur fut qu'il aimait et cessa d'être heureux. v.870 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- Le premier voeu du coeur pour moi devint coupable, v.872 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- Et Terville, adoré de moments en moments, v.873 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- Mêlait de l'amertume aux plus doux sentiments. v.874 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- Combien de fois, ô Ciel ! dans les bals, dans les fêtes, v.875 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- En croyant me distraire, il venait m'accabler ; v.877 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- D'après, ce libre aveu, vous connaissez ma flamme ; v.879 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- Cachez-en le secret dans le fond de votre âme, v.880 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- C'est trop de mon tourment sans y joindre le sien. v.882 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- Ordonnez... je vous plains ; mais, croyez-moi, Julie, v.883 (Acte 3, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Ne désespérez pas des soins de votre amie. v.884 (Acte 3, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Terville est inquiet, et flotte dans ses voeux. v.885 (Acte 3, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Ce chagrin est pour moi le plus cruel de tous. v.890 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- Et d'un si noir complot Verseuil est le complice ! v.892 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- Terville, ah ! Dieu! Prétend qu'il m'épouse aujourd'hui ; v.893 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- Aimez-moi, guidez-moi ; je suis bien malheureuse. v.896 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- N'en dites point de mal. v.897 (Acte 3, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Quoi ! De lui qui consent à cet hymen fatal? v.898 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- J'en réponds. v.900 (Acte 3, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Non ; quand tout s'unirait pour vous le proposer, v.901 (Acte 3, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Je suis dans le secret. v.903 (Acte 3, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Depuis cette assurance, v.903 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- Il ne peut m'épouser !... Mais, Madame, pourquoi ? v.905 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- Monsieur de Montbrisson sera-t-il en colère ? v.907 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- Je me sacrifierais plutôt que lui déplaire ; v.908 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- Non, non : Monsieur de Montbrisson v.909 (Acte 3, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Cédera... comme un autre, il entendra raison. v.910 (Acte 3, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Par vous seule mon coeur veut se laisser conduire. v.911 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- On saura le réduire. v.912 (Acte 3, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- C'est ce qu'il faudra voir. v.913 (Acte 3, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Ayez plus de courage et sur-tout plus d'espoir ! v.914 (Acte 3, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Mais, Madame, il me vient une idée v.915 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- Qui trouble tout-à-coup mon âme intimidée. v.916 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- Terville vous regarde et vous parle souvent : v.917 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- Comment ? Vous le devez ; il y va de ma gloire. v.920 (Acte 3, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Verseuil, je vous l'ai dit, ne peut vous épouser, v.922 (Acte 3, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Et rien, ( c'est une énigme encor plus difficile ) v.923 (Acte 3, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Ah ! Madame ! v.926 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- L'effet est ridicule, et ressemble à la cause. v.928 (Acte 3, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Vous sentez-vous dans l'âme un peu de fermeté ? v.929 (Acte 3, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Quoi ! déjà de la timidité ? v.930 (Acte 3, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Madame, expliquez-vous ? v.931 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- Il faut feindre, Julie, v.931 (Acte 3, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- D'aimer .... même Verseuil ; il le faut. v.932 (Acte 3, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- De ma vie v.932 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- Je n'y consentirai. Songez donc quel tourment !... v.933 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- Je ne connais point l'art de feindre un sentiment. v.934 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- Je me charge du crime : en un mot, je l'exige, v.935 (Acte 3, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Je n'ai point de pitié d'un coeur qui vous afflige. v.936 (Acte 3, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- D'ailleurs que servira ?... v.938 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- Il faut bien obéir à son guide. v.939 (Acte 3, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- L'amitié me décide. v.940 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- Composez devant lui votre air et vos discours. v.942 (Acte 3, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Secondez-moi du moins : un mot peut me confondre ; v.943 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- Et de moi-même encor je n'ose vous répondre. v.944 (Acte 3, scène 3, JULIE)
- Enfin, à quand l'hymen ? Va-t-il encor traîner ? v.945 (Acte 3, scène 4, MADAME DE VERSEUIL)
- Vous devez lui trouver un maintien moins sevère, v.947 (Acte 3, scène 4, MADAME DE VERSEUIL)
- Mettez-moi donc au fait.... je ne si pas .... hé bien.. v.949 (Acte 3, scène 4, VERSEUIL)
- Quoi ! Monsieur, vous voilà déconcerté pour rien ? v.950 (Acte 3, scène 4, MADAME DE VERSEUIL)
- Il ne s'agit ici que de tromper Terville, v.952 (Acte 3, scène 4, MADAME DE VERSEUIL)
- Et j'ai besoin de vous.... il faut sonder ses voeux. v.953 (Acte 3, scène 4, MADAME DE VERSEUIL)
- Allons, de la gaieté ? v.954 (Acte 3, scène 4, MADAME DE VERSEUIL)
- Hé bien, dites, voyons..... v.955 (Acte 3, scène 4, VERSEUIL)
- Soyez donc plein d'ardeur en parlant à Julie. v.956 (Acte 3, scène 4, MADAME DE VERSEUIL)
- Voilà l'essentiel .... oui, des transports, des soins. v.957 (Acte 3, scène 4, MADAME DE VERSEUIL)
- Ah ! j'entends.... vous voulez.... v.958 (Acte 3, scène 4, VERSEUIL)
- Prenez-y garde au moins ? v.958 (Acte 3, scène 4, MADAME DE VERSEUIL)
- Mais que dites-vous donc ? v.959 (Acte 3, scène 4, JULIE)
- Je trompe... il doit m'aider, et vous, nous laisser faire. v.960 (Acte 3, scène 4, MADAME DE VERSEUIL)
- Je rends grâce vraiment au hasard qui m'amène : v.964 (Acte 3, scène 5, TERVILLE)
- L'instant est bien choisi : quand on doit être époux, v.965 (Acte 3, scène 5, TERVILLE)
- Tout veut que l'on se livre à des transports si doux, v.966 (Acte 3, scène 5, TERVILLE)
- Vous l'ayez donc enfin décidée ? v.967 (Acte 3, scène 5, TERVILLE)
- C'est ce que tu voulais ? Dis... v.968 (Acte 3, scène 5, VERSEUIL)
- Demande inutile. v.968 (Acte 3, scène 5, MADAME DE VERSEUIL)
- Tant de plaisir revient à l'auteur d'un bienfait ! v.969 (Acte 3, scène 5, MADAME DE VERSEUIL)
- Comme l'on doit sourire à l'heureux qu'on a fait ! v.970 (Acte 3, scène 5, MADAME DE VERSEUIL)
- Monsieur doit refleurir le bonheur qu'il procure. v.971 (Acte 3, scène 5, JULIE)
- Il faudra, s'il vous plaît, ne pas vous éloigner. v.973 (Acte 3, scène 5, MADAME DE VERSEUIL)
- Pourquoi donc ? v.974 (Acte 3, scène 5, TERVILLE)
- Vous signerez, Monsieur, comme ami de Julie. v.976 (Acte 3, scène 5, MADAME DE VERSEUIL)
- Vous qui savez aimer, vous du moins qui le dites ; v.979 (Acte 3, scène 5, MADAME DE VERSEUIL)
- Vous devez..... v.980 (Acte 3, scène 5, MADAME DE VERSEUIL)
- Admirer des flâmes si subites ? v.980 (Acte 3, scène 5, TERVILLE)
- je les admire aussi..... Julie a l'air très gai. v.981 (Acte 3, scène 5, TERVILLE)
- Il y prend part. v.983 (Acte 3, scène 5, VERSEUIL)
- Monsieur, trêve aux discours frivoles ; v.983 (Acte 3, scène 5, MADAME DE VERSEUIL)
- Le temps fuit, il échappe et se perd en paroles. v.984 (Acte 3, scène 5, MADAME DE VERSEUIL)
- Qu'aussi bien que Terville, on désire ardemment. v.986 (Acte 3, scène 5, MADAME DE VERSEUIL)
- Mademoiselle, un mot. v.987 (Acte 3, scène 5, TERVILLE)
- Non, je voudrais ici.... v.988 (Acte 3, scène 5, TERVILLE)
- Qu'avez-vous à me dire ? v.988 (Acte 3, scène 5, JULIE)
- Mais pourquoi cachiez-vous le fond de votre coeur ? v.990 (Acte 3, scène 6, TERVILLE)
- Vous ne voyiez Verseuil qu'avec indifférence, v.991 (Acte 3, scène 6, TERVILLE)
- La raison, la décence, v.992 (Acte 3, scène 6, JULIE)
- M'empêchaient de parler : discrète, à mes dépens, v.993 (Acte 3, scène 6, JULIE)
- L'aveu de Montbrisson m'autorise aujourd'hui. v.998 (Acte 3, scène 6, JULIE)
- Votre âme est donc enfin satisfaite ? v.999 (Acte 3, scène 6, TERVILLE)
- C'est vous qui répandez ce charme sur ma vie : v.1000 (Acte 3, scène 6, JULIE)
- Mais.... quoi qu'enfin je doive à vos soins obligeants, v.1001 (Acte 3, scène 6, JULIE)
- Quelle rage avez-vous de marier les gens ? v.1002 (Acte 3, scène 6, JULIE)
- Vous croyez-vous le seul que l'hymen intimide ? v.1003 (Acte 3, scène 6, JULIE)
- Il ne peut qu'être heureux,quand l'amour y préside. v.1004 (Acte 3, scène 6, TERVILLE)
- Si, redoutant un coeur trop sensible et trop tendre, v.1007 (Acte 3, scène 6, JULIE)
- Je m'étais condamnée à ne jamais dépendre, v.1008 (Acte 3, scène 6, JULIE)
- Ne conviendrez-vous pas que vos soins indiscrets v.1009 (Acte 3, scène 6, JULIE)
- Me livreraient alors à d'éternels regrets ? v.1010 (Acte 3, scène 6, JULIE)
- Qu'ai-je dit ? v.1011 (Acte 3, scène 6, JULIE)
- vous n'avez rien à craindre. v.1011 (Acte 3, scène 6, JULIE)
- Mon bonheur est visible, et c'est trop le contraindre. v.1012 (Acte 3, scène 6, JULIE)
- Je fuis reconnaissante... eh ! ne le dois-je pas ? v.1013 (Acte 3, scène 6, JULIE)
- Je n'ai garde, Monsieur, d'oser vous en dédire. v.1019 (Acte 3, scène 6, JULIE)
- Moi, je dois le louer. v.1020 (Acte 3, scène 6, TERVILLE)
- Moi, je dois y souscrire. v.1020 (Acte 3, scène 6, JULIE)
- Puisqu'il m'est destiné... v.1021 (Acte 3, scène 6, JULIE)
- Votre coeur, je le vois, est très déterminé. v.1022 (Acte 3, scène 6, TERVILLE)
- Je le dois à vos soins, vous me l'avez donné, v.1025 (Acte 3, scène 6, JULIE)
- Mon destin pourrait-il n'être pas fortuné ? v.1026 (Acte 3, scène 6, JULIE)
- Eh bien, Mademoiselle v.1027 (Acte 3, scène 6, TERVILLE)
- J'allais hâter l'instant où l'on doit vous unir, v.1030 (Acte 3, scène 6, TERVILLE)
- Et de votre tuteur dissiper les alarmes. v.1031 (Acte 3, scène 6, TERVILLE)
- Vous voyez qu'il a pour moi des charmes, v.1032 (Acte 3, scène 6, JULIE)
- S'abandonner sans crainte à l'attrait de son coeur, v.1034 (Acte 3, scène 6, JULIE)
- S'enorgueillir des voeux, du nom de ce qu'elle aime, v.1035 (Acte 3, scène 6, JULIE)
- S'applaudir et s'aimer dans un autre soi-même, v.1036 (Acte 3, scène 6, JULIE)
- Lui devoir son état, ses sentiments, ses moeurs v.1037 (Acte 3, scène 6, JULIE)
- Dans ses yeux attendris lire sa destinée ; v.1039 (Acte 3, scène 6, JULIE)
- Exister dans lui seul, à lui seul enchaînée ; v.1040 (Acte 3, scène 6, JULIE)
- Chérir ces doux liens qu'on se plaît à serrer, v.1041 (Acte 3, scène 6, JULIE)
- Et ne regretter qu'eux, au moment d'expirer! v.1042 (Acte 3, scène 6, JULIE)
- D'un noeud, formé par vous, telle est pour moi l'image. v.1044 (Acte 3, scène 6, JULIE)
- Vous ; insultez aux soins de deux coeurs bien unis ; v.1045 (Acte 3, scène 6, JULIE)
- Embrassez une erreur que je ne puis comprendre ; v.1047 (Acte 3, scène 6, JULIE)
- Dans un monde brillant cherchez à la répandre : v.1048 (Acte 3, scène 6, JULIE)
- Peu jaloux du repos, amoureux des succès, v.1049 (Acte 3, scène 6, JULIE)
- Qui soupire avec vous, avec vous s'attendrisse ?... v.1052 (Acte 3, scène 6, JULIE)
- Soyez libre, cédez à de vagues désirs ; v.1053 (Acte 3, scène 6, JULIE)
- Mais... Puisse aucun remords ne troubler vos plaisirs ! v.1054 (Acte 3, scène 6, JULIE)
- Moi, je vous devrai tout, je vous en remercie... v.1055 (Acte 3, scène 6, JULIE)
- Que vous avez bien lu dans le coeur de Julie ! v.1056 (Acte 3, scène 6, JULIE)
- Enfin, c'en est donc fait ; son coeur s'est engagé !... v.1057 (Acte 3, scène 7, TERVILLE)
- J'aurais crains sa douleur autant que ma tendresse. v.1059 (Acte 3, scène 7, TERVILLE)
- Quant à lui... je puis bien répondre de ses feux. v.1061 (Acte 3, scène 7, TERVILLE)
- Le moyen de la voir sans en être amoureux! v.1062 (Acte 3, scène 7, TERVILLE)
- Sa simplicité même est son art de séduire... v.1063 (Acte 3, scène 7, TERVILLE)
- Et même je doutais que son coeur sut aimer. v.1065 (Acte 3, scène 7, TERVILLE)
- De voir qu'en s'enchaînant elle aime son lien. v.1070 (Acte 3, scène 7, TERVILLE)
- Et son bonheur certain va m'adoucir sa perte. v.1072 (Acte 3, scène 7, TERVILLE)
- Ou tous les gens sont-ils ? Picard ! Germon ! Lafleur ! v.1073 (Acte 3, scène 8, NÉRINE)
- D'où vient donc cet effroi ? v.1074 (Acte 3, scène 8, TERVILLE)
- Un vieil écervelé dans ce moment arrive ; v.1076 (Acte 3, scène 8, NÉRINE)
- Saingérans est son nom : à peine descendu, v.1077 (Acte 3, scène 8, N?RINE)
- Vers l'endroit où j'étais il a vite accouru. v.1078 (Acte 3, scène 8, N?RINE)
- Je goûtais le plaisir de n'avoir rien à faire. v.1080 (Acte 3, scène 8, N?RINE)
- Sa lorgnette à la main, il rode autour de moi : v.1082 (Acte 3, scène 8, NÉRINE)
- Je veux fuir ... il me suit ; son air me déconcerte ; v.1083 (Acte 3, scène 8, N?RINE)
- La peste ! quel vieillard, et comme il est alerte ! v.1084 (Acte 3, scène 8, N?RINE)
- Dieu ! c'est lui ! je me sauve ... v.1085 (Acte 3, scène 8, N?RINE)
- Mais c'est un vrai désert. Que la poste est cruelle !... v.1088 (Acte 3, scène 9, SAINGÉRANS)
- L'air plus délibéré, sur-tout un teint plus frais. v.1090 (Acte 3, scène 9, TERVILLE)
- En effet, on voit bien qu'il n'est plus dans sa crise. v.1092 (Acte 3, scène 9, TERVILLE)
- Vous devez être encor formidable en amour ! v.1094 (Acte 3, scène 9, TERVILLE)
- Tel que vous me voyez, je vaudrais la jeunesse ; v.1095 (Acte 3, scène 9, SAINGÉRANS)
- Mais ce chien de mal-là m'ôte un peu de vitesse : v.1096 (Acte 3, scène 9, SAING?RANS)
- Du marasquin, du punch, et du vin d'Auvilé : v.1098 (Acte 3, scène 9, SAING?RANS)
- Mais c'est, je vous assure, un air que je me donne ; v.1100 (Acte 3, scène 9, SAING?RANS)
- Très décidément. v.1101 (Acte 3, scène 9, SAINGÉRANS)
- Je vais prendre un parti. v.1102 (Acte 3, scène 9, SAING?RANS)
- Et décent, v.1102 (Acte 3, scène 9, SAINGÉRANS)
- Tout m'y force ; je sens de la mélancolie, v.1104 (Acte 3, scène 9, SAING?RANS)
- Des vapeurs sombres. v.1105 (Acte 3, scène 9, SAING?RANS)
- Vous ! Ce discours vous sied bien ! v.1105 (Acte 3, scène 9, TERVILLE)
- D'honneur, je suis confus de ne tenir à rien. v.1106 (Acte 3, scène 9, SAINGÉRANS)
- De ne tenir à rien ! Si tout échappe, on s'aime ; v.1107 (Acte 3, scène 9, TERVILLE)
- On rit du genre humain, et l'on tient à soi-même. v.1108 (Acte 3, scène 9, TERVILLE)
- Eh ! d'où vous viennent donc ces ténébreux caprices v.1111 (Acte 3, scène 9, TERVILLE)
- Parfois, dans les coulisses, v.1112 (Acte 3, scène 9, SAINGÉRANS)
- À titre d'amateur. v.1113 (Acte 3, scène 9, SAING?RANS)
- Je vais dormir le soir chez quelque ancien ami, v.1114 (Acte 3, scène 9, SAINGÉRANS)
- A la société je suis toujours fidèle ; v.1115 (Acte 3, scène 9, SAING?RANS)
- Et, comme vous voyez, j'ai des égards pour elle. v.1116 (Acte 3, scène 9, SAING?RANS)
- Ne vous plaignez donc pas ; soyez gai ; tenez bon. v.1117 (Acte 3, scène 9, TERVILLE)
- La vieillesse d'un Sage, est sa belle raison. v.1118 (Acte 3, scène 9, TERVILLE)
- Propos. Je n'y crois pas ; et vous, pas davantage. v.1119 (Acte 3, scène 9, SAINGÉRANS)
- On sent mieux la fatigue à la fin du voyage. v.1120 (Acte 3, scène 9, SAING?RANS)
- Envahi je me dissipe et j'ai recours à l'art : v.1121 (Acte 3, scène 9, SAING?RANS)
- La nature se venge, et je m'en plains trop tard. v.1122 (Acte 3, scène 9, SAING?RANS)
- On ne me voit plus guère aux soupers de nos Princes ; v.1124 (Acte 3, scène 9, SAINGÉRANS)
- Mon Docteur m'interdit la chasse avec le Roi ; v.1125 (Acte 3, scène 9, SAING?RANS)
- Je n'ai point de crédit, n'ayant aucun emploi. v.1126 (Acte 3, scène 9, SAING?RANS)
- J'ai beau parler, conter, disputer à merveille, v.1127 (Acte 3, scène 9, SAING?RANS)
- Et voir le lendemain ceux que j'ai vus la veille v.1128 (Acte 3, scène 9, SAING?RANS)
- Nul retour, pas un soin. C'est dégoût sur dégoût. v.1129 (Acte 3, scène 9, SAING?RANS)
- Vous le saurez trop tôt. Quant au train de la vie v.1131 (Acte 3, scène 9, SAING?RANS)
- Et j'en enrage, au moins.. car, Dieu-merci, tous deux, v.1133 (Acte 3, scène 9, SAING?RANS)
- Mais le comble des maux, c'est dans mon domestique. v.1135 (Acte 3, scène 9, SAING?RANS)
- Chez moi, pas un valet qui ne soit despotique. v.1136 (Acte 3, scène 9, SAING?RANS)
- Sans un vieil Intendant qui se fâche pour moi. v.1138 (Acte 3, scène 9, SAING?RANS)
- Ces inconvénients ont dessillé ma vue ; v.1139 (Acte 3, scène 9, SAING?RANS)
- On ne nous entend pas. v.1141 (Acte 3, scène 9, SAING?RANS)
- On l'obstine, elle gronde, et cela désennuie. v.1144 (Acte 3, scène 9, SAINGÉRANS)
- Et qui peut vous donner un conseil si cruel ? v.1146 (Acte 3, scène 9, TERVILLE)
- Qui ! vous du célibat, le soutien et l'Apôtre, v.1147 (Acte 3, scène 9, TERVILLE)
- Sur le plus noble état déchaîner le brocard ? v.1149 (Acte 3, scène 9, TERVILLE)
- Serez-vous plus heureux d'avoir une coquette v.1151 (Acte 3, scène 9, TERVILLE)
- Qui rira d'un vieillard dormant à sa toilette ; v.1152 (Acte 3, scène 9, TERVILLE)
- Aura des soupers fins d'où vous serez exclus ; v.1153 (Acte 3, scène 9, TERVILLE)
- Des amis, qui bientôt ne vous salueront plus ; v.1154 (Acte 3, scène 9, TERVILLE)
- Et, vous tenant pour mort, feront voeu dans leur âme ; v.1155 (Acte 3, scène 9, TERVILLE)
- Du vivant de Monsieur, de consoler Madame ? v.1156 (Acte 3, scène 9, TERVILLE)
- Votre nouveau projet, vous dis-je, est des plus fous. v.1158 (Acte 3, scène 9, TERVILLE)
- Le train d'une maison, les fêtes, l'étiquette, v.1159 (Acte 3, scène 9, TERVILLE)
- Pour me distraire un peu, joindre la Compagnie ; v.1164 (Acte 3, scène 9, SAINGÉRANS)
- On sera sûrement enchanté de me voir. v.1165 (Acte 3, scène 9, SAING?RANS)
- Pourquoi donc ? v.1166 (Acte 3, scène 9, SAINGÉRANS)
- J'ai, dans ce moment-ci, le projet d'être aimable. v.1167 (Acte 3, scène 9, SAINGÉRANS)
- Oh ! Nous sommes perdus. v.1168 (Acte 3, scène 9, TERVILLE)
- Un objet adorable !... v.1168 (Acte 3, scène 9, SAINGÉRANS)
- Quel est donc cet objet auquel vous prétendez ? v.1169 (Acte 3, scène 9, TERVILLE)
- Vous saurez le détail que vous me demandez : v.1170 (Acte 3, scène 9, SAINGÉRANS)
- Verseuil est dans ces, lieux. v.1172 (Acte 3, scène 9, TERVILLE)
- Je le savais d'avance. v.1172 (Acte 3, scène 9, SAINGÉRANS)
- Pour une grande affaire. v.1173 (Acte 3, scène 9, TERVILLE)
- Il est dissimulé, mais je sais son secret. v.1174 (Acte 3, scène 9, SAINGÉRANS)
- D'une certaine femme, elle est, dit-on, l'amie ; v.1176 (Acte 3, scène 9, SAING?RANS)
- Bon incident pour moi ! c'est que ... mais sans façon v.1177 (Acte 3, scène 9, SAING?RANS)
- Hâtez surtout un noeud vraiment fait pour vous plaire. v.1179 (Acte 3, scène 9, TERVILLE)
- Verseuil n'attendait plus qu'un aveu nécessaire. v.1180 (Acte 3, scène 9, TERVILLE)
- Ainsi que le repos, me rend la liberté. v.1182 (Acte 3, scène 9, TERVILLE)
- À moins de me trahir je n'en sortirai pas. v.1186 (Acte 1, scène 1, MADAME DE VERSEUIL)
- J'entrevois à présent d'où venait son silence ; v.1187 (Acte 1, scène 1, MONTBRISSON)
- C'était timidité, plutôt qu'indifférence. v.1188 (Acte 1, scène 1, MONTBRISSON)
- Le donner pour modèle à ces hommes volages, v.1191 (Acte 1, scène 1, MONTBRISSON)
- Corrupteurs déguisés fous le titre de sages. v.1192 (Acte 1, scène 1, MONTBRISSON)
- Qui, détachés de tout, n'ont que des voeux distraits, v.1193 (Acte 1, scène 1, MONTBRISSON)
- Égarent la beauté, savent, avec adresse, v.1195 (Acte 1, scène 1, MONTBRISSON)
- Vers la réduction attirer sa faiblesse ; v.1196 (Acte 1, scène 1, MONTBRISSON)
- Se font de la tromper un honneur inhumain, v.1197 (Acte 1, scène 1, MONTBRISSON)
- Et s'emparent du coeur, quand un autre à la main. v.1198 (Acte 1, scène 1, MONTBRISSON)
- Pardon, mon âme souffre et j'aime à la répandre ; v.1199 (Acte 1, scène 1, MONTBRISSON)
- Mais je puis vous parler : la vôtre fait m'entendre. v.1200 (Acte 1, scène 1, MONTBRISSON)
- Doux, honnête, empressé, Verseuil saura lui plaire, v.1207 (Acte 1, scène 1, MONTBRISSON)
- Elle voudrait peut-être un aveu de son père, v.1208 (Acte 1, scène 1, MADAME DE VERSEUIL)
- Tenez, je crois enfin lire au fond de son coeur, v.1210 (Acte 1, scène 1, MONTBRISSON)
- Je m'en flatte du moins ; elle pense sans doute v.1211 (Acte 1, scène 1, MONTBRISSON)
- Ses soins depuis longtemps ont consolé ma vie, v.1215 (Acte 1, scène 1, MONTBRISSON)
- Monsieur... si cependant... v.1217 (Acte 1, scène 1, MADAME DE VERSEUIL)
- Tranquillisez-vous donc. Qui voulez-vous qu'elle aime ? v.1219 (Acte 1, scène 1, MONTBRISSON)
- Le coeur de ma pupille est de vous mal connu : v.1221 (Acte 1, scène 1, MONTBRISSON)
- Pour nourrir de tels feux, elle a trop de vertu, v.1222 (Acte 1, scène 1, MONTBRISSON)
- Je vous dirai bien plus, et la preuve est facile : v.1223 (Acte 1, scène 1, MONTBRISSON)
- Elle est depuis six mois plus froide avec Terville, v.1224 (Acte 1, scène 1, MONTBRISSON)
- Le cherche beaucoup moins, s'occupe moins de lui : v.1225 (Acte 1, scène 1, MONTBRISSON)
- Ce soupçon est injuste, et sur-tout aujourd'hui. v.1226 (Acte 1, scène 1, MONTBRISSON)
- Concevez donc ma peine en cette circonstance : v.1227 (Acte 1, scène 1, MONTBRISSON)
- Je suis loin d'y songer. v.1229 (Acte 1, scène 1, MONTBRISSON)
- Je crains, en l'éclairant, de déchirer son coeur. v.1230 (Acte 1, scène 1, MADAME DE VERSEUIL)
- On m'attend... j'oubliais que Saingérans me presse ; v.1231 (Acte 1, scène 1, MONTBRISSON)
- Malgré moi je diffère et tiens mal ma promesse. v.1232 (Acte 1, scène 1, MONTBRISSON)
- Ce n'est que son bonheur qui peut me rendre heureux, v.1234 (Acte 1, scène 1, MONTBRISSON)
- Périsse l'âme froide, insensible et stérile v.1235 (Acte 1, scène 1, MONTBRISSON)
- Que n'enflamma jamais le plaisir d'être utile ! v.1236 (Acte 1, scène 1, MONTBRISSON)
- Et c'est, en le gardant, Montbrisson que j'offense ; v.1240 (Acte 1, scène 2, MADAME DE VERSEUIL)
- Ce maudit Saingérans ! Il a de la raison v.1241 (Acte 1, scène 2, MADAME DE VERSEUIL)
- Pour la première fois !... Elle est hors de saison. v.1242 (Acte 1, scène 2, MADAME DE VERSEUIL)
- Et, jusque à ce jour, ardent célibataire, v.1243 (Acte 1, scène 2, MADAME DE VERSEUIL)
- Il fait cas de l'hymen, dès qu'il nous est contraire. v.1244 (Acte 1, scène 2, MADAME DE VERSEUIL)
- Des feux qu'il dissimule, essayons le pouvoir. v.1246 (Acte 1, scène 2, MADAME DE VERSEUIL)
- Il aime... qu'il épouse et qu'il cède à Julie. v.1248 (Acte 1, scène 2, MADAME DE VERSEUIL)
- Et vous viendrez encor vanter son caractère ! v.1252 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- On sait que de Julie il doit être l'époux ; v.1254 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- Montbrisson le veut bien, son Oncle le désire, v.1255 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- Ici, dans cet espoir, mon amitié l'attire, v.1256 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- Par votre empressement vous secondez nos voeux, v.1257 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- Et Monsieur, m'a-t-on dit, rompt soudain tous ces noeuds ! v.1258 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- C'est moi, moi seul ! Julie!... ah ! Madame, pardon. v.1261 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- Devait-elle éprouver un pareil abandon? v.1262 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- Je vois avec chagrin que cela vous désole. v.1263 (Acte 1, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Que voulez-vous, Terville ? on adopte vos moeurs, v.1265 (Acte 1, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Et l'exemple d'un sage est puissant sur les coeurs. v.1266 (Acte 1, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Il fallait donc le dire... v.1267 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- J'ai cru voir des rapports... le zèle qui m'inspire... v.1268 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- Je ne vous l'aurais pas destiné pour époux ; v.1270 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- J'ai là-dessus le coup d'oeil infaillible ; v.1272 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- Et ma tendre amitié brûlait de les unir. v.1274 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- Sans doute. Au reste, je réclame v.1275 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- L'équité, l'honneur même, et j'espère, Madame, v.1276 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- Qu'après l'affront cruel qu'il nous fait aujourd'hui, v.1277 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- Oh ! Divorce total. v.1279 (Acte 1, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Le pire de tout, v.1281 (Acte 1, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- C'est que Julie, enfin, pour Verseuil a du goût, v.1282 (Acte 1, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Mais un goût décidé : son coeur est très sensible. v.1283 (Acte 1, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Que vous en dit Julie ? v.1287 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- Comment ! Dites avec tendresse. v.1288 (Acte 1, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Mon_Dieu ! très volontiers : ajoutons seulement v.1289 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- De son esprit, son ton, sa douceur, sa figure, v.1292 (Acte 1, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Eh bien, à mes discours elle a joint son aveu. v.1294 (Acte 1, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Et d'un mot ne m'a pas démentie. v.1295 (Acte 1, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Oui, je lui veux du bien ... mais, c'est vous le premier v.1297 (Acte 1, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Qui formâtes le noeud dont il va le lier : v.1298 (Acte 1, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Et croyez qu'à Julie on n'est pas infidèle ... v.1300 (Acte 1, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Mais, écoutez-moi donc avec moins d'embarras, v.1301 (Acte 1, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Quand un autre à sa main eut le droit de prétendre, v.1303 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- Oui, j'irais, n'est-ce pas, m'aviser d'être tendre ? v.1304 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- Tout ce qu'un zèle vrai peut inspirer de soins, v.1305 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- Je m'y soumets pour elle, et je le dois peut-être. v.1307 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- Sans doute il faut l'aimer, quand on sait la connaître. v.1308 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- Vouloir ce qui lui plaît est habitude en moi. v.1309 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- Et je suis maintenant bien sûr de le braver. v.1314 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- On ne peut se méprendre au motif qui m'anime, v.1315 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- Et vous ne doutez pas qu'il ne soit légitime. v.1316 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- Je m'en flatte du moins : j'ai banni pour jamais, v.1317 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- Ces feux nés dans le trouble et suivis des regrets. v.1318 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- Je serai trop content de l'avoir pour amie. v.1320 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- Vous êtes trop heureux de n'être point aimé. v.1322 (Acte 1, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Concevez à quel point il deviendrait cruel ; v.1325 (Acte 1, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Figurez-vous alors le désespoir mortel, v.1326 (Acte 1, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Les tourments inouïs d'une amante égarée v.1327 (Acte 1, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- De tout ce qu'elle adore à jamais séparée. v.1328 (Acte 1, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Combien je vous plaindrais! v.1329 (Acte 1, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- Ce reproche toujours viendrait troubler ma vie, v.1331 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- Et je dois... m'applaudir des froideurs de Julie. v.1332 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- Je vous dirai bien plus : lorsqu'un moment d'erreur v.1333 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- M'a flatté quelquefois d'avoir touché son coeur, v.1334 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- Et j'avais l'air soumis, que l'on a quand on aime ; v.1336 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- Par bonheur, sur mon doute, elle m'a rassuré ; v.1337 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- Son penchant pour Verseuil m'est assez démontré.... v.1338 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- Ce Verseuil est heureux ! avouez-le, Madame. v.1339 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- On l'aime !... Il le mérite !... Il conviendra du moins, v.1341 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- S'il obtient ce trésor, qu'il le doit à mes soins... v.1342 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- Il m'a bien secondé, j'aurais tort de me plaindre. v.1343 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- Sûr d'être indifférent, je n'ai plus rien à craindre ; v.1344 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- Allons... je jouirai, moi qui sais leurs destins, v.1345 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- En voyant que Julie aura des jours sereins. v.1346 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- Ce voeu de l'amitié n'est point un voeu stérile.... v.1347 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- J'ai su l'accoutumer à disposer de soi, v.1349 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- Et le bonheur d'autrui n'est point perdu pour moi. v.1350 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- Oh ! Brisons là-dessus .... v.1353 (Acte 1, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- De votre amour pour moi vous ne me parlez plus. v.1354 (Acte 1, scène 3, MADAME DE VERSEUIL)
- L'aveu fut indiscret. v.1355 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- Moi ! Je n'aurais pas eu le désir de vous plaire ? v.1356 (Acte 1, scène 3, TERVILLE)
- Demeurez. v.1358 (Acte 1, scène 4, MADAME DE VERSEUIL)
- Madame, v.1359 (Acte 1, scène 4, JULIE)
- C'est plus que de la joie : oui, lisez dans mon âme. v.1360 (Acte 1, scène 4, JULIE)
- Mon père !... Quel bonheur m'attendait aujourd'hui ! v.1361 (Acte 1, scène 4, JULIE)
- Je viens de recevoir une lettre de lui. v.1362 (Acte 1, scène 4, JULIE)
- De mon attachement les marques lui sont chères ; v.1364 (Acte 1, scène 4, JULIE)
- Mon souvenir, dit-il, adoucit tous ses maux, v.1365 (Acte 1, scène 4, JULIE)
- Puissé-je de mes jours racheter ses travaux ! v.1366 (Acte 1, scène 4, JULIE)
- Pourquoi faut-il, hélas ! contraignant ma tendresse, v.1367 (Acte 1, scène 4, JULIE)
- Consumer loin de lui mon oisive jeunesse ; v.1368 (Acte 1, scène 4, JULIE)
- Sur des bords étrangers le laisser sans soutien, v.1369 (Acte 1, scène 4, JULIE)
- Et, quand je lui dois tout, ne m'acquitter de rien ? v.1370 (Acte 1, scène 4, JULIE)
- Mon coeur le cherche au moins ; dans son impatience, v.1371 (Acte 1, scène 4, JULIE)
- Des climats qu'il habite il franchit la distance : v.1372 (Acte 1, scène 4, JULIE)
- Je le vois, je l'entends, je lui peins mes regrets.... v.1373 (Acte 1, scène 4, JULIE)
- Eh! qu'est-ce que des pleurs pour payer ses bienfaits? v.1374 (Acte 1, scène 4, JULIE)
- Embrassez-moi. Vous m'avez attendrie. v.1375 (Acte 1, scène 4, MADAME DE VERSEUIL)
- Mademoiselle, ainsi la nature et l'amour v.1377 (Acte 1, scène 4, TERVILLE)
- Semblent d'accord tous deux pour vous faire un beau jour ? v.1378 (Acte 1, scène 4, TERVILLE)
- De ce vieux Monsieur là nous avions bien besoin ! v.1381 (Acte 1, scène 4, JULIE)
- Je voudrais, comme vous, le voir déjà très loin. v.1382 (Acte 1, scène 4, MADAME DE VERSEUIL)
- Toutes deux contre lui ! quelle en est donc la cause ? v.1383 (Acte 1, scène 4, TERVILLE)
- De son séjour ici craignez-vous quelque chose ? v.1384 (Acte 1, scène 4, JULIE)
- Vous ne savez donc pas qu'il vient pour m'épouser? v.1386 (Acte 1, scène 4, MADAME DE VERSEUIL)
- Plus de délais, te dis-je ; un tel hymen m'enchante. v.1387 (Acte 1, scène 5, SAINGÉRANS)
- Quelle pudeur ! v.1389 (Acte 1, scène 5, SAINGÉRANS)
- Allons donc ; finissez : v.1389 (Acte 1, scène 5, MADAME DE VERSEUIL)
- C'est un de mes talents. v.1393 (Acte 1, scène 5, SAINGÉRANS)
- Dans la société, je vais, je viens, j'entends ; v.1394 (Acte 1, scène 5, SAING?RANS)
- Aussi, c'est pour cela, ( je dis la vérité ), v.1397 (Acte 1, scène 5, SAING?RANS)
- Ah ça ! répondez net à ce que je propose. v.1399 (Acte 1, scène 5, SAING?RANS)
- On dit que je suis vieux, il en est quelque chose ; v.1400 (Acte 1, scène 5, SAING?RANS)
- Mais enfin, je suis riche, en dédommagements : v.1401 (Acte 1, scène 5, SAING?RANS)
- Vous avez peu de biens ; joignez-y ma fortune : v.1403 (Acte 1, scène 5, SAING?RANS)
- Une maison doit plaire, et vous en tiendrez une, v.1404 (Acte 1, scène 5, SAING?RANS)
- Où vous vivrez, ma foi, comme il vous conviendra ; v.1405 (Acte 1, scène 5, SAING?RANS)
- Sous vos prodigues mains l'or y circulera. v.1406 (Acte 1, scène 5, SAING?RANS)
- Je ne suis point gênant : sans que rien me déplaise, v.1407 (Acte 1, scène 5, SAING?RANS)
- Je reviendrai le soir ... pour causer seulement, v.1409 (Acte 1, scène 5, SAING?RANS)
- Qu'est-ce donc ? v.1411 (Acte 1, scène 5, MADAME DE VERSEUIL)
- Et vraiment séduisante. v.1412 (Acte 1, scène 5, MADAME DE VERSEUIL)
- Allons, décidez-vous, acceptez le marché ; v.1413 (Acte 1, scène 5, SAINGÉRANS)
- Il n'est pas si mauvais : loin d'en être fâché, v.1414 (Acte 1, scène 5, SAING?RANS)
- Verseuil, demandez-lui, brûle au fond de son âme, v.1415 (Acte 1, scène 5, SAING?RANS)
- D'applaudir à mon choix, et de vous voir ma femme. v.1416 (Acte 1, scène 5, SAING?RANS)
- Paix donc. v.1417 (Acte 1, scène 5, SAINGÉRANS)
- Je fais ce qu'il me faut, et j'aurai soin de moi : v.1418 (Acte 1, scène 5, SAINGÉRANS)
- Ne perdons point de temps. v.1421 (Acte 1, scène 5, JULIE)
- De grâce. v.1422 (Acte 1, scène 5, MADAME DE VERSEUIL)
- Vous m'en voudriez trop. Les petits soins !.... Mesdames, v.1423 (Acte 1, scène 5, SAINGÉRANS)
- C'est avec ces rien-là que l'on séduit les femmes. v.1424 (Acte 1, scène 5, SAING?RANS)
- Nous voilà seuls, osons ; profitons du moment, v.1425 (Acte 1, scène 6, VERSEUIL)
- Et faisons le rougir de son aveuglement. v.1426 (Acte 1, scène 6, VERSEUIL)
- Où donc, Monsieur_le_Comte, est la galanterie ? v.1427 (Acte 1, scène 6, TERVILLE)
- Comment vous reconnAître à ce procédé-là ? v.1429 (Acte 1, scène 6, TERVILLE)
- Julie est indulgente ! v.1431 (Acte 1, scène 6, VERSEUIL)
- Écoute, point d'humeur ; c'est pour toi que je reste. v.1432 (Acte 1, scène 6, VERSEUIL)
- Serait-ce aussi pour moi qu'on vous a vu soudain v.1433 (Acte 1, scène 6, TERVILLE)
- J'ai tort. Mais, les soucis, les tourments du ménage, v.1435 (Acte 1, scène 6, VERSEUIL)
- L'hymen peut, par hasard, assembler deux heureux. v.1437 (Acte 1, scène 6, TERVILLE)
- J'ai cru que ce hasard vous regardait tous deux ; v.1438 (Acte 1, scène 6, TERVILLE)
- Qui semblait m'assurer le bonheur de Julie. v.1440 (Acte 1, scène 6, TERVILLE)
- L'aurais-je donc risqué, moi, Monsieur (j'en conviens) v.1441 (Acte 1, scène 6, TERVILLE)
- Qui donnerais mes jours pour embellir les siens. v.1442 (Acte 1, scène 6, TERVILLE)
- On vous offre des soins, on presse, on sollicite, v.1443 (Acte 1, scène 6, TERVILLE)
- Et d'un zèle si vrai voilà quelle est la suite !... v.1444 (Acte 1, scène 6, TERVILLE)
- Je ne m'alarme pas ; j'ai de quoi te confondre. v.1447 (Acte 1, scène 6, VERSEUIL)
- Je t'embarrasserais, si je voulais répondre. v.1448 (Acte 1, scène 6, VERSEUIL)
- Répondez. v.1449 (Acte 1, scène 6, TERVILLE)
- Des maris que tu fais, je te crois fort jaloux... v.1450 (Acte 1, scène 6, VERSEUIL)
- Vous êtes clairvoyant : moi, de la jalousie! v.1451 (Acte 1, scène 6, TERVILLE)
- Dépose contre toi, te condamne et m'éclaire. v.1456 (Acte 1, scène 6, VERSEUIL)
- Et sur quoi, s'il vous plaît ? expliquez-vous donc mieux. v.1457 (Acte 1, scène 6, TERVILLE)
- On doit plaindre l'erreur, mais la tienne est trop forte ; v.1460 (Acte 1, scène 6, VERSEUIL)
- Je t'y dois arracher. Gênant tes propres voeux, v.1461 (Acte 1, scène 6, VERSEUIL)
- Tu prétends au bonheur, et te rends malheureux ! v.1462 (Acte 1, scène 6, VERSEUIL)
- Tremble ; si tu ne l'es, tu le seras sans doute. v.1463 (Acte 1, scène 6, VERSEUIL)
- C'est l'avenir, sur-tout, que pour toi je redoute. v.1464 (Acte 1, scène 6, VERSEUIL)
- Une forte d'orgueil, un faux et triste honneur v.1465 (Acte 1, scène 6, VERSEUIL)
- Le sentiment s'y cache et ne peut s'y détruire : v.1467 (Acte 1, scène 6, VERSEUIL)
- Mais, quand il va renaître, il fera ton martyre. v.1468 (Acte 1, scène 6, VERSEUIL)
- Errant, toujours à plaindre et jamais consolé. v.1470 (Acte 1, scène 6, VERSEUIL)
- Eh ! ne te vante point d'avoir un caractère. v.1471 (Acte 1, scène 6, VERSEUIL)
- Crois-tu que c'en soit un d'être Célibataire ? v.1472 (Acte 1, scène 6, VERSEUIL)
- Pur écart de l'esprit, abus de la raison, v.1473 (Acte 1, scène 6, VERSEUIL)
- Préparant les ennuis de l'arrière saison. v.1474 (Acte 1, scène 6, VERSEUIL)
- Que ce jour à Julie unifie mon destin, v.1477 (Acte 1, scène 6, VERSEUIL)
- Ton coeur désabusé peut me haïr demain. v.1478 (Acte 1, scène 6, VERSEUIL)
- L'aspect de mon bonheur deviendra ton supplice : v.1479 (Acte 1, scène 6, VERSEUIL)
- Vous ; n'en suivez pas moins, docile à vos penchants, v.1485 (Acte 1, scène 6, TERVILLE)
- La trace fraîche encor des premiers sentiments. v.1486 (Acte 1, scène 6, TERVILLE)
- Et ce tumulte heureux de l'aveugle jeunesse ; v.1488 (Acte 1, scène 6, TERVILLE)
- Et, sur-tout aujourd'hui, je crois l'avoir prouvé. v.1490 (Acte 1, scène 6, TERVILLE)
- De mes réflexions je n'ai pas été maître. v.1491 (Acte 1, scène 6, TERVILLE)
- C'est ce qu'il vous plaira ; mais j'y tiens, j'y tiendrai. v.1493 (Acte 1, scène 6, TERVILLE)
- Je me suis fait des lois, et je les remplirai. v.1494 (Acte 1, scène 6, TERVILLE)
- Aux dépens du bonheur !... je vous laisse à vous-même. v.1495 (Acte 1, scène 6, VERSEUIL)
- Bon par instinct, craignez d'être dur par système. v.1496 (Acte 1, scène 6, VERSEUIL)
- Va vous remettre un bien qui vous fut destiné... v.1498 (Acte 1, scène 6, VERSEUIL)
- Prononcez ; de votre âme écoutez le murmure. v.1499 (Acte 1, scène 6, VERSEUIL)
- Laissant de vains calculs, ne suivez que ses lois ; v.1501 (Acte 1, scène 6, VERSEUIL)
- Aimez, soyez heureux, et rentrez dans vos droits. v.1502 (Acte 1, scène 6, VERSEUIL)
- Je n'ai rien à répondre, il a lu dans mon âme. v.1503 (Acte 1, scène 7, TERVILLE)
- J'aime Julie, ô Ciel ! et lui donne un époux ! v.1506 (Acte 1, scène 7, TERVILLE)
- Je veux, pour me sauver de ma propre faiblesse, v.1507 (Acte 1, scène 7, TERVILLE)
- Oui... mon bonheur dépend de cet effort cruel. v.1509 (Acte 1, scène 7, TERVILLE)
- Peut-être, en m'en privant, je m'épargne des larmes : v.1512 (Acte 1, scène 7, TERVILLE)
- Détruirait-elle en moi ce qu'a fait la raison ? v.1514 (Acte 1, scène 7, TERVILLE)
- L'homme ne peut-il donc former une entreprise ? v.1515 (Acte 1, scène 7, TERVILLE)
- Et qu'est-ce que l'esprit quand le coeur le maîtrise ? v.1516 (Acte 1, scène 7, TERVILLE)
- De contraires désirs tour-à-tour agité, v.1517 (Acte 1, scène 7, TERVILLE)
- Sans celle loin de moi je me sens emporté. v.1518 (Acte 1, scène 7, TERVILLE)
- Je souffre, et j'en rougis... qui me l'eut dit, qu'un jour v.1521 (Acte 1, scène 7, TERVILLE)
- Tout le plan de ma vie échouerait par l'amour ? v.1522 (Acte 1, scène 7, TERVILLE)
- Quand c'est l'âme qui lutte avec le caractère ! v.1524 (Acte 1, scène 7, TERVILLE)
- Lui seul doit triompher ... rien ne me changera. v.1525 (Acte 1, scène 7, TERVILLE)
- Monsieur peut deviner l'objet de ma visite. v.1527 (Acte 1, scène 8, LAFLEUR)
- Dépêche : allons. v.1528 (Acte 1, scène 8, TERVILLE)
- De quoi donc s'agit-il ? v.1529 (Acte 1, scène 8, TERVILLE)
- Mais de l'hymen prochain, v.1529 (Acte 1, scène 8, LAFLEUR)
- De Julie aujourd'hui Verseuil reçoit la main. v.1530 (Acte 1, scène 8, LAFLEUR)
- Aujourd'hui ! v.1531 (Acte 1, scène 8, TERVILLE)
- Dans ces lieux il n'est bruit d'autre chose ; v.1531 (Acte 1, scène 8, LAFLEUR)
- Et c'est vous, Monsieur, qui... permettez donc que j'ose v.1532 (Acte 1, scène 8, LAFLEUR)
- Oui, la noce est au diable... il n'est plus d'espérance, v.1535 (Acte 5, scène 1, LAFLEUR)
- Il me met de moitié dans son indépendance, v.1536 (Acte 5, scène 1, LAFLEUR)
- Et, comme il parle haut, il m'a déterminé, v.1537 (Acte 5, scène 1, LAFLEUR)
- C'est fait ; au célibat me voilà condamné. v.1538 (Acte 5, scène 1, LAFLEUR)
- Car l'hymen de Verseuil n'a pas l'air de se faire. v.1540 (Acte 5, scène 1, NÉRINE)
- Montbrisson est rêveur, Saingérans perd l'esprit. v.1542 (Acte 5, scène 1, N?RINE)
- Il se démène, il jure, on se regarde, on cause, v.1543 (Acte 5, scène 1, N?RINE)
- Quoi qu'il en soit, mon maître au milieu du fracas v.1545 (Acte 5, scène 1, LAFLEUR)
- Est fixé en ses vouloirs ; il n'en démordra pas. v.1546 (Acte 5, scène 1, LAFLEUR)
- Ainsi donc, pour la vie v.1548 (Acte 5, scène 1, NÉRINE)
- Ne va pas m'attendrir. v.1549 (Acte 5, scène 1, LAFLEUR)
- Ton plan est de m'aimer, laisse-là ta folie. v.1551 (Acte 5, scène 1, NÉRINE)
- D'abord le Célibat est mon antipathie, v.1552 (Acte 5, scène 1, N?RINE)
- A quoi pensai-je aussi d'aimer Monsieur Lafleur ? v.1554 (Acte 5, scène 1, N?RINE)
- Je ris de ta grimace : v.1555 (Acte 5, scène 1, NÉRINE)
- Çà, point de temps perdu : voyons ce qui se passe v.1556 (Acte 5, scène 1, N?RINE)
- Et défais-toi, sur-tout, de tes airs importants. v.1557 (Acte 5, scène 1, N?RINE)
- Si tu n'oses parler, observe, écoute, entends. v.1558 (Acte 5, scène 1, N?RINE)
- L'état d'incertitude est un état funeste ; v.1559 (Acte 5, scène 1, N?RINE)
- Le moyen de s'attendre à ces accidents-là ? v.1561 (Acte 5, scène 2, SAINGÉRANS)
- Qui donc ? v.1563 (Acte 5, scène 2, SAINGÉRANS)
- J'apprends à le connaître. v.1564 (Acte 5, scène 2, TERVILLE)
- Eh ! Mais, vous le savez de reste. v.1567 (Acte 5, scène 2, TERVILLE)
- Dans ces secrets, enfin, soyez initié. v.1569 (Acte 5, scène 2, SAINGÉRANS)
- Depuis plus de six mois Verseuil est marié. v.1570 (Acte 5, scène 2, SAING?RANS)
- Lui ! Quel conte ! À qui donc ? v.1571 (Acte 5, scène 2, TERVILLE)
- J'en enrage dans l'âme. v.1571 (Acte 5, scène 2, SAINGÉRANS)
- Eh ! Non, vous dis-je, non. v.1574 (Acte 5, scène 2, SAINGÉRANS)
- Vous êtes seul, dit-il, coupable en cette affaire. v.1576 (Acte 5, scène 2, SAINGÉRANS)
- Votre indiscrétion malgré lui l'engagea ; v.1577 (Acte 5, scène 2, SAING?RANS)
- Fort bien ! vous mariez ceux qui le sont déjà. v.1578 (Acte 5, scène 2, SAING?RANS)
- Ce qu'elle aime, est hélas ! dans un autre lien ! v.1581 (Acte 5, scène 2, TERVILLE)
- Quel tourment pour son coeur! quel remords pour le mien! v.1582 (Acte 5, scène 2, TERVILLE)
- Verseuil est marié ! je n'y puis rien comprendre... v.1583 (Acte 5, scène 2, TERVILLE)
- Et, sans vous emporter, vous avez pu l'apprendre ? v.1584 (Acte 5, scène 2, TERVILLE)
- Je ne dis point cela. J'ai crié, j'ai tonné, v.1585 (Acte 5, scène 2, SAINGÉRANS)
- Et puis, le pathétique.... et puis, j'ai pardonné. v.1586 (Acte 5, scène 2, SAING?RANS)
- Voyons : qu'aurai-je à dire ? v.1588 (Acte 5, scène 2, TERVILLE)
- Quand Montbrisson... v.1589 (Acte 5, scène 2, TERVILLE)
- Le casse qui voudra : car, s'il faut parler net, v.1593 (Acte 5, scène 2, SAINGÉRANS)
- Je crois au fond du coeur que Verseuil a bien fait : v.1594 (Acte 5, scène 2, SAING?RANS)
- Je compte, mon très cher, sur vos soins diligents. v.1598 (Acte 5, scène 2, SAINGÉRANS)
- Ma tendresse en ces noeuds sera moins compromise : v.1600 (Acte 5, scène 2, SAING?RANS)
- Quand d'un premier époux on regrette le ton, v.1601 (Acte 5, scène 2, SAING?RANS)
- Un autre perd souvent à la comparaison. v.1602 (Acte 5, scène 2, SAING?RANS)
- Les vapeurs d'hymen à coup sûr vous égarent. v.1603 (Acte 5, scène 2, TERVILLE)
- Point du tout, et mes feux aujourd'hui se déclarent. v.1604 (Acte 5, scène 2, SAINGÉRANS)
- Et ce qui n'est qu'un jeu vous deviendra pénible. v.1608 (Acte 5, scène 2, TERVILLE)
- Au temps plus fort que nous il faut savoir céder, v.1609 (Acte 5, scène 2, TERVILLE)
- Et renoncer aux droits qu'on ne peut plus garder. v.1610 (Acte 5, scène 2, TERVILLE)
- Modérez ce courroux. v.1613 (Acte 5, scène 2, TERVILLE)
- Ah ! ne me parlez point d'un vieux Célibataire : v.1615 (Acte 5, scène 2, SAINGÉRANS)
- Tout s'en détache enfin, et rien ne lui prospère. v.1616 (Acte 5, scène 2, SAING?RANS)
- Si j'avais une femme, un état, des enfants, v.1617 (Acte 5, scène 2, SAING?RANS)
- Je prétendrais encore à quelques doux instants. v.1618 (Acte 5, scène 2, SAING?RANS)
- Rassemblant près de moi tout ce que le coeur aime, v.1619 (Acte 5, scène 2, SAING?RANS)
- Je serais des heureux, je le serais moi-même, v.1620 (Acte 5, scène 2, SAING?RANS)
- Et n'irais point au loin, dans mes tristes loisirs, v.1621 (Acte 5, scène 2, SAING?RANS)
- Mendier mon bonheur et quelques faux plaisirs. v.1622 (Acte 5, scène 2, SAING?RANS)
- L'abandon, les rebuts, la vague inquiétude, v.1623 (Acte 5, scène 2, SAING?RANS)
- Et cette noire humeur qui fuit la solitude, v.1624 (Acte 5, scène 2, SAING?RANS)
- Oui, voilà tôt ou tard, les profits d'un garçon : v.1625 (Acte 5, scène 2, SAING?RANS)
- Même sort vous attend ; un jour viendra, je gage, v.1627 (Acte 5, scène 2, SAING?RANS)
- Où vous serez bien sot d'avoir été si sage. v.1628 (Acte 5, scène 2, SAING?RANS)
- Ce jour ne viendra point. Secret rare et plaisant ! v.1629 (Acte 5, scène 2, TERVILLE)
- Rendre heureux l'avenir par les maux du présent! v.1630 (Acte 5, scène 2, TERVILLE)
- Vous avez de l'humeur et l'humeur exagère. v.1631 (Acte 5, scène 2, TERVILLE)
- En quoi donc, juste ciel ! l'hymen peut-il vous plaire ? v.1632 (Acte 5, scène 2, TERVILLE)
- Loin de les affaiblir, il accroît nos malheurs, v.1633 (Acte 5, scène 2, TERVILLE)
- Il ne faut point sur nous lui donner trop de prise ; v.1635 (Acte 5, scène 2, TERVILLE)
- Mais aux fers que je crains s'est-on abandonné, v.1637 (Acte 5, scène 2, TERVILLE)
- C'est doublement alors qu'on est infortuné. v.1638 (Acte 5, scène 2, TERVILLE)
- Pourquoi donc à Verseuil destiniez-vous Julie ? v.1639 (Acte 5, scène 2, SAINGÉRANS)
- D'après les noeuds secrets qu'il lui plut de former. v.1642 (Acte 5, scène 2, TERVILLE)
- Mais, vous, homme de sens. v.1643 (Acte 5, scène 2, TERVILLE)
- Tout ceci me déroute. v.1643 (Acte 5, scène 2, SAINGÉRANS)
- Mes principes par là sont dérangés sans doute. v.1644 (Acte 5, scène 2, SAING?RANS)
- Oh ! Ma foi, ce n'est pas l'instant d'y revenir. v.1645 (Acte 5, scène 2, SAING?RANS)
- Dans ce ferme dessein, vous m'aiderez, j'espère ; v.1647 (Acte 5, scène 2, SAING?RANS)
- Le public en dira morbleu ce qu'il voudra..... v.1649 (Acte 5, scène 2, SAING?RANS)
- Mais, il ne dira rien, et tout réussira. v.1650 (Acte 5, scène 2, SAING?RANS)
- Adieu. Chez Montbrisson voudrez-vous bien m'attendre ? v.1651 (Acte 5, scène 2, TERVILLE)
- Volontiers .... aussi bien ... il s'agit de s'entendre. v.1652 (Acte 5, scène 2, SAINGÉRANS)
- Je saurai le calmer ; moi j'ai cela de bon, v.1654 (Acte 5, scène 3, SAINGÉRANS)
- Disposons-la... Du coeur j'ai quelque intelligence .... v.1656 (Acte 5, scène 3, SAING?RANS)
- Oui-dà ; rassurez-vous et comptez sur mon zèle. v.1659 (Acte 5, scène 4, SAINGÉRANS)
- L'ardeur de vous servir est assez naturelle. v.1660 (Acte 5, scène 4, SAING?RANS)
- Et votre coeur, d'après ce que je me propose, v.1663 (Acte 5, scène 4, SAING?RANS)
- Oh ! Je ne prétends pas vous effrayer toujours, v.1666 (Acte 5, scène 4, SAING?RANS)
- Que dit-il ? Que veut-il ? Rien pour moi n'est changé. v.1669 (Acte 5, scène 5, JULIE)
- Pour tromper ma douleur, la Marquise a beau faire ; v.1671 (Acte 5, scène 5, JULIE)
- Et j'ai pu feindre ! Ô ciel... Je sens mes pleurs couler. v.1673 (Acte 5, scène 5, JULIE)
- Quand Monbrisson saura... Je n'ose lui parler, v.1674 (Acte 5, scène 5, JULIE)
- Et ce billet funeste arrosé de mes larmes, v.1675 (Acte 5, scène 5, JULIE)
- Va d'un si triste aveu m'épargner les alarmes. v.1676 (Acte 5, scène 5, JULIE)
- Bienfaiteur adoré, souffre ces voeux cruels !... . v.1677 (Acte 5, scène 5, JULIE)
- Le quitter ! Moi ! Pour prix de ses soins paternels ! v.1678 (Acte 5, scène 5, JULIE)
- Voudrais-je en l'affligeant ressembler à Terville ? v.1680 (Acte 5, scène 5, JULIE)
- Terville ! Ah ! Dieu ! L'ingrat !... Combien je l'aime encore ? v.1683 (Acte 5, scène 5, JULIE)
- Ah ! mourons loin de lui d'un chagrin qu'il ignore. v.1684 (Acte 5, scène 5, JULIE)
- S'il le savoit.. .peut-être... Où suis-je ! Qu'ai-je dit ?... v.1685 (Acte 5, scène 5, JULIE)
- Avant de l'envoyer relisons cet écrit. v.1686 (Acte 5, scène 5, JULIE)
- À peine je conçois la démarche légère : v.1688 (Acte 5, scène 6, MONTBRISSON)
- Que dis-je ? Il n'est pour rien dans un pareil projet ; v.1689 (Acte 5, scène 6, MONTBRISSON)
- Mon neveu devient fou. v.1691 (Acte 5, scène 6, MONTBRISSON)
- Vous ne m'aimez donc plus ? Vous ne me dites rien !... v.1694 (Acte 5, scène 6, MONTBRISSON)
- Si vous daigniez permettre .... v.1695 (Acte 5, scène 6, JULIE)
- Non : demeurez .... v.1696 (Acte 5, scène 6, MONTBRISSON)
- Quelle est donc cette lettre ; v.1696 (Acte 5, scène 6, MONTBRISSON)
- A qui s'adresse-t-elle ? v.1697 (Acte 5, scène 6, MONTBRISSON)
- À moi ! Donnez. v.1697 (Acte 5, scène 6, MONTBRISSON)
- Ah ! Monsieur, pardonnez. v.1698 (Acte 5, scène 6, JULIE)
- La grâce que du moins j'implore avec instance, v.1699 (Acte 5, scène 6, JULIE)
- C'est que vous voudrez bien la lire en mon absence. v.1700 (Acte 5, scène 6, JULIE)
- Tout ce que tu voudras ; oui, je te le promets. v.1701 (Acte 5, scène 6, MONTBRISSON)
- Adieu.... vous saurez mes secrets. v.1702 (Acte 5, scène 6, JULIE)
- Je ne puis plus, Monsieur, jouir de vos bienfaits ; v.1704 (Acte 5, scène 7, MONTBRISSON)
- Mais au fond de mon coeur ils ne mourront jamais : v.1705 (Acte 5, scène 7, MONTBRISSON)
- Puisse finir bientôt une vie odieuse ! v.1706 (Acte 5, scène 7, MONTBRISSON)
- Terville .... ( je rougis d'avoir pu le nommer ), v.1707 (Acte 5, scène 7, MONTBRISSON)
- Qu'ai-je lu ! Dieu ! Mes pleurs inondent ce papier. v.1713 (Acte 5, scène 7, MONTBRISSON)
- Quel malheureux travers ! En voilà donc la fuite ! v.1715 (Acte 5, scène 7, MONTBRISSON)
- Julie ! Ah ! Dans quel piège un ingrat ta conduite! v.1716 (Acte 5, scène 7, MONTBRISSON)
- Touchante vérité, répands sur mes discours, v.1717 (Acte 5, scène 7, MONTBRISSON)
- Ce charme impérieux qui désarme toujours. v.1718 (Acte 5, scène 7, MONTBRISSON)
- Éclaire mon neveu, laisse-le sans défense ; v.1719 (Acte 5, scène 7, MONTBRISSON)
- Il entendra ta voix, c'est ma seule éloquence. v.1720 (Acte 5, scène 7, MONTBRISSON)
- Je dois sur vous encor, tout m'y force et m'en presse v.1723 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Essayer aujourd'hui les droits de ma tendresse. v.1724 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Répondez. v.1726 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Enfin .... vivre pour moi.... d'où vient votre colère ? v.1728 (Acte 5, scène 8, TERVILLE)
- Où donc as-tu puisé ces principes affreux, v.1729 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Garants d'un esprit faux et d'un coeur malheureux ? v.1730 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Quels hommes as-tu vus ? Telle est donc la manie v.1732 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- De ces sophistes vains, ces adroits imposteurs, v.1733 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- De la société hardis législateurs, v.1734 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Qui, d'orgueil enivrés, feignent dans leurs systèmes, v.1735 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- D'aimer le genre humain, pour n'aimer rien qu'eux-même v.1736 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Dont l'aride sagesse en impose aujourd'hui, v.1737 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Et qui n'ont su jamais exister dans autrui ? v.1738 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Voilà de leur morale ! apprends que l'Egoïste v.1739 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Surtout le plus cruel... Dis, dis, quel est son frein? v.1741 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- C'est un grand mot dont il s'étaie en vain. v.1742 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Dans un monde étranger où le hasard le jette. v.1744 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Que fait il à l'armée, au barreau, dans ses champs ? v.1745 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Sa vie est un scandale, et sa mort salutaire v.1747 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- D'un repentir tardif épargne-toi l'affront : v.1749 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Regarde Saingérans, les regrets t'instruiront. v.1750 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Souffrant, abandonné, martyr de son système, v.1751 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Crains un tel sort, rougis de languir sans lien, v.1753 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Reprends l'esprit, les voeux, le coeur d'un citoyen. v.1754 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- J'ai la prétention de n'être point esclave. v.1756 (Acte 5, scène 8, TERVILLE)
- Tu l'es de ton système et de ton préjugé. v.1757 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Il produit peu de mal, des biens, il en fait mille. v.1760 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- C'en est trop ! regardez, c'est tout ce que je veux. v.1761 (Acte 5, scène 8, TERVILLE)
- Considérez, Moniteur, les malheurs qu'il entraîne : v.1763 (Acte 5, scène 8, TERVILLE)
- Combien d'infortunés ont pleuré sur sa chaîne! v.1764 (Acte 5, scène 8, TERVILLE)
- Voyez de tous côtés les scandaleux éclats, v.1765 (Acte 5, scène 8, TERVILLE)
- ( Je ne dis rien des maux que l'on n'aperçoit pas. ) v.1766 (Acte 5, scène 8, TERVILLE)
- Et qu'attendre d'un coeur, s'engageant sans attrait, v.1769 (Acte 5, scène 8, TERVILLE)
- Dans un âge, où promettre est... au moins indiscret. v.1770 (Acte 5, scène 8, TERVILLE)
- Dans ces arrangements si froids, si légitimes, v.1771 (Acte 5, scène 8, TERVILLE)
- De là, tant de Beautés que l'on voue aux douleurs, v.1773 (Acte 5, scène 8, TERVILLE)
- Qui perdent leur jeunesse, et vont perdre leurs moeurs v.1774 (Acte 5, scène 8, TERVILLE)
- Les enfants égarés par l'exemple des pères, v.1775 (Acte 5, scène 8, TERVILLE)
- Les regrets, le désordre et l'opprobre des mères, v.1776 (Acte 5, scène 8, TERVILLE)
- Les maris bafoués, et même par des sots, v.1777 (Acte 5, scène 8, TERVILLE)
- Des noms d'époux, traînés dans tous les Tribunaux, v.1778 (Acte 5, scène 8, TERVILLE)
- La femme qu'on accable après l'avoir vendue, v.1779 (Acte 5, scène 8, TERVILLE)
- Et que la loi renferme après l'avoir perdue : v.1780 (Acte 5, scène 8, TERVILLE)
- Celle qui, d'un jaloux redoutant l'oeil vengeur, v.1781 (Acte 5, scène 8, TERVILLE)
- Cherche confusément l'objet qui doit lui plaire. v.1784 (Acte 5, scène 8, TERVILLE)
- Voyez quelle est la fin même des plus prudents, v.1785 (Acte 5, scène 8, TERVILLE)
- Des séparations au bout de quarante ans, v.1786 (Acte 5, scène 8, TERVILLE)
- Mille soucis secrets, d'éternelles alarmes, v.1787 (Acte 5, scène 8, TERVILLE)
- D'un noeud souvent horrible et toujours importun. v.1790 (Acte 5, scène 8, TERVILLE)
- Eh bien ! À qui s'en prendre ? À ces mortels sans âme, v.1791 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Rompent l'ordre établi, divisent les époux, v.1793 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Leur enlèvent la paix, leur trésor le plus doux, v.1794 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Éveillent les soupçons, égarent sa tendresse v.1795 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- De l'amour paternel trompé dans son ivresse, v.1796 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Et, bientôt refroidis, ailleurs portant leurs voeux v.1797 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Plus d'un coeur en a fait les funestes épreuves : v.1799 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Mais des exceptions ne sont jamais des preuves : v.1800 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Sous son voile combien d'avantages cachés ! v.1802 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- La naïve Beauté que pare la décence, v.1803 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Dans le sein du bonheur gardant son innocence ; v.1804 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- L'échange pur des coeurs, les mutuels désirs, v.1805 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Douce communauté des soins et des plaisirs, v.1806 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Épanchement heureux des larmes solitaires, v.1807 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Les caresses d'un fils, ses jeux et ses progrès, v.1809 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Et l'espoir de renaître en de vivants portraits ; v.1810 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Voilà de mon hymen l'attendrissante image. v.1812 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Mais, ce bonheur passé parle aujourd'hui pour moi. v.1814 (Acte 5, scène 8, TERVILLE)
- D'un lien qui n'est plus passagères délices? v.1816 (Acte 5, scène 8, TERVILLE)
- Il est vrai, je perdis v.1817 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Mais j'aime mieux ces pleurs, ce souvenir si tendre, v.1819 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Ces tributs douloureux que je dois à leur cendre, v.1820 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Tous ces déchirements d'un coeur bien pénétré, v.1821 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Revolant vers le bien qu'il avoir adoré ; v.1822 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- D'un coeur que rien n'émeut, et que l'orgueil isole. v.1824 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- La nature a des maux qu'il faut savoir chérir. v.1825 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Environné d'enfants qu'à peine il peut nourrir ; v.1830 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Sous le prétexte faux d'une pitié cruelle, v.1831 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Arrache de son sein sa compagne fidèle, v.1832 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Qui l'aide chaque jour par des efforts nouveaux, v.1833 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Et dont l'amour au moins l'encourage aux travaux.. ; v.1834 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Ses cris te répondront ; tu verras ses alarmes. v.1835 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- L'oeil ardent de fureur et noyé dans les larmes, v.1836 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Il te disputera ce malheureux trésor, v.1837 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Que tu voudrais hélas ! qu'on lui ravit encor, v.1838 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Tu connaîtras le coeur d'un époux et d'un père... v.1840 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Tu restes interdit ! Mon cher Terville, eh ! Quoi ? v.1841 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Des tableaux aussi vrais ne peuvent rien sur toi ? v.1842 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Je saurai t'accabler, je saurai te confondre. v.1843 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Attends pour me répondre. v.1844 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Voyons : que dirais-tu, si ta funeste erreur v.1845 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Condamnait à la honte, et livrait au malheur v.1846 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Un être intéressant, doux, sensible, estimable, v.1847 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Un objet vertueux, que tu rendrais coupable, v.1848 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Qui rougirait toujours, loin de toi retenu, v.1849 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- De prononcer ton nom, et de t'avoir connu ; v.1850 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Qui verrait dans les pleurs s'éclipser sa jeunesse, v.1851 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Détesterait son sort, maudirait sa tendresse, v.1852 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Voudrait fuir tes regards, loin de toi s'exiler, v.1853 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Et que tu n'aurais plus l'espoir de consoler ? v.1854 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Qui veux fuir, qui frémis de mon désordre extrême... v.1856 (Acte 5, scène 8, TERVILLE)
- J'immole avec regret le penchant le plus doux ; v.1858 (Acte 5, scène 8, TERVILLE)
- Oui, j'adore Julie, et, dans ce triste jour, v.1861 (Acte 5, scène 8, TERVILLE)
- C'est l'effroi d'un lien qui m'arrache à l'amour. v.1862 (Acte 5, scène 8, TERVILLE)
- Qu'entends-je ! Et tu pouvais !... Et ton horrible zèle... v.1863 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Tu crois peut-être encor qu'un autre est aimé d'elle. v.1864 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Tu crains d'être éclairé. v.1866 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Conviens-en ; sors enfin d'une erreur volontaire. v.1867 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Demeurez... v.1869 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Détruis donc à la fois ton bonheur et le mien. v.1870 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Je connais mes devoirs... v.1871 (Acte 5, scène 8, TERVILLE)
- Je triomphe ... des pleurs échappent de ses yeux. v.1878 (Acte 5, scène 8, MONTBRISSON)
- Mon billet dans les mains de Terville ! v.1880 (Acte 5, scène 9, JULIE)
- Ah! c'est trop de combats. v.1882 (Acte 5, scène 9, TERVILLE)
- Mon âme déchirée... Écoutez-moi, Julie ! v.1883 (Acte 5, scène 9, TERVILLE)
- À vos pieds. v.1884 (Acte 5, scène 9, MADAME DE VERSEUIL)
- Détrompé par l'amour et par la vertu même, v.1887 (Acte 5, scène 9, TERVILLE)
- Qui vous aima toujours : oui, même en vous cédant v.1889 (Acte 5, scène 9, TERVILLE)
- Je brûlAis, malgré moi, du feu le plus ardent. v.1890 (Acte 5, scène 9, TERVILLE)
- Jaloux, désespéré, j'idolâtrais vos charmes. v.1891 (Acte 5, scène 9, TERVILLE)
- Jugez de mes remords, lorsque j'ai vu vos larmes ! v.1892 (Acte 5, scène 9, TERVILLE)
- Je renais... vous venez de me créer un coeur, v.1893 (Acte 5, scène 9, TERVILLE)
- Et vous m'avez rendu tous mes droits au bonheur. v.1894 (Acte 5, scène 9, TERVILLE)
- A l'orgueil de vous plaire, aux soins de ma tendresse ; v.1896 (Acte 5, scène 9, TERVILLE)
- Dans des principes faux je m'étais engagé, v.1897 (Acte 5, scène 9, TERVILLE)
- Je ne sais où je suis. .. qu'ai-je entendu ! Madame... v.1899 (Acte 5, scène 9, JULIE)
- Ah! cruel !... Dieu ! quel poids est de moins sur mon âme ! v.1900 (Acte 5, scène 9, JULIE)
- Je sens mieux en ce jour le prix de vos bontés ; v.1901 (Acte 5, scène 9, JULIE)
- Mais quoi ? Quel trouble encor se mêle à leurs délices ? v.1903 (Acte 5, scène 9, JULIE)
- Je veux des retours vrais et non des sacrifices. v.1904 (Acte 5, scène 9, JULIE)
- Si le regret succède à ces voeux du moment, v.1905 (Acte 5, scène 9, JULIE)
- De mes premiers destins j'aime mieux le tourment. v.1906 (Acte 5, scène 9, JULIE)
- Je ne regrette rien que d'avoir différé. v.1910 (Acte 5, scène 9, TERVILLE)
- Il déteste ses torts. v.1911 (Acte 5, scène 9, MADAME DE VERSEUIL)
- Je l'adore ! .... v.1913 (Acte 5, scène 10, TERVILLE)
- Redevenu sensible, il ne te manque rien. v.1914 (Acte 5, scène 10, MONTBRISSON)
- Madame..... v.1915 (Acte 5, scène 10, TERVILLE)
- Eh ! oui, j'entends. v.1915 (Acte 5, scène 10, MADAME DE VERSEUIL)
- Pardonnons l'un à l'autre. v.1915 (Acte 5, scène 10, TERVILLE)
- Jouis de ton bonheur. v.1916 (Acte 5, scène 10, VERSEUIL)
- Je vois, qu'excepté moi, tout le monde est heureux. v.1917 (Acte 5, scène 10, SAINGÉRANS)
- Dépendant, enchaîné, j'ai du plaisir à l'être. v.1920 (Acte 5, scène 10, TERVILLE)
- Qu'on peut être mari, sans cesser d'être amant. v.1922 (Acte 5, scène 10, TERVILLE)
LES PRÔNEURS OU LE TARTUFFE LITTÉRAIRE (1777)
- Moi, Dorci, je la brave, et suis pour l'équité. v.2 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- J'ai, tel que tu me vois, ma tragédie en poche; v.3 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- C'est un croquis informe, un dessein effacé, v.5 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Les vers en sont mal faits, les scènes décousues ; v.7 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Mais, de s'extasier, il leur faut des raisons: v.9 (Acte 1, scène 1, DORCI FILS)
- Prends garde ; ils ont, chez eux, des esprits fins, profonds. v.10 (Acte 1, scène 1, DORCI FILS)
- Six de ces Messieurs-là qui vaillent quelque chose. v.12 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Arbitre souverain, qui ne voit, ni n'entend? v.14 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Des Tartuffes de goût, ainsi que de sagesse. v.16 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Me composant d'abord un maintien sérieux, v.17 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Je tiens déjà leur chef. Fiers d'établir un culte, v.19 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Ils sont très indulgents, pourvu qu'on les consulte. v.20 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Des vers, soi-disant chauds, qui nous ont morfondus? v.22 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- N'a pas vécu, deux mois, malgré tout leur tapage. v.24 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Eh bien ! Ma tragédie aura le même sort ; v.25 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Toi, qui ne prétends point au Laurier littéraire, v.27 (Acte 1, scène 1, DORCI FILS)
- Déconcertant leur ton, par un ton plus léger, v.29 (Acte 1, scène 1, DORCI FILS)
- Détracteurs indiscrets, ou faux Panégyristes, v.32 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Leur Dieu, c'est l'intérêt ; ils n'aiment rien qu'eux-mêmes. v.36 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Quelque prix qu'il en coûte, ils veulent dominer, v.37 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- L'art qui les rend fameux répugne trop au nôtre. v.39 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Échauffer un succès, en refroidir un autre, v.40 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Selon leurs passions, leur but et leurs désirs ; v.41 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Voilà leur douce étude et leurs nobles plaisirs. v.42 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Ce trafic effronté de louange et de blâme, v.43 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- De tout temps, j'en conviens, a révolté mon âme: v.44 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Qu'on veuille la tromper, la contraindre, ou l'aigrir. v.46 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Dans la société, je vois, avec colère, v.47 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Plusieurs de mes amis, éclairés, vertueux, v.49 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- D'injustice et d'affronts sont accablés par eux. v.50 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Ils ont approfondi la science maudite v.51 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- De renfler, par des mots, le plus frêle mérite; v.52 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- D'écarter, ou plutôt d'étouffer, en naissant, v.53 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Et fait, incognito, grand honneur à la France. v.56 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Se disant consommés dans l'art de s'abstenir, v.57 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Ils sont les plus ardents, s'il s'agit d'obtenir. v.58 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Comment, après cela, veux-tu qu'on leur pardonne ? v.59 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- En bon Républicain, détrôner des tyrans. v.62 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Ils ont de l'influence, et même de l'empire : v.63 (Acte 1, scène 1, DORCI FILS)
- Des Prôneurs en crédit. v.64 (Acte 1, scène 1, DORCI FILS)
- Eh bien ! C'est ce crédit, mon cher, à qui j'en veux, v.65 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Quels ont, jusqu'à présent, été leurs adversaires ? v.67 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Des hommes méprisés, des brigands littéraires. v.68 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Pourraient-ils, entre nous, appréhender les traits v.69 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- D'un méchant démasqué, flétri par un succès, v.70 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Possédant le talent et le secret uniques v.71 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- D'ennuyer tout Paris, par des vers satyriques ? v.72 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Craindraient-ils ce pédant, bavard de son métier, v.73 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Pédagogue, échappé des ombres de l'école, v.75 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Pauvre diable, trop vil pour être combattu, v.77 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Qui prépare, sans fruit, des poisons sans vertu ; v.78 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Reptile malheureux, né des flancs de l'Envie, v.79 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Et qu'elle-même attache au laurier du Génie ? v.80 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Aujourd'hui, j'ai pour moi l'autorité des moeurs. v.81 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Dorci, l'estime est tout ; qu'importent les rumeurs ? v.82 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Madame de Norville est pour eux dans l'ivresse : v.84 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Tu prétends à sa fille, et, te croisant toujours, v.85 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Callidès va, d'un mot, traverser tes amours. v.86 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Oh ! Dans ce moment-ci, j'use d'une recette, v.87 (Acte 1, scène 1, DORCI FILS)
- D'un assez bon ressort, inventé par Finette. v.88 (Acte 1, scène 1, DORCI FILS)
- Et que d'un écrivain j'aie aussi les honneurs. v.90 (Acte 1, scène 1, DORCI FILS)
- Que d'auteurs, après tout, n'ont pas fait leurs ouvrages ! v.92 (Acte 1, scène 1, DORCI FILS)
- Ce poète estimé, que l'on déprime ici, v.93 (Acte 1, scène 1, DORCI FILS)
- Floridor, pour cela, m'a volontiers servi. v.94 (Acte 1, scène 1, DORCI FILS)
- Nous attendons l'effet, et j'ai quelque espérance : v.95 (Acte 1, scène 1, DORCI FILS)
- Son intérêt, le tien, sont deux motifs de plus. v.97 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- De cette sotte engeance : il faut nous en défaire, v.99 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Et les chasser d'ici, puisque tu veux y plaire. v.100 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Mon père doit parler. v.101 (Acte 1, scène 1, DORCI FILS)
- Et vient décidément presser mon mariage. v.104 (Acte 1, scène 1, DORCI FILS)
- Je compte là-dessus. v.105 (Acte 1, scène 1, DORCI FILS)
- J'attends.... v.109 (Acte 1, scène 1, DORCI FILS)
- Un Drame... trop mauvais, pour n'être pas goûté. v.110 (Acte 1, scène 1, FORLIS)
- Ah ! Te voilà ! Bonjour. D'où vient cet air timide ? v.111 (Acte 1, scène 2, DORCI PÈRE)
- C'est fort mal fait ; il faut être intrépide : v.112 (Acte 1, scène 2, DORCI PÈRE)
- Vois cet étourdi-là... v.113 (Acte 1, scène 2, DORCI P?RE)
- Il est si consolant de revoir ses amis! v.118 (Acte 1, scène 3, DORCI PÈRE)
- Elle date de loin notre amitié.... Norville, v.119 (Acte 1, scène 3, DORCI P?RE)
- Nous avons, tu le sais, deux amants à pourvoir. v.121 (Acte 1, scène 3, DORCI P?RE)
- Il est devoir pour nous, s'il est plaisir pour eux. v.126 (Acte 1, scène 3, DORCI P?RE)
- À cet engagement je veux être fidèle, v.127 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE NORVILLE)
- Mais, depuis ton départ, tout a changé de ton ; v.129 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE NORVILLE)
- Et tiens, je ne suis plus maître dans ma maison. v.130 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE NORVILLE)
- Des vrais Littérateurs j'estime les lumières ; v.131 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE NORVILLE)
- Les bons livres, pour moi, sont des consolateurs : v.134 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE NORVILLE)
- Mais l'abus de l'esprit, sa morgue insociable, v.135 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE NORVILLE)
- Est de tous les abus le plus insupportable : v.136 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE NORVILLE)
- Il sèche et corrompt tout ; sa triste aridité v.137 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE NORVILLE)
- Détruit la confiance et la simplicité. v.138 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE NORVILLE)
- Ma femme, que tu vis douce, aimable, enjouée, v.139 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE NORVILLE)
- N'est plus qu'une pédante, aux chimères vouée ; v.140 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE NORVILLE)
- Dogmatisant sur tout, jargonnant sur les arts, v.141 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE NORVILLE)
- Et m'ennuyant, Dieu sait, dans ses doctes écarts ! v.142 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE NORVILLE)
- Elle est folle aujourd'hui de certains personnages, v.143 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE NORVILLE)
- Despotes déguisés, qu'elle transforme en sages ; v.144 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE NORVILLE)
- De ces gens exclusifs, inquiets, turbulents, v.145 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE NORVILLE)
- Appuis de l'insolence, et fléaux des talents. v.146 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE NORVILLE)
- De leurs principes faux sa tête est enivrée. v.147 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE NORVILLE)
- Madame les admire, elle en est admirée. v.148 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE NORVILLE)
- Rien ne se dit chez moi, qui ne soit merveilleux ; v.149 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE NORVILLE)
- Ou bien, si sa raison a l'air de s'en défendre, v.151 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE NORVILLE)
- C'est, par sa vanité, qu'ils ont l'art de la prendre. v.152 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE NORVILLE)
- Un certain Callidès, surtout... plein de finesse, v.155 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE NORVILLE)
- De pénétration, de ressources, d'adresse, v.156 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE NORVILLE)
- Homme très délié, je le nierais en vain ; v.157 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE NORVILLE)
- Mais, dupe quelquefois, à force d'être vain ! v.158 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE NORVILLE)
- Votre fils est aimable, il est rempli d'honneur ; v.161 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE NORVILLE)
- Vraiment, je voudrais bien qu'il s'avisât de l'être v.163 (Acte 1, scène 3, DORCI PÈRE)
- Qu'il aime ses amis, ses devoirs et sa femme ! v.168 (Acte 1, scène 3, DORCI P?RE)
- Et Dorci les aura, j'ai lieu de l'espérer. v.170 (Acte 1, scène 3, DORCI P?RE)
- Mon éducation fut un peu négligée; v.171 (Acte 1, scène 3, DORCI P?RE)
- La sienne est plus brillante, et fut mieux dirigée. v.172 (Acte 1, scène 3, DORCI P?RE)
- Avec de la franchise on n'a besoin de rien : v.173 (Acte 1, scène 3, DORCI P?RE)
- C'est mon système, à moi ; mais la grâce sied bien. v.174 (Acte 1, scène 3, DORCI P?RE)
- Il en a, j'en conviens ; il adore Julie, v.175 (Acte 1, scène 3, DORCI P?RE)
- Et je suis le valet de la Philosophie. v.176 (Acte 1, scène 3, DORCI P?RE)
- L'Amour est son ancien, il doit avoir le pas. v.178 (Acte 1, scène 3, DORCI P?RE)
- Use d'autorité. v.179 (Acte 1, scène 3, DORCI P?RE)
- La modération est l'art qui m'appartient. v.185 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE NORVILLE)
- La violence aigrit, et la douceur obtient. v.186 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE NORVILLE)
- Bah ! à ta place, moi, j'enverrais tout au diable, v.187 (Acte 1, scène 3, DORCI PÈRE)
- Ma femme et ses docteurs. v.188 (Acte 1, scène 3, DORCI P?RE)
- La modération n'est point de mon ressort : v.189 (Acte 1, scène 3, DORCI PÈRE)
- Quel est donc ce train-là? le plaisant tintamarre! v.191 (Acte 1, scène 3, DORCI P?RE)
- Il redouble ! v.193 (Acte 1, scène 3, DORCI PÈRE)
- L'ouvrage !... Encore un coup, qu'est-ce donc que ceci ? v.194 (Acte 1, scène 3, DORCI PÈRE)
- Sommes-nous chez des fous, ou suis-je chez Norville ? v.195 (Acte 1, scène 3, DORCI P?RE)
- Chez des fous. v.196 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE NORVILLE)
- C'est une tragédie. v.197 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE NORVILLE)
- Qu'on applaudit. v.197 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE NORVILLE)
- Oh ! C'est être endiablé de la littérature. v.200 (Acte 1, scène 3, DORCI PÈRE)
- Que veux-tu ? C'est, dit-on, un chef-d'oeuvre divin, v.201 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE NORVILLE)
- Que l'on ne peut, mon cher, admirer trop matin. v.202 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE NORVILLE)
- En rêvant, (tu me vas taxer d'extravagance) v.203 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE NORVILLE)
- Ma femme, cette nuit, se récriait d'avance : v.204 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE NORVILLE)
- Elle battait des mains. v.205 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE NORVILLE)
- Cette nuit ! Tout de bon ! v.205 (Acte 1, scène 3, DORCI PÈRE)
- Et tu ne voudras pas la mettre à la raison ? v.206 (Acte 1, scène 3, DORCI P?RE)
- D'un sommeil si bruyant prévenir la tempête, v.207 (Acte 1, scène 3, DORCI P?RE)
- Et l'apprendre à rêver, sans te rompre la tête ? v.208 (Acte 1, scène 3, DORCI P?RE)
- Corbleu, c'est bien le moins qu'on soit bête en dormant. v.210 (Acte 1, scène 3, DORCI P?RE)
- Peste soit du Lecteur, et de son beau génie ! v.212 (Acte 1, scène 3, DORCI PÈRE)
- De quoi donc ? v.213 (Acte 1, scène 4, DORCI PÈRE)
- C'est d'ennui ! v.213 (Acte 1, scène 4, FINETTE)
- C'était le mal d'hier. v.214 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR DE NORVILLE)
- C'est le mal d'aujourd'hui. v.214 (Acte 1, scène 4, FINETTE)
- Je me suis attachée au trou de la serrure, v.215 (Acte 1, scène 4, FINETTE)
- Pour tâcher d'attraper ma part de la lecture. v.216 (Acte 1, scène 4, FINETTE)
- L'auteur, comme un démon qu'on vient de conjurer, v.217 (Acte 1, scène 4, FINETTE)
- Dans l'endroit le plus tendre avait l'air de jurer. v.218 (Acte 1, scène 4, FINETTE)
- Quelquefois, recueilli dans une horreur profonde, v.219 (Acte 1, scène 4, FINETTE)
- Il poussait les sanglots les plus plaisants du monde, v.220 (Acte 1, scène 4, FINETTE)
- Et, culbutant soudain des cieux, sur des hélas ! v.221 (Acte 1, scène 4, FINETTE)
- Pour attendrir le cercle, il se tordait les bras. v.222 (Acte 1, scène 4, FINETTE)
- Je crois le voir encor !... Quant à la Tragédie, v.223 (Acte 1, scène 4, FINETTE)
- Jamais on ne brocha pareille rhapsodie. v.224 (Acte 1, scène 4, FINETTE)
- D'un minois africain, tombé je ne sais d'où. v.226 (Acte 1, scène 4, FINETTE)
- Un grand flandrin de Prince arrive à la traverse ; v.227 (Acte 1, scène 4, FINETTE)
- Quand il voit son rival, il tombe à la renverse : v.228 (Acte 1, scène 4, FINETTE)
- C'est-là le coup de maître !... Et puis viennent les crimes, v.231 (Acte 1, scène 4, FINETTE)
- Des spectres voltigeants sur le bord des abîmes ; v.232 (Acte 1, scène 4, FINETTE)
- Une Dame voilée, une autre... et_coetera. v.233 (Acte 1, scène 4, FINETTE)
- Mon_Dieu ! Les sottes gens que tous ces Héros-là ! v.234 (Acte 1, scène 4, FINETTE)
- N'importe ; on s'extasie, et le délire entraîne. v.235 (Acte 1, scène 4, FINETTE)
- « Moi, dit l'une, j'ai cru périr au dénouement ! v.237 (Acte 1, scène 4, FINETTE)
- Oh ! l'admirable horreur, dit l'autre, en grasseyant. v.238 (Acte 1, scène 4, FINETTE)
- Que l'on plaint ce tyran étouffé dans la foule ! v.239 (Acte 1, scène 4, FINETTE)
- Ce bûcher de la fin, fait venir chair de poule. v.240 (Acte 1, scène 4, FINETTE)
- On n'entend rien au noeud, tant il est bien formé ! v.241 (Acte 1, scène 4, FINETTE)
- Parbleu, laisse-la dire. v.243 (Acte 1, scène 4, DORCI PÈRE)
- J'ai tant bâillé, Monsieur, qu'il m'est permis de rire. v.244 (Acte 1, scène 4, FINETTE)
- Et comment donc, sur elle, a pu tomber le choix v.246 (Acte 1, scène 4, DORCI PÈRE)
- De ton illustre épouse ? v.247 (Acte 1, scène 4, DORCI P?RE)
- Une telle conduite est pleine de bon sens. v.249 (Acte 1, scène 4, DORCI PÈRE)
- Pour ce double mérite, il faut que je l'embrasse. v.251 (Acte 1, scène 4, DORCI P?RE)
- Mais un brave marin, ardent et résolu, v.253 (Acte 1, scène 4, DORCI PÈRE)
- Qui ne démarre point de ce qu'il a voulu. v.254 (Acte 1, scène 4, DORCI P?RE)
- Monsieur est dans le vrai. v.255 (Acte 1, scène 4, FINETTE)
- Mais, oui, j'ai des principes. v.255 (Acte 1, scène 4, DORCI PÈRE)
- Chut. La docte cohue approche de ces lieux. v.257 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR DE NORVILLE)
- Et moi, très brusquement, je te fais mes adieux. v.258 (Acte 1, scène 4, DORCI PÈRE)
- Parlez-donc. v.259 (Acte 1, scène 5, CÉLIMENE)
- Rompez ce dur silence. v.259 (Acte 1, scène 5, FATMÉ)
- Éclairez, dirigez ma faible intelligence. v.260 (Acte 1, scène 5, MADAME DE NORVILLE)
- Mesdames... C'est un pas que Melpomène a fait. v.261 (Acte 1, scène 5, CALLIDÈS)
- Que de sensations... jusqu'alors inconnues! v.264 (Acte 1, scène 5, BÉLISE)
- Les détails ! v.266 (Acte 1, scène 5, BÉLISE)
- Et l'art approfondi dans ses moindres mystères ? v.268 (Acte 1, scène 5, MADAME DE NORVILLE)
- Jusqu'à ce Roi cruel, tout a su m'attendrir. v.269 (Acte 1, scène 5, MADAME DE NORVILLE)
- Tenez, j'ai le coeur gros de l'avoir vu mourir. v.270 (Acte 1, scène 5, FATMÉ)
- Que dites-vous, Monsieur, de cette Tragédie ? v.271 (Acte 1, scène 5, MADAME DE NORVILLE)
- Dialogue plaisant !... Très bonne Comédie ! v.272 (Acte 1, scène 5, BROUSSIN)
- Paix donc. v.273 (Acte 1, scène 5, MADAME DE NORVILLE)
- Il est sourd ; n'importe, il s'y connaît ; v.273 (Acte 1, scène 5, CÉLIMÈNE)
- Oh ! Point de défiance ! v.275 (Acte 1, scène 5, MADAME DE NORVILLE)
- Eh quoi! n'avez-vous pas entendu son silence? v.276 (Acte 1, scène 5, BÉLISE)
- Votre chef-d'oeuvre, et vous ! v.278 (Acte 1, scène 5, DURCET)
- Je ne vous comprends pas. v.278 (Acte 1, scène 5, FORLIS)
- Votre organe est trop beau pour de faibles essais. v.281 (Acte 1, scène 5, FORLIS)
- Ne vaudrait-il pas mieux s'en remettre au succès ? v.282 (Acte 1, scène 5, FORLIS)
- Non, non, du grand moteur la clémence infinie v.283 (Acte 1, scène 5, DURCET)
- M'a donné des poumons en faveur du génie. v.284 (Acte 1, scène 5, DURCET)
- Oh ! De vous bien louer, je me fais un devoir ; v.285 (Acte 1, scène 5, DURCET)
- Dispense d'en avoir. v.286 (Acte 1, scène 5, FORLIS)
- Mesdames, à propos, irez-vous voir la pièce v.287 (Acte 1, scène 6, FORLIS)
- Qu'aujourd'hui l'on nous donne ? v.288 (Acte 1, scène 6, FORLIS)
- Il est de Floridor. v.289 (Acte 1, scène 6, CÉLIMÈNE)
- Ce Floridor, Monsieur, est, dit-on, très honnête ; v.291 (Acte 1, scène 6, MADAME DE NORVILLE)
- Mais, c'est un homme, au fait, qui n'a rien dans la tête : v.292 (Acte 1, scène 6, MADAME DE NORVILLE)
- Qui, de ses vieilles moeurs, toujours enveloppé, v.293 (Acte 1, scène 6, MADAME DE NORVILLE)
- Il faut lui pardonner, le plaindre et l'éconduire. v.296 (Acte 1, scène 6, CALLIDÈS)
- Se ressouviendra-t-on qu'il ait même existé ? v.297 (Acte 1, scène 6, CALLID?S)
- Notre guide. v.300 (Acte 1, scène 6, CÉLIMÈNE)
- Je dois en convenir, elle a su m'enchanter : v.301 (Acte 1, scène 6, MADAME DE NORVILLE)
- C'est du Chaulieu tout pur, et l'on peut la vanter. v.302 (Acte 1, scène 6, MADAME DE NORVILLE)
- C'est... c'est Dorci ; ce n'est plus un mystère. v.303 (Acte 1, scène 6, MADAME DE NORVILLE)
- Ce jeune homme si doux, qui ne sait que se taire ? v.304 (Acte 1, scène 6, FATMÉ)
- Oui ; le fils du Marin, si fameux sur les flots. v.305 (Acte 1, scène 6, MADAME DE NORVILLE)
- Mais, odieux sur terre. v.306 (Acte 1, scène 6, CÉLIMENE)
- Espèce de Héros, v.306 (Acte 1, scène 6, FATMÉ)
- Dont le babil assomme. v.307 (Acte 1, scène 6, BÉLISE)
- Qui n'analyse rien, et se croit un grand Homme. v.308 (Acte 1, scène 6, CÉLIMÈNE)
- Oui, vous dis-je ; et les vers m'ont paru bien phrasés. v.309 (Acte 1, scène 6, MADAME DE NORVILLE)
- Pas un seul lieu commun ; point de ces traits usés... v.310 (Acte 1, scène 6, MADAME DE NORVILLE)
- On m'y traite d'Hébé. v.311 (Acte 1, scène 6, MADAME DE NORVILLE)
- Je brûle de la voir. v.313 (Acte 1, scène 6, FATMÉ)
- Dans le monde, à propos, v.313 (Acte 1, scène 6, MADAME DE NORVILLE)
- Vous vous souviendrez donc d'en glisser quelques mots ? v.314 (Acte 1, scène 6, MADAME DE NORVILLE)
- Dans ces entretiens-là, je passerais ma vie. v.316 (Acte 1, scène 6, FATMÉ)
- De moment en moment, on y sent ses progrès. v.317 (Acte 1, scène 6, BÉLISE)
- Les plaisirs de l'esprit ont de puissants attraits. v.318 (Acte 1, scène 6, CÉLIMÈNE)
- Adieu, Monsieur, songez que vous êtes unique. v.319 (Acte 1, scène 6, C?LIM?NE)
- Mesdames, notre zèle, est, je crois, engagé. v.321 (Acte 1, scène 6, MADAME DE NORVILLE)
- Par nous toutes, Forlis doit être protégé. v.322 (Acte 1, scène 6, MADAME DE NORVILLE)
- Il est essentiel que son nom s'accrédite : v.323 (Acte 1, scène 6, MADAME DE NORVILLE)
- Même, avant de le lire, il est bon qu'on le cite. v.324 (Acte 1, scène 6, MADAME DE NORVILLE)
- Il faut que tout Paris se l'arrache demain, v.325 (Acte 1, scène 6, MADAME DE NORVILLE)
- Et je sais que la Cour doit le trouver divin. v.326 (Acte 1, scène 6, MADAME DE NORVILLE)
- À demain. v.330 (Acte 1, scène 7, MADAME DE NORVILLE)
- Pour dîner avec moi, ces étrangers m'attendent ; v.331 (Acte 1, scène 7, MADAME DE NORVILLE)
- On fait que, pour nous seuls, en France ils se répandent. v.332 (Acte 1, scène 7, MADAME DE NORVILLE)
- L'Europe adoptera les moeurs de ma maison. v.334 (Acte 1, scène 7, MADAME DE NORVILLE)
- Bon ! La voilà qui part avec le grand arbitre.... v.335 (Acte 1, scène 8, FINETTE)
- J'ignore quel effet aura produit l'épître. v.336 (Acte 1, scène 8, FINETTE)
- Ah ! Finette, c'est vous, de grâce, allez savoir... v.337 (Acte 1, scène 9, HORTENSE)
- Laissez-là, vous dis-je, exhaler son ivresse. v.340 (Acte 1, scène 9, FINETTE)
- Madame, jusqu'ici, ne vous a donc rien dit, v.341 (Acte 1, scène 9, FINETTE)
- L'indifférence v.347 (Acte 1, scène 9, HORTENSE)
- De Monsieur de Dorci, sa froideur, son silence. v.348 (Acte 1, scène 9, HORTENSE)
- Il est même assez doux de se désespérer. v.350 (Acte 1, scène 9, FINETTE)
- L'Amour s'endort bientôt, s'il n'a point quelque peine. v.352 (Acte 1, scène 9, FINETTE)
- Je crains de vous laisser à vos tendres ennuis. v.354 (Acte 1, scène 9, FINETTE)
- Mademoiselle !... Ô Ciel !... Finette! v.355 (Acte 1, scène 10, DORCI FILS)
- Point d'affaire. v.355 (Acte 1, scène 10, FINETTE)
- Nous boudons... v.356 (Acte 1, scène 10, FINETTE)
- Mais va, console-toi, je vais tout hasarder. v.357 (Acte 1, scène 11, DORCI PÈRE)
- Quand la manoeuvre est bonne, on est sûr d'aborder. v.358 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Au fort de la tourmente, on songe à la bonace. v.360 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Tâche de m'écouter ; mon fils, causons ensemble. v.363 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Ce sont de grands esprits, de fameux écrivains, v.365 (Acte 1, scène 11, DORCI FILS)
- Des Philosophes..... v.366 (Acte 1, scène 11, DORCI FILS)
- Bah ! Des mortels les plus vains, v.366 (Acte 1, scène 11, DORCI PÈRE)
- Qu'il faut fuir, entends-tu ?... C'est moi qui te l'ordonne, v.367 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Et ton père, en vouloirs, ne le cède à personne. v.368 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Pauvre dupe ! À ce piège il était déjà pris ! v.369 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Tous ces Phoenix, pourtant, dont tu parais épris, v.370 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- À peu de frais, dit-on, ont fait tourner vos têtes : v.371 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Ils sont pétris d'orgueil, et l'orgueil les rend bêtes. v.372 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Que font-ils de si beau pour la société ? v.373 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Ils cabalent entr'eux, n'élèvent rien, détruisent ; v.375 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Proscriraient volontiers ceux qui les contredisent ; v.376 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Réforment, Dieu sait comme ! Et, toujours réformant, v.377 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Moi, tout ce que j'entends, me consterne et m'étonne. v.379 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Vous ne possédez plus qu'un jargon monotone, v.380 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Un esprit sec et dur, de la morgue, des mots ; v.381 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Des charlatans enfin, écoutés par des sots. v.382 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Où sont donc ces clartés si frappantes, si vives ? v.383 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Des Docteurs, il en pleut !... Mais, où sont vos convives ? v.384 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Depuis qu'on ne boit plus, tout va de pis en pis. v.385 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Nos Ancêtres étaient des gens d'une autre étoffe. v.387 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Révérés ?... Craints des uns, des autres abhorrés ; v.390 (Acte 1, scène 11, DORCI PÈRE)
- Voilà le vrai, Monsieur l'admirateur crédule. v.391 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- On m'avait, en passant, tracé leur ridicule, v.392 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Même plus d'une fois : mais ces récits confus, v.393 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Effleurant mon esprit, n'y tenaient déjà plus. v.394 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Quoi ! Des sages fameux... des gens profonds... v.397 (Acte 1, scène 11, DORCI FILS)
- Crains-tu de me fâcher ? Laisse-là tes rébus. v.398 (Acte 1, scène 11, DORCI PÈRE)
- Il me semble qu'ici la sagesse à la mode, v.399 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Des vices lucratifs, de grand coeur, s'accommode. v.400 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Pour mieux nuire, on se met sous de puissants abris ; v.405 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- On vend force venins, sous le beau nom d'écrits. v.406 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Par eux, de mille erreurs infectant la jeunesse, v.407 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- De l'État, que l'on trompe, on détruit la richesse. v.408 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Au fait : je t'interdis pareilles liaisons. v.409 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Que l'instinct des vertus, les soins patriotiques, v.411 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- T'éclairent sur l'esprit de ces froids Empiriques. v.412 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- J'ai saisi, dès longtemps, cette vérité-là. v.413 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- A-t-on besoin d'un guide ? Il faut le chercher là. v.414 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Il s'en échappe un cri, vainqueur de l'imposture, v.415 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Et l'on y trouve un code écrit par la nature. v.416 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Je ne suis pas savant ; mais, fidèle à l'honneur, v.417 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- L'attrait d'une âme droite, est plus sûr qu'un système. v.420 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Sois fier avec les grands, doux avec tes égaux. v.422 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Ce sont des titres vrais que cherche un vrai mérite. v.423 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Je prétends qu'on t'estime, et non pas qu'on te cite. v.424 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Jure, jure, en mes bras, de quitter les drapeaux v.425 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- De ces fourbes adroits, devenus tes héros. v.426 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Ne va point me donner, au terme de mon âge, v.427 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Le chagrin de te voir trancher du personnage ; v.428 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Sauvegarde des moeurs, chère à la probité ; v.430 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Et, perdant la candeur, qui dans toi m'intéresse, v.431 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- D'un ton préceptoral, régenter ma vieillesse. v.432 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Moi, mon père ! Qui, moi !... Dirigez votre fils ; v.433 (Acte 1, scène 11, DORCI FILS)
- Je n'apprendrai jamais qu'à vous être soumis. v.434 (Acte 1, scène 11, DORCI FILS)
- Bon, cela. Reste à voir Madame de Norville. v.435 (Acte 1, scène 11, DORCI PÈRE)
- Il faudra bien, morbleu, qu'elle change de style. v.436 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- De la bonne façon plaider tes intérêts : v.438 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Et, même après l'Hymen, songe à la rendre heureuse, v.440 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Au lieu d'un esprit fort, il lui faut un époux. v.442 (Acte 1, scène 11, DORCI P?RE)
- Je vais trouver la mère, elle entendra raison. v.446 (Acte 1, scène 11, DORCI PÈRE)
- Et n'êtes point sujet aux écarts du génie : v.451 (Acte 2, scène 1, CALLIDÈS)
- Vous l'avez bien prouvé par votre Tragédie. v.452 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Mais le talent n'est rien, et la conduite est tout. v.453 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Il faut vous observer sur vos règles de goût, v.454 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Changer d'opinions, fronder les plus admises, v.455 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Du vieux Littérateur dépouiller les sottises. v.456 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Prenez garde, Monsieur, le siècle est avancé. v.457 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- De certains préjugés il faudra vous défaire. v.459 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Estimés autrefois, modèles soi-disants, v.461 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Dans ces jours de raison, quels sont vos sentiments ? v.462 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Du point d'où vous partez, pesez les convenances, v.463 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Mesurez les progrès, et jugez les distances. v.464 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- En matière de goût, si vous le trouvez bon, v.465 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Cet attrait d'un esprit facile et désarmé. v.470 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- C'est ce duvet fragile, à la fleur attaché, v.473 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Par exemple, est-ce à moi de risquer un suffrage ? v.475 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Il semble se jouer autour du coeur humain ; v.477 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Des poètes, Corneille est, je crois, le premier. v.481 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Hors de l'humaine atteinte il a mis son laurier. v.482 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Son rival que j'adore, et qu'après lui je nomme, v.483 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Sans marcher sur sa trace, est encor un grand homme. v.484 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Si je me suis trompé, que mon guide m'éclaire. v.487 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Je marche encor dans l'ombre, et j'attends la lumière. v.488 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- De tout ce que j'entends, vous me voyez confus. v.489 (Acte 2, scène 1, CALLIDÈS)
- Tout cela fut jadis : mais tout cela n'est plus. v.490 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Corneille et ses héros sont des énergumènes. v.491 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Nous avions bien besoin de ses vertus Romaines ! v.492 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Il n'est rien de plus sot qu'un peuple conquérant, v.493 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Il a fait, si l'on veut, des scènes tolérables ; v.495 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Et comme, enfin, du style on est surtout frappé, v.497 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Vous aimez donc Rousseau ? Mais c'est une hérésie. v.499 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Quelques pâles lueurs de vieille poésie : v.500 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Voilà votre Pindare, infortuné rimeur, v.501 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Détrempant un vers sec avec des flots d'humeur. v.502 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Boileau, correct et froid, n'est point du tout sensible : v.503 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Bardus l'a décidé ; Bardus est infaillible. v.504 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Tout cela, cher Forlis, est plus que démontré : v.505 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- C'est de votre croyance un article sacré ; v.506 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- C'est l'arrêt que rendra, selon toute apparence, v.507 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- L'autre postérité que nous formons d'avance. v.508 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Eh bien ! Moi, j'en croyais deux arbitres puissants. v.509 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Le temps commence à nous, de l'instant où nous sommes. v.511 (Acte 2, scène 1, CALLIDÈS)
- Le temps est destructeur, et nous créons des hommes. v.512 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Quant au Public, son joug vous tient-il donc courbé ? v.513 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- On ne réussit point sans l'agrément des sages. v.516 (Acte 2, scène 1, CALLIDÈS)
- La médiocrité domine insolemment ; v.518 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Il vit dans l'abandon, ou meurt dans l'indigence. v.520 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Des vices que j'ignore ont produit tout cela. v.521 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Nous avons des tyrans : mais le public est-là. v.522 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Lui seul compose un corps qui demeure immobile. v.524 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Il aime le génie, il cède à la vertu : v.526 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Les solides honneurs, c'est lui qui les dispense : v.527 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Des réputations il tient seul la balance, v.528 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Et devient, tôt ou tard, dans ses droits affermi, v.529 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Des talents outragés, le vengeur et l'ami. v.530 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Je me disais cela : quel travers ! Quelle ivresse ! v.531 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Ce que c'est qu'un faux pli de l'aveugle jeunesse ! v.532 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Mais le soin obtient tout de la docilité. v.534 (Acte 2, scène 1, CALLIDÈS)
- Je m'abandonne à vous. v.535 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Vous saurez, avec nous, ce qu'il faut dénigrer. v.537 (Acte 2, scène 1, CALLIDÈS)
- Vous connaîtrez les gens qu'il convient d'admirer. v.538 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Après le coup d'éclat que vous venez de faire, v.539 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Mais rampez sous le Grand qui peut vous être utile. v.544 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Le mot d'humanité m'a fort bien réussi : v.545 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Vous pourrez, au besoin, vous en aider aussi. v.546 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- La tolérance alors entendit nos soupirs, v.549 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Et, couverts de son voile, on nous crut ses martyrs. v.550 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- De là notre pouvoir, longtemps problématique, v.551 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Souple dans son principe, v.552 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Aujourd'hui despotique. v.552 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Contre l'outrage, ainsi, quand on a su s'armer, v.553 (Acte 2, scène 1, CALLIDÈS)
- On parvient, à son tour, au moment d'opprimer, v.554 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- L'oppression, hélas ! est un droit littéraire: v.556 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Vous y viendrez un jour, pour chasser nos fléaux, v.557 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Et défendre l'esprit des attentats des sots. v.558 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Pour cela, ne cherchez que les cercles d'élite ; v.559 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Rien n'est indifférent : Voyez beaucoup AEglé ; v.561 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Car, il faut que de vous, chez elle on ait parlé, v.562 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Et jouir des honneurs attachés au génie. v.564 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Vous savez que de moi le sexe est adoré, v.565 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Quand l'esprit est chez lui par les grâces paré. v.566 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Ces traits ne sont pas ceux de l'AEglé qu'on renomme. v.567 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Que trouvez-vous donc là de si fort à blâmer ? v.569 (Acte 2, scène 1, CALLIDÈS)
- La jugez-vous, d'ailleurs, sur un bruit populaire ? v.571 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Embrassant, j'en conviens, des objets trop hardis, v.573 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Elle a quelques défauts ; mais elle a ses mardis. v.574 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- C'est, en un mot, Monsieur, les mardis qu'elle étonne. v.576 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Vous en aurez trop cru, Blunt, Ariste, Damis, v.577 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Ce sont de bons esprits ; leurs moeurs sont respectables. v.580 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Leurs écrits, en tout genre, étincellent de traits, v.581 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Et, sans nulle cabale, ils ont eu des succès. v.582 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Dans nos maisons jamais les a-t-on vu paraître ? v.584 (Acte 2, scène 1, CALLIDÈS)
- Ces succès prétendus sont des titres contre eux. v.585 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Mon Maître, permettez... Ne vaudrait-il pas mieux v.586 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Dussent tout au talent, et rien à la souplesse ? v.588 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Allassent à la gloire, en se donnant la main ; v.590 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- De l'émulation ressentissent la flamme, v.591 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Non ces feux de la haine, attisés dans leur âme ? v.592 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Ne vaudrait-il pas mieux, que, plein d'aménité, v.593 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- L'esprit, ce don du Ciel, fût joint a la bonté ? v.594 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Plus on est éclairé, plus on doit être juste. v.596 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Dieu ! Je m'avance trop... je m'égare... pardon... v.597 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Dites-moi, s'il vous plaît, l'homme aux belles chimères, v.599 (Acte 2, scène 1, CALLIDÈS)
- Comment, du Peuple Auteur, faire un Peuple de frères ? v.600 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- De ces visions-là qui vous a donc bercé ? v.601 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Dans la société, même la plus unie, v.603 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Sous la main du plus fort, le faible se débat. v.605 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Quand on commence à vivre, on commence un combat. v.606 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Et pour le bien du monde, il doit écraser l'autre. v.608 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Que dis-je ! C'en est fait : Forlis, ouvrez les yeux, v.609 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Aux fastes de mémoire inscrits tous à la file, v.611 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Et fouler à leurs pieds leurs rivaux abattus. v.613 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- Qui n'ont que des talents, des moeurs et des vertus. v.614 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Savent des grands objets descendre aux bagatelles. v.616 (Acte 2, scène 1, CALLIDÈS)
- Mon dernier rhume, enfin, fut mis dans les Journaux. v.618 (Acte 2, scène 1, CALLID?S)
- C'en est fait : je me rends ; ma docile ignorance, v.619 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Après, un tel discours, se soumet en silence. v.620 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Mon esprit désormais humblement vous croira, v.621 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Et vous ferez de moi tout ce qu'il vous plaira. v.622 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Puissé-je en être digne !... v.624 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Mais, comment ai-je pu, noble chef des Penseurs, v.625 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- Aux yeux de la sagesse exposer tant d'erreurs ? v.626 (Acte 2, scène 1, FORLIS)
- À propos de cela, v.629 (Acte 2, scène 2, DURCET)
- Que devient donc Furet ? Il devrait être là. v.630 (Acte 2, scène 2, DURCET)
- Mais il est occupé d'une très grande affaire. v.631 (Acte 2, scène 2, CALLIDÈS)
- L'issue en est douteuse, et je n'en attends guère. v.632 (Acte 2, scène 2, CALLID?S)
- Il fait impression sur les plus indociles. v.635 (Acte 2, scène 2, CALLID?S)
- Nous le détacherons dans les cas difficiles. v.636 (Acte 2, scène 2, CALLID?S)
- Ouf ! Ouf ! Je suis rendu. v.637 (Acte 2, scène 3, FURET)
- L'adresse est vaine, et l'espoir est perdu. v.638 (Acte 2, scène 3, FURET)
- Depuis deux jours, que dis-je ? aujourd'hui, le troisième, v.640 (Acte 2, scène 3, FURET)
- La réputation de ce maudit Mondor : v.642 (Acte 2, scène 3, FURET)
- Rien : cela ne rend pas ; on rit de mes grimaces. v.643 (Acte 2, scène 3, FURET)
- « En tout point, disent-ils, cet homme est un oison. v.645 (Acte 2, scène 3, FURET)
- Mais, Furet, prenez garde, il nous est nécessaire. v.647 (Acte 2, scène 3, CALLIDÈS)
- Encore un dernier soin. v.649 (Acte 2, scène 3, VERSAC)
- Je cède : mais, au moins, empêchez qu'il écrive ; v.652 (Acte 2, scène 3, FURET)
- Pour bien faire, il faudrait l'astreindre à parler peu : v.654 (Acte 2, scène 3, FURET)
- Car il ne finit pas, et parle, Dieu sait comme ! v.655 (Acte 2, scène 3, FURET)
- Faites qu'il soit muet, et j'en fais un grand homme. v.656 (Acte 2, scène 3, FURET)
- Faire taire un bavard ! Oh ! C'est trop exiger. v.657 (Acte 2, scène 3, CALLIDÈS)
- À propos, c'est le cas d'y songer... v.658 (Acte 2, scène 3, CALLIDÈS)
- À quoi ? Dites-nous donc ? v.659 (Acte 2, scène 3, VERSAC)
- Vit dans son cabinet ; il est pauvre, il est triste. v.660 (Acte 2, scène 3, CALLIDÈS)
- Il a fait des écrits qui sont assez goûtés, v.661 (Acte 2, scène 3, CALLID?S)
- Et qui, lorsqu'on voudra, lui seront contestés. v.662 (Acte 2, scène 3, CALLID?S)
- Sans entours, sans appui, tapi dans son asile, v.663 (Acte 2, scène 3, CALLID?S)
- Sa réputation lui devient inutile. v.664 (Acte 2, scène 3, CALLID?S)
- Il faut en disposer en faveur de Mondor. v.666 (Acte 2, scène 3, CALLID?S)
- Point d'inconvénient à cela. v.667 (Acte 2, scène 3, VERSAC)
- De grâce... v.667 (Acte 2, scène 3, FURET)
- Furet, un peu d'audace. v.668 (Acte 2, scène 3, CALLIDÈS)
- Nous le dirons ; d'abord, on nous démentira: v.669 (Acte 2, scène 3, CALLID?S)
- Je ne réponds de rien. v.671 (Acte 2, scène 3, FURET)
- Moi, de tout. v.671 (Acte 2, scène 3, CALLIDÈS)
- Vers l'immortalité Mondor fait un grand pas : v.673 (Acte 2, scène 3, FURET)
- Je sens bien, comme vous, qu'il faudra l'y contraindre. v.675 (Acte 2, scène 3, CALLIDÈS)
- Des oisifs, tant qu'on veut ; mais les sots sont à craindre. v.676 (Acte 2, scène 3, FURET)
- Dans le coeur le plus dur la louange se glisse : v.680 (Acte 2, scène 3, CALLIDÈS)
- Elle y coule, s'étend, l'épanouit enfin. v.681 (Acte 2, scène 3, CALLID?S)
- Quand il est bien loué, l'hébété se croit fin. v.682 (Acte 2, scène 3, CALLID?S)
- Je m'y suis attendu. La secte a ses apôtres; v.684 (Acte 2, scène 3, CALLID?S)
- Quelques jaloux obscurs se glissent dans Paris, v.689 (Acte 2, scène 3, CALLID?S)
- Et j'apporte à vos yeux la table des proscrits. v.690 (Acte 2, scène 3, CALLID?S)
- Le Rimeur Alcidas. v.692 (Acte 2, scène 3, CALLIDÈS)
- Je sais qu'il nous redoute. v.692 (Acte 2, scène 3, FURET)
- Il flotte, il tergiverse, on prétend qu'il est doux : v.693 (Acte 2, scène 3, CALLIDÈS)
- La tiédeur est coupable. v.695 (Acte 2, scène 3, VERSAC)
- Comment donc il nous courtise ? v.696 (Acte 2, scène 3, DURCET)
- C'est un esprit, dissous dans les frivolités, v.698 (Acte 2, scène 3, CALLIDÈS)
- Incapable d'essor, insensible au sublime, v.699 (Acte 2, scène 3, CALLID?S)
- Ayant l'air d'ignorer le prix de notre estime. v.700 (Acte 2, scène 3, CALLID?S)
- Dorvilé. v.701 (Acte 2, scène 3, CALLIDÈS)
- Il vient de réussir, sans m'en avoir parlé. v.702 (Acte 2, scène 3, CALLID?S)
- Ces fraudes-là, Messieurs, tirent à conséquence, v.703 (Acte 2, scène 3, CALLID?S)
- Et la société doit en tirer vengeance. v.704 (Acte 2, scène 3, CALLID?S)
- Que nous possédons seuls le tarif des succès. v.706 (Acte 2, scène 3, CALLID?S)
- Des sots, des plaisants détestables. v.707 (Acte 2, scène 3, CALLIDÈS)
- De l'Univers savant il faudra les bannir. v.710 (Acte 2, scène 3, CALLIDÈS)
- Vous, l'Abbé, dont la plume à tout est endurcie, v.711 (Acte 2, scène 3, CALLID?S)
- Ameutez Pétersbourg et son Académie. v.712 (Acte 2, scène 3, CALLID?S)
- Dépêchez ce Journal, encor trop indulgent, v.713 (Acte 2, scène 3, CALLID?S)
- L'art de la Prônerie, et l'art de la Satire. v.716 (Acte 2, scène 3, CALLID?S)
- Deux mots dans l'Inde, aussi, feraient un bon effet. v.718 (Acte 2, scène 3, CALLID?S)
- L'intrépide Furet, dont la haine a des ailes, v.719 (Acte 2, scène 3, CALLID?S)
- D'un hémisphère à l'autre enverra vingt libelles. v.720 (Acte 2, scène 3, CALLID?S)
- Broussin... maudit dormeur... Broussin, réveillez-vous. v.721 (Acte 2, scène 3, CALLID?S)
- Il a le sommeil dur ; conspirez avec nous. v.722 (Acte 2, scène 3, CALLID?S)
- Faites-les promptement haïr des électeurs. v.725 (Acte 2, scène 3, CALLIDÈS)
- J'ai des facilités, je le dis sans mystère, v.727 (Acte 2, scène 3, CALLID?S)
- Pour les faire abhorrer dans toute l'Angleterre. v.728 (Acte 2, scène 3, CALLID?S)
- Dans l'Univers entier nous font des partisans. v.730 (Acte 2, scène 3, CALLID?S)
- Cela n'empêche pas, que, toujours pleins de zèle, v.731 (Acte 2, scène 3, CALLID?S)
- La paix, la douce paix, seul trésor des humains, v.733 (Acte 2, scène 3, CALLID?S)
- Le_Contrat_Social, et ses noeuds les plus saints. v.734 (Acte 2, scène 3, CALLID?S)
- Tels sont mes sentiments : vous connaissez, du reste, v.735 (Acte 2, scène 3, CALLID?S)
- Les voeux d'une âme simple et d'un esprit modeste. v.736 (Acte 2, scène 3, CALLID?S)
- Dans cette circonstance il faut se déchaîner ; v.737 (Acte 2, scène 3, CALLID?S)
- Mais, si l'on nous admire, il faudra pardonner. v.738 (Acte 2, scène 3, CALLID?S)
- Tandis qu'il nous parlait, soit dit sans hyperbole, v.739 (Acte 2, scène 3, DURCET)
- Charme de l'union ! Quel groupe ! Il m'attendrit. v.741 (Acte 2, scène 3, VERSAC)
- Diable ! Le bel effet ! v.742 (Acte 2, scène 3, BROUSSIN)
- Sans la bonté du coeur ! v.743 (Acte 2, scène 3, FURET)
- C'est ce que j'allais dire. v.743 (Acte 2, scène 3, CALLIDÈS)
- Vous ne répondez rien. v.745 (Acte 2, scène 3, FURET)
- Hem ! Qu'est-ce ? Hem ! J'entends mal ; mais je comprends fort bien. v.746 (Acte 2, scène 3, BROUSSIN)
- Madame, excusez-moi si j'ai forcé la porte. v.747 (Acte 2, scène 4, DORCI PÈRE)
- Un valet incivil, et que le Diable emporte, v.748 (Acte 2, scène 4, DORCI P?RE)
- M'a dit d'un ton capable, « on ne peut entrer là. » v.749 (Acte 2, scène 4, DORCI P?RE)
- Il ne sait ce qu'il dit : car enfin m'y voilà. v.750 (Acte 2, scène 4, DORCI P?RE)
- Ils s'aiment, vous savez qu'ils doivent être unis, v.753 (Acte 2, scène 4, DORCI P?RE)
- Peut-être ai-je tardé : mais vous avez, je pense, v.755 (Acte 2, scène 4, MADAME DE NORVILLE)
- Plutôt que de coutume, ouvert votre séance. v.756 (Acte 2, scène 4, MADAME DE NORVILLE)
- D'agir pour la concorde et pour l'humanité. v.758 (Acte 2, scène 4, MADAME DE NORVILLE)
- Le divin Colonel m'a tenu compagnie ; v.760 (Acte 2, scène 4, MADAME DE NORVILLE)
- Rien n'est plus instructif ! Quelle érudition ! v.762 (Acte 2, scène 4, MADAME DE NORVILLE)
- Unique ! Il a vanté mes extraits de chimie, v.763 (Acte 2, scène 4, MADAME DE NORVILLE)
- Rangé mes papillons, parlé d'Astronomie ; v.764 (Acte 2, scène 4, MADAME DE NORVILLE)
- Il s'est mis à jouer de mon harmonica. v.766 (Acte 2, scène 4, MADAME DE NORVILLE)
- J'oubliais... sur les grains il m'a promis d'écrire. v.767 (Acte 2, scène 4, MADAME DE NORVILLE)
- Ah ! j'attends son volume, et brûle de m'instruire. v.768 (Acte 2, scène 4, MADAME DE NORVILLE)
- Que d'esprit ! v.769 (Acte 2, scène 4, DURCET)
- Que de grâce ! v.769 (Acte 2, scène 4, VERSAC)
- Eh ! Messieurs, point du tout ; v.769 (Acte 2, scène 4, MADAME DE NORVILLE)
- La figure passable, avec un peu de goût. v.770 (Acte 2, scène 4, MADAME DE NORVILLE)
- À propos, voudrez-vous protéger cet ouvrage ? v.771 (Acte 2, scène 4, MADAME DE NORVILLE)
- Badin ? D'un des nôtres, je gage. v.772 (Acte 2, scène 4, FURET)
- Faut-il lire, ou parler avant que d'avoir lu ? v.774 (Acte 2, scène 4, CALLIDÈS)
- Optez : mon amitié ne veut rien qui déplaise. v.775 (Acte 2, scène 4, MADAME DE NORVILLE)
- Voudrez-vous un instant laisser vos papillons, v.777 (Acte 2, scène 4, DORCI PÈRE)
- Ma fille est, Monsieur, d'une extrême jeunesse. v.779 (Acte 2, scène 4, MADAME DE NORVILLE)
- Eh ! Bon Dieu ! Rien ne presse. v.780 (Acte 2, scène 4, MADAME DE NORVILLE)
- Tout presse pour Dorci, car il est amoureux. v.781 (Acte 2, scène 4, DORCI)
- Qui peut vous engager à retarder ces noeuds ? v.782 (Acte 2, scène 4, DORCI)
- Nuls motifs de délais, et de terminer, mille. v.784 (Acte 2, scène 4, DORCI)
- Dans un autre temps, v.785 (Acte 2, scène 4, MADAME DE NORVILLE)
- Nous parlerons, Monsieur, de ces arrangements. v.786 (Acte 2, scène 4, MADAME DE NORVILLE)
- Quels sont donc, s'il vous plaît, vos propos d'importance ? v.788 (Acte 2, scène 4, DORCI)
- Que d'aimer, d'élever, d'établir ses enfants ? v.790 (Acte 2, scène 4, DORCI)
- Je ne devine pas quels plaisirs sont les vôtres ; v.791 (Acte 2, scène 4, DORCI)
- Mais ce sont-là les miens, je n'en connais point d'autres. v.792 (Acte 2, scène 4, DORCI)
- J'ai défendu mon Roi, j'ai servi mon pays, v.793 (Acte 2, scène 4, DORCI)
- Et je veux maintenant le bonheur de mon fils. v.794 (Acte 2, scène 4, DORCI)
- Avez-vous remarqué le progrès des lumières ? v.796 (Acte 2, scène 4, CALLIDÈS)
- Acquiert on plus d'ensemble, a-t-on des résultats ? v.797 (Acte 2, scène 4, CALLID?S)
- Je ne vous entends pas. v.798 (Acte 2, scène 4, DORCI)
- Avec ces grands mots-là vous croyez me confondre ; v.799 (Acte 2, scène 4, DORCI)
- Mais, non Messieurs, j'en ris ; c'est, je crois, vous répondre. v.800 (Acte 2, scène 4, DORCI)
- Et de si mauvais ton ! v.802 (Acte 2, scène 4, DURCET)
- Écoutez-moi, de grâce... v.803 (Acte 2, scène 4, DORCI)
- Dans ces lieux, en effet, je me crois déplacé. v.806 (Acte 2, scène 4, DORCI)
- Je suis édifié de l'humeur de vos sages ; v.807 (Acte 2, scène 4, DORCI)
- Ces faux clinquants d'esprit dont ce siècle a brillé ; v.810 (Acte 2, scène 4, DORCI)
- Mais la candeur, la foi, l'amitié respectable, v.811 (Acte 2, scène 4, DORCI)
- L'antique loyauté que l'on traite de fable ; v.812 (Acte 2, scène 4, DORCI)
- Respectant ses devoirs, obéissant aux lois ; v.814 (Acte 2, scène 4, DORCI)
- Des services rendus, des moeurs héréditaires ; v.815 (Acte 2, scène 4, DORCI)
- L'honneur enfin, l'honneur, ce trésor de nos pères. v.816 (Acte 2, scène 4, DORCI)
- En attendant, Messieurs, retenez bien ceci : v.817 (Acte 2, scène 4, DORCI)
- J'ai vu des fous partout ; mais partout, moins qu'ici. v.818 (Acte 2, scène 4, DORCI)
- Qu'entends-je ! Ah ! Pardonnez. v.819 (Acte 2, scène 5, MADAME DE NORVILLE)
- Mais ce qu'il vient de dire, est, je crois, une injure. v.820 (Acte 2, scène 5, DURCET)
- Cela va s'ébruiter ; notre honneur est perdu. v.821 (Acte 2, scène 5, DURCET)
- Qu'est-ce que l'on a dit ? v.822 (Acte 2, scène 5, VERSAC)
- Je n'ai rien entendu. v.822 (Acte 2, scène 5, BROUSSIN)
- Je vais, à ce sujet, entretenir Madame. v.824 (Acte 2, scène 5, CALLIDÈS)
- Et même, j'entrevois qu'il peut produire un bien. v.826 (Acte 2, scène 6, CALLIDÈS)
- Refusez votre fille au fils de ce sauvage. v.827 (Acte 2, scène 6, CALLID?S)
- Aux esprits animaux il doit tout son courage. v.828 (Acte 2, scène 6, CALLID?S)
- Un Mousse est plus pour lui qu'un Sénat de savants, v.829 (Acte 2, scène 6, CALLID?S)
- Vous avez un prétexte à manquer de parole. v.831 (Acte 2, scène 6, CALLID?S)
- Mon mari se plaindra. v.832 (Acte 2, scène 6, MADAME DE NORVILLE)
- Depuis quand ces égards pour les maris grondeurs ? v.833 (Acte 2, scène 6, CALLIDÈS)
- Il faut donner Hortense à l'un de nos Messieurs: v.834 (Acte 2, scène 6, CALLID?S)
- À Versac, par exemple ; il est plein de mérite. v.835 (Acte 2, scène 6, CALLID?S)
- Voilà d'où vient ce silence éternel. v.838 (Acte 2, scène 6, CALLIDÈS)
- Il me dit l'autre jour : « paroles hasardées, v.839 (Acte 2, scène 6, CALLID?S)
- Sont autant de larcins qu'on fait à ses idées. » v.840 (Acte 2, scène 6, CALLID?S)
- Eh bien ! Décidez-vous : v.841 (Acte 2, scène 6, CALLIDÈS)
- La législation, et je le crains d'avance, v.843 (Acte 2, scène 6, MADAME DE NORVILLE)
- Et nous tenons Paris avec vos deux maisons. v.846 (Acte 2, scène 6, CALLIDÈS)
- Votre main, du Parnasse ouvrira les barrières ; v.847 (Acte 2, scène 6, CALLID?S)
- Des Licurgues naissants vous tiendrez les lisières. v.848 (Acte 2, scène 6, CALLID?S)
- Nous fixerons chez vous le banquet des élus. v.850 (Acte 2, scène 6, CALLID?S)
- Et réglerons nos choix d'après vos préférences. v.852 (Acte 2, scène 6, CALLID?S)
- Ceux que vous prônerez seront toujours divins ; v.853 (Acte 2, scène 6, CALLID?S)
- Ceux que vous proscrirez essuieront nos dédains. v.854 (Acte 2, scène 6, CALLID?S)
- Nos arrêts dépendront de votre fantaisie : v.855 (Acte 2, scène 6, CALLID?S)
- Des Socrates nouveaux vous ferez l'Aspasie ; v.856 (Acte 2, scène 6, CALLID?S)
- Pour la Littérature affliger deux amants, v.862 (Acte 2, scène 6, MADAME DE NORVILLE)
- Que vous dépouillerez tous ces vieux préjugés, v.865 (Acte 2, scène 6, CALLIDÈS)
- Pour qui les grands objets sont toujours négligés. v.866 (Acte 2, scène 6, CALLID?S)
- Venez ; dans ce moment, je ne puis rien répondre, v.867 (Acte 2, scène 6, MADAME DE NORVILLE)
- Je ne discerne rien ; tout sert à me confondre: v.868 (Acte 2, scène 6, MADAME DE NORVILLE)
- Quel tact ! Oh, ce poème est vraiment fort de choses. v.872 (Acte 3, scène 1, MADAME DE NORVILLE)
- Racine le cherchait, et Damon l'a trouvé. v.874 (Acte 3, scène 1, MADAME DE NORVILLE)
- Enfin, voilà des vers, des formes poétiques, v.875 (Acte 3, scène 1, MADAME DE NORVILLE)
- Et des transitions tout-à-fait didactiques. v.876 (Acte 3, scène 1, MADAME DE NORVILLE)
- Quel train cela va faire ! Oui, l'auteur est divin. v.877 (Acte 3, scène 1, MADAME DE NORVILLE)
- Mais, que ne dois-je point à notre illustre secte ! v.879 (Acte 3, scène 1, MADAME DE NORVILLE)
- Tout l'esprit de la France est ici rassemblé, v.881 (Acte 3, scène 1, MADAME DE NORVILLE)
- Et j'ai toujours bien dit, avant d'avoir parlé. v.882 (Acte 3, scène 1, MADAME DE NORVILLE)
- Que vois-je ? Encor Dorci, tout bouffi de colère ! v.883 (Acte 3, scène 2, MADAME DE NORVILLE)
- Dieu ! Quel homme illettré ! Que lui dire, et qu'en faire ? v.884 (Acte 3, scène 2, MADAME DE NORVILLE)
- Hé bien, Madame, hé bien! m'en ferez-vous raison? v.885 (Acte 3, scène 2, DORCI PÈRE)
- Ils ont été, Monsieur, scandalisés du vôtre. v.887 (Acte 3, scène 2, MADAME DE NORVILLE)
- Celui de vos meilleurs est aussi trop biZarre. v.891 (Acte 3, scène 2, DORCI PÈRE)
- Ils parlent, Dieu me damne, une langue barbare v.892 (Acte 3, scène 2, DORCI P?RE)
- Eux-mêmes, quelquefois, ils ne s'entendent pas. v.894 (Acte 3, scène 2, DORCI P?RE)
- D'ailleurs, s'ils ne faisaient que des énigmes, passe ; v.895 (Acte 3, scène 2, DORCI P?RE)
- J'en devine parfois : mais ils sont pleins d'audace. v.896 (Acte 3, scène 2, DORCI P?RE)
- Qu'ils viennent sur mon bord, je les régalerai. v.897 (Acte 3, scène 2, DORCI P?RE)
- Il est certains égards que je leur apprendrai. v.898 (Acte 3, scène 2, DORCI P?RE)
- L'éloquence du coeur est dans la bonhomie. v.900 (Acte 3, scène 2, DORCI P?RE)
- Je crois qu'avec de l'âme, on n'est jamais un sot. v.902 (Acte 3, scène 2, DORCI P?RE)
- De traits d'humanité tous leurs écrits fourmillent. v.904 (Acte 3, scène 2, MADAME DE NORVILLE)
- C'est par-là qu'ils m'ont plu. De mille préjugés v.905 (Acte 3, scène 2, MADAME DE NORVILLE)
- Les esprits sont par eux, à la fin, dégagés. v.906 (Acte 3, scène 2, MADAME DE NORVILLE)
- La vérité tardive est au moins aperçue ; v.907 (Acte 3, scène 2, MADAME DE NORVILLE)
- De tous les droits de l'homme on connaît l'étendue. v.908 (Acte 3, scène 2, MADAME DE NORVILLE)
- De faire tout aller du fond d'un cabinet. v.910 (Acte 3, scène 2, MADAME DE NORVILLE)
- En dépit des clameurs, contre eux si peu fondées, v.911 (Acte 3, scène 2, MADAME DE NORVILLE)
- Dieu merci ! Nous touchons au règne des idées. v.912 (Acte 3, scène 2, MADAME DE NORVILLE)
- Et, de mon boudoir, moi, j'apprends à gouverner. v.914 (Acte 3, scène 2, MADAME DE NORVILLE)
- Nous préserve le Ciel de voir l'intolérance v.915 (Acte 3, scène 2, MADAME DE NORVILLE)
- Vouloir inquiéter leur sage indépendance ! v.916 (Acte 3, scène 2, MADAME DE NORVILLE)
- Détruire les abus, écarter les orages, v.919 (Acte 3, scène 2, MADAME DE NORVILLE)
- Mais, si de leurs bienfaits le cours est suspendu, v.921 (Acte 3, scène 2, MADAME DE NORVILLE)
- L'esprit humain s'arrête, et le monde est perdu. v.922 (Acte 3, scène 2, MADAME DE NORVILLE)
- Hem ! Ne voilà-t-il pas de leurs mots emphatiques ! v.923 (Acte 3, scène 2, DORCI PÈRE)
- Quoi que puissent conter ces bavards dogmatiques, v.924 (Acte 3, scène 2, DORCI P?RE)
- Le monde ira sans eux : leur système, leur goût, v.925 (Acte 3, scène 2, DORCI P?RE)
- Et leur prose, et leurs vers n'y feront rien du tout. v.926 (Acte 3, scène 2, DORCI P?RE)
- Et puis, de ces objets croit-on qu'ils s'entretiennent ? v.927 (Acte 3, scène 2, DORCI P?RE)
- Ils en riront d'autant. J'ai vu dans leurs propos, v.929 (Acte 3, scène 2, DORCI P?RE)
- Descendons aux devoirs plus rapprochés de nous. v.933 (Acte 3, scène 2, DORCI P?RE)
- Soyez douce, indulgente ; en un mot, soyez vous. v.934 (Acte 3, scène 2, DORCI P?RE)
- Et leurs beaux entretiens, parfois vides de sens. v.938 (Acte 3, scène 2, DORCI P?RE)
- Norville a de l'humeur, ces noeuds vont la calmer ! v.941 (Acte 3, scène 2, DORCI P?RE)
- Et ces deux chers enfants, comme ils vont vous aimer ! v.942 (Acte 3, scène 2, DORCI P?RE)
- Tenez, d'avance, moi, j'en pleure de tendresse. v.944 (Acte 3, scène 2, DORCI P?RE)
- Ensemble nous vivrons comme d'anciens amis, v.945 (Acte 3, scène 2, DORCI P?RE)
- Sans gêne, sans débats, surtout sans beaux esprits. v.946 (Acte 3, scène 2, DORCI P?RE)
- Importuner l'État de leurs doctes sornettes. v.948 (Acte 3, scène 2, DORCI P?RE)
- Nous, songeons au solide ; il faut tenir aux siens. v.949 (Acte 3, scène 2, DORCI P?RE)
- Je crois qu'on n'est heureux, qu'à force de liens. v.950 (Acte 3, scène 2, DORCI P?RE)
- De leur sublimité nous avons bien à faire ! v.952 (Acte 3, scène 2, DORCI P?RE)
- Il nous faut du bonheur, rien qui soit compassé, v.953 (Acte 3, scène 2, DORCI P?RE)
- Et des plaisirs, surtout, pour un âge avancé. v.954 (Acte 3, scène 2, DORCI P?RE)
- Pour les moeurs d'autre fois, vous êtes plein de zèle, v.955 (Acte 3, scène 2, MADAME DE NORVILLE)
- Et vous venez d'en faire un tableau très fidèle, v.956 (Acte 3, scène 2, MADAME DE NORVILLE)
- Quoi, sans nul examen, faut-il qu'on se décide ? v.959 (Acte 3, scène 2, MADAME DE NORVILLE)
- L'examen est de trop, lorsque le coeur nous guide. v.960 (Acte 3, scène 2, DORCI)
- Il faut, avant d'agir, penser très mûrement. v.961 (Acte 3, scène 2, MADAME DE NORVILLE)
- Que bien discrètement on vient de me remettre. v.964 (Acte 3, scène 3, LE VALET)
- Cette pièce... il est tard... que mes chevaux soient mis. v.965 (Acte 3, scène 3, MADAME DE NORVILLE)
- Je sors, mais dans la confiance, v.967 (Acte 3, scène 3, DORCI)
- Que je verrai l'Hymen de mon fils et d'Hortense. v.968 (Acte 3, scène 3, DORCI)
- Adieu ; Norville attend, et je vais l'assurer v.969 (Acte 3, scène 3, DORCI)
- « MADAME, prenez garde : on cabale, on intrigue, v.971 (Acte 3, scène 4, MADAME DE NORVILLE)
- Le génie est en butte à tant de détracteurs ! v.973 (Acte 3, scène 4, MADAME DE NORVILLE)
- L'homme est épouvanté du rayon qui l'éclaire ; v.975 (Acte 3, scène 4, MADAME DE NORVILLE)
- On n'aura qu'ébauché le bonheur de la terre. v.976 (Acte 3, scène 4, MADAME DE NORVILLE)
- De ce que je saurai, j'irai vous avertir : v.977 (Acte 3, scène 4, MADAME DE NORVILLE)
- Ah ! Pour mes pauvres nerfs voilà de l'exercice ! v.980 (Acte 3, scène 4, MADAME DE NORVILLE)
- On ne peut donc pas être utile impunément ! v.981 (Acte 3, scène 4, MADAME DE NORVILLE)
- Bagatelle ! Écoutez, et tâchez de comprendre..... v.983 (Acte 3, scène 5, CALLIDÈS)
- Le fleuve se répand ; mais la source, où la prendre ? v.984 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- De l'univers entier nous sommes citoyens. v.986 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- Nous étaye au besoin de l'utile anonyme. v.988 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- D'une ombre favorable on sait s'envelopper, v.989 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- Pour servir des ingrats, et pour leur échapper. v.990 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- Oui, oui, Messieurs les sots, il faudra, s'il vous plaît, v.993 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- Que le monde s'éclaire, en dépit qu'il en ait. v.994 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- La sagesse dicta ; nous n'avons fait qu'écrire. v.996 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- Nous protégeons les Grands, protecteurs autrefois. v.997 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- Les bords les plus lointains sont régis par nos lois. v.998 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- Des climats opposés où nos pareils abondent, v.999 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- De la célébrité les échos se répondent ; v.1000 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- Et, quand nous le voulons, notre zèle hardi v.1001 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- Fait prospérer le nord aux dépens du midi. v.1002 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- Pardon... Je me livrais à des craintes vulgaires. v.1003 (Acte 3, scène 5, MADAME DE NORVILLE)
- Qui ? Moi ! Moi ! Par vous-même admise à ces mystères ! v.1004 (Acte 3, scène 5, MADAME DE NORVILLE)
- Je sens que je devrais tomber à vos genoux. v.1005 (Acte 3, scène 5, MADAME DE NORVILLE)
- Vous savez tout entendre, et l'on peut tout vous dire. v.1007 (Acte 3, scène 5, CALLIDÈS)
- Le célèbre Uranis vient encor de m'écrire v.1008 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- Une lettre pour Stell, l'autre, contre Damis. v.1009 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- Il fait même au-delà de ce qu'il a promis. v.1010 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- Je tiens les clefs du Temple, il en est la colonne. v.1012 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- Lassant la Renommée, à force de succès, v.1014 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- Pour nous, de son crédit, il faut bien qu'il dispose, v.1015 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- Presque tous les dix jours, d'après mon gazetin, v.1017 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- Il prononce, en riant, les arrêts du Destin. v.1018 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- De mes intentions il veut que je l'instruise : v.1019 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- Il a l'air de régner, et nous régnons par lui. v.1022 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- Quel plaisir d'exercer son âme bienfaisante ! v.1023 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- Nous dressons le théâtre où lui seul représente. v.1024 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- Sa main, pour nous guider, tient encor le flambeau, v.1025 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- Et notre autel s'élève au bord de son tombeau. v.1026 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- C'est ainsi que j'emploie, au service des nôtres, v.1027 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- La bassesse des uns, et la grandeur des autres. v.1028 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- Aussi, tous ces ressorts entrent dans mon système. v.1031 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- Vous avez de ces mots qui vont tout droit à l'âme, v.1035 (Acte 3, scène 5, MADAME DE NORVILLE)
- Vous sentez bien, Madame, v.1036 (Acte 3, scène 5, CALLIDÈS)
- Qu'entre nous deux ceci doit être renfermé. v.1037 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- Redoutez Célimène, et Bélise, et Fatmé. v.1038 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- Elles sont mes fléaux... Bavardes éternelles... v.1039 (Acte 3, scène 5, MADAME DE NORVILLE)
- Dieu m'en préserve ! v.1042 (Acte 3, scène 5, CALLIDÈS)
- Oh ! Non, on s'en était douté. v.1042 (Acte 3, scène 5, MADAME DE NORVILLE)
- Mais, si vous l'exigez, il faudra bien céder. v.1045 (Acte 3, scène 5, MADAME DE NORVILLE)
- Après cet entretien, je dois tout accorder. v.1046 (Acte 3, scène 5, MADAME DE NORVILLE)
- Comment ? Qui donc ? v.1047 (Acte 3, scène 5, MADAME DE NORVILLE)
- Il est sans frein, sans moeurs ; mais il aura du style. v.1048 (Acte 3, scène 5, CALLIDÈS)
- Je suis dans le secret ; eh ! Madame, tant mieux. v.1050 (Acte 3, scène 5, CALLIDÈS)
- Le public peu sévère, en dispensant la gloire, v.1051 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- Et qui d'ailleurs, l'orgueil, mobile des vertus, v.1053 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- Est d'obligation, d'après nos instituts. v.1054 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- J'en use avec succès au profit de la secte : v.1055 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- Regardez Dorilas, au front grave et hautain. v.1057 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- Où donc en serait-il, s'il n'eût pas été vain ? v.1058 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- Allait en faire autant... il s'en est rendu maître. v.1060 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- Ce public, à présent, consacre ce qu'il dit : v.1061 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- C'est, à force d'orgueil, qu'il s'est mis en crédit. v.1062 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- Le Ciel, pour nous servir, l'a fait tomber des nues. v.1064 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- Du vrai goût qui chancelle il est le seul soutien. v.1066 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- Que faire ? S'il persiste à nous vendre sa plume, v.1067 (Acte 3, scène 5, CALLID?S)
- Vous me persuadez, et je suis sans défense : v.1071 (Acte 3, scène 5, MADAME DE NORVILLE)
- Le moyen de tenir contre tant d'éloquence ! v.1072 (Acte 3, scène 5, MADAME DE NORVILLE)
- D'avoir un chef, un juge, un ami tel que vous ! v.1074 (Acte 3, scène 5, MADAME DE NORVILLE)
- Ceci peut occuper le temps de mon absence. v.1076 (Acte 3, scène 6, MADAME DE NORVILLE)
- Et même il serait bon de m'en faire un extrait. v.1078 (Acte 3, scène 6, MADAME DE NORVILLE)
- C'est de la poésie, v.1080 (Acte 3, scène 7, FINETTE)
- Vous n'êtes pas d'humeur à vous former le goût, v.1082 (Acte 3, scène 7, FINETTE)
- Félicitez-moi donc sur ma nouvelle adresse. v.1083 (Acte 3, scène 7, FINETTE)
- Madame dans le piège a donné, Dieu merci, v.1085 (Acte 3, scène 7, FINETTE)
- Courage ! Applaudis-toi. v.1087 (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
- Mon_Dieu ! Plus de vingt fois ma mère me l'a lue ; v.1088 (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
- Mais, si Dorci m'aimait, il n'aurait pas, je crois, v.1089 (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
- Fait d'aussi jolis vers pour une autre que moi. v.1090 (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
- Eh mais ! Écoutez donc... v.1091 (Acte 3, scène 7, FINETTE)
- Dans ces vers que j'admire, v.1091 (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
- Madame est son Hébé... ce titre est légitime. v.1095 (Acte 3, scène 7, FINETTE)
- Votre mère, entre nous, a beaucoup de fraîcheur, v.1097 (Acte 3, scène 7, FINETTE)
- Un grand oeil qui s'explique, et qui suppose un coeur. v.1098 (Acte 3, scène 7, FINETTE)
- Enfin, elle est encor dans l'âge où l'on doit plaire ; v.1100 (Acte 3, scène 7, FINETTE)
- Et je la crois, d'honneur, aussi jeune que vous. v.1102 (Acte 3, scène 7, FINETTE)
- Dorci n'est qu'un fou de soupirer pour elle v.1104 (Acte 3, scène 7, FINETTE)
- Pourquoi feindre ? Achevez. v.1105 (Acte 3, scène 7, FINETTE)
- Je ne dis point cela. v.1105 (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
- Je dis..... v.1106 (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
- Qu'on n'entend rien à ces madrigaux-là. v.1106 (Acte 3, scène 7, FINETTE)
- Pourquoi de son talent m'avoir fait un mystère ? v.1107 (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
- C'est un charme de plus qu'il n'a pas dû, me taire. v.1108 (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
- Et, malgré lui, du moins, ce plaisir m'est resté. v.1110 (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
- Depuis ce tendre hommage, à nos voeux est contraire, v.1112 (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
- Ou plutôt aux miens seuls : elle a changé d'avis v.1113 (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
- Sur l'Hymen que Dorci promettait à son fils, v.1114 (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
- Ah ! Dieu ! Qu'entends-je ! v.1115 (Acte 3, scène 7, FINETTE)
- Le joli choix ! J'enrage, et ceci nous dérange. v.1116 (Acte 3, scène 7, FINETTE)
- Il faut vous préserver de cet affreux destin : v.1117 (Acte 3, scène 7, FINETTE)
- Versac et sa séquelle y perdront leur latin. v.1118 (Acte 3, scène 7, FINETTE)
- Oui, vraiment ! Il leur faut des femmes agréables, v.1119 (Acte 3, scène 7, FINETTE)
- À ces francs enjôleurs plus malins que des Diables. v.1120 (Acte 3, scène 7, FINETTE)
- Mais, je ne voudrais pas d'un savant pour époux. v.1122 (Acte 3, scène 7, FINETTE)
- On peut rire et jaser sans avoir tant d'esprit. v.1126 (Acte 3, scène 7, FINETTE)
- On vient : Ciel ! C'est Dorci. v.1127 (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
- Dissipez ce nuage. v.1127 (Acte 3, scène 7, FINETTE)
- Mademoiselle, enfin, j'ai su vaincre l'orage, v.1128 (Acte 3, scène 8, DORCI FILS)
- Qui m'écarta longtemps... Mais quoi ! Quelle froideur ? v.1129 (Acte 3, scène 8, DORCI FILS)
- Est-ce là de quel prix vous payez mon ardeur ? v.1130 (Acte 3, scène 8, DORCI FILS)
- A-t-on des yeux pour les gens qu'on déteste ? v.1131 (Acte 3, scène 8, FINETTE)
- J'entends... Écoutez, ô seul objet que j'aime, v.1135 (Acte 3, scène 8, DORCI)
- Excusez de mon coeur l'innocent stratagème. v.1136 (Acte 3, scène 8, DORCI)
- L'ouvrage dont on parle, est d'un autre que moi. v.1137 (Acte 3, scène 8, DORCI)
- Oui, c'est trop différer l'aveu que je vous dois. v.1138 (Acte 3, scène 8, DORCI)
- Il n'était qu'un moyen, sans doute, pardonnable, v.1139 (Acte 3, scène 8, DORCI)
- De paraître en ces lieux, un objet plus aimable, v.1140 (Acte 3, scène 8, DORCI)
- De ne voir, de n'aimer, de n'adorer que vous. v.1142 (Acte 3, scène 8, DORCI)
- Eh ! Je voulais (on a l'art de se taire,) v.1143 (Acte 3, scène 8, FINETTE)
- Quoi ! J'ai pu... pardonnez... v.1147 (Acte 3, scène 8, HORTENSE)
- De nos savants voici la salle d'assemblée. v.1148 (Acte 3, scène 8, FINETTE)
- De ces moments furtifs que l'amour a surpris ; v.1150 (Acte 3, scène 8, FINETTE)
- Ils ignorent le prix d'un soupir qui s'échappe, v.1151 (Acte 3, scène 8, FINETTE)
- D'un regard qu'on obtient, ou d'un mot qu'on attrape. v.1152 (Acte 3, scène 8, FINETTE)
- Oh ! Nous sommes perdus, et je crois les entendre. v.1155 (Acte 3, scène 8, FINETTE)
- Cher Dorci, s'ils allaient nous surprendre ! v.1156 (Acte 3, scène 8, HORTENSE)
- Miséricorde ! Il lorgne ! v.1161 (Acte 3, scène 9, FINETTE)
- On peut, si vous voulez, vous apprendre à penser. v.1162 (Acte 3, scène 9, DURCET)
- Il faut que je leur joue un tour de mon métier. v.1166 (Acte 3, scène 9, FINETTE)
- Un minois suffit pour le séduire... v.1167 (Acte 3, scène 10, CALLIDÈS)
- Mais j'approfondis, moi, tout ce qui peut vous nuire. v.1168 (Acte 3, scène 10, CALLID?S)
- Souvent un maître aveugle, épris des grands talents, v.1169 (Acte 3, scène 10, CALLID?S)
- À des valets sans goût, qui sont très insolents. v.1170 (Acte 3, scène 10, CALLID?S)
- Et, sans le moindre égard pour le docte vallon, v.1173 (Acte 3, scène 10, CALLID?S)
- L'antichambre flétrit les lauriers du salon : v.1174 (Acte 3, scène 10, CALLID?S)
- Dont la langue vous pique, et dont l'oeil vous talonne. v.1176 (Acte 3, scène 10, CALLID?S)
- Écoutez : celle-ci voudrait vous voir chasser, v.1177 (Acte 3, scène 10, CALLID?S)
- Et je pense qu'on peut aider à l'expulser. v.1178 (Acte 3, scène 10, CALLID?S)
- Vous complotiez ; mais, moi, quand elles sont gentilles, v.1179 (Acte 3, scène 10, BROUSSIN)
- Je veux qu'on soit, du moins, tolérant pour les filles. v.1180 (Acte 3, scène 10, BROUSSIN)
- J'écrirai là-dessus.... v.1181 (Acte 3, scène 10, BROUSSIN)
- Tu fus législateur beaucoup moins que despote. v.1184 (Acte 3, scène 10, VERSAC)
- Ton code insuffisant est détruit par le mien. v.1186 (Acte 3, scène 10, VERSAC)
- Ou, si vous l'aimez mieux : l'Univers du Génie. v.1188 (Acte 3, scène 10, VERSAC)
- Et les feux de la ligne, et l'horreur des frimas. v.1190 (Acte 3, scène 10, VERSAC)
- Cette main défricha des régions incultes, v.1191 (Acte 3, scène 10, VERSAC)
- Je leur donne des lois ; j'en attends des autels. v.1194 (Acte 3, scène 10, VERSAC)
- Oui, j'ai fait un corps sain, d'un corps faible et malade. v.1195 (Acte 3, scène 10, VERSAC)
- Un village, un royaume, une simple peuplade, v.1196 (Acte 3, scène 10, VERSAC)
- Tout est réglé, conduit par le même ressort. v.1197 (Acte 3, scène 10, VERSAC)
- C'est un mouvement doux, qui, donné sans effort, v.1198 (Acte 3, scène 10, VERSAC)
- Chasse et pousse au dehors les vices clandestins... v.1201 (Acte 3, scène 10, VERSAC)
- Et voilà ce qui fait le bonheur des humains ! v.1202 (Acte 3, scène 10, VERSAC)
- Pour laisser admirer, si vous vouliez vous taire. v.1204 (Acte 3, scène 10, CALLIDÈS)
- Comme si, d'un coup d'oeil, et d'un esprit distrait, v.1205 (Acte 3, scène 10, CALLID?S)
- Oui, vous avez saisi le principe de vie, v.1208 (Acte 3, scène 10, CALLID?S)
- Ces masses, ces accords d'où résulte le beau. v.1209 (Acte 3, scène 10, CALLID?S)
- Cet écrit est vraiment marqué de notre sceau. v.1210 (Acte 3, scène 10, CALLID?S)
- C'est encor moi, Messieurs ; quand on doit, on s'acquitte, v.1211 (Acte 3, scène 11, DORCI PÈRE)
- Et vous allez savoir d'où vous vient ma visite. v.1212 (Acte 3, scène 11, DORCI P?RE)
- J'apprends que l'un de vous, ce n'est plus un secret, v.1213 (Acte 3, scène 11, DORCI P?RE)
- Une telle noirceur, sans doute, est littéraire. v.1215 (Acte 3, scène 11, DORCI P?RE)
- Dissertez sur ce point, ce n'est pas mon affaire. v.1216 (Acte 3, scène 11, DORCI P?RE)
- Je dois la prévenir, par devoir, par pitié. v.1217 (Acte 3, scène 11, DORCI P?RE)
- Dorci vous admirait, l'en voilà bien payé ! v.1218 (Acte 3, scène 11, DORCI P?RE)
- Hortense, de tout temps, à ses voeux fut promise ; v.1219 (Acte 3, scène 11, DORCI P?RE)
- De tels droits sont sacrés, et je ne prétends pas v.1221 (Acte 3, scène 11, DORCI P?RE)
- Que vous disiez un mot, que vous fassiez un pas v.1222 (Acte 3, scène 11, DORCI P?RE)
- Le célibat convient et sied à la sagesse. v.1224 (Acte 3, scène 11, DORCI P?RE)
- Régentez l'univers, d'accord ; à vous permis; v.1225 (Acte 3, scène 11, DORCI P?RE)
- Mais ne vous mêlez pas des amours de mon fils. v.1226 (Acte 3, scène 11, DORCI P?RE)
- Tenez, cela vous passe. Il doit, en conscience, v.1227 (Acte 3, scène 11, DORCI P?RE)
- Vous, l'auteur du complot, homme illustre et profond, v.1229 (Acte 3, scène 11, DORCI P?RE)
- Trêve aux préparatifs, ou je vous coule à fond. v.1230 (Acte 3, scène 11, DORCI P?RE)
- Tâchez de vous rasseoir : voyons, réfléchissons; v.1233 (Acte 3, scène 11, CALLIDÈS)
- Tous ces emportements ne sont pas des raisons. v.1234 (Acte 3, scène 11, CALLID?S)
- Comment, réfléchissons! ce flegme est admirable. v.1235 (Acte 3, scène 11, DORCI PÈRE)
- Je veux des procédés, et non pas des raisons. v.1238 (Acte 3, scène 11, DORCI P?RE)
- Morbleu, s'ils m'avaient fait un tour de cette espèce, v.1239 (Acte 3, scène 11, DORCI P?RE)
- J'aurais exterminé les sept sages de Grèce ! v.1240 (Acte 3, scène 11, DORCI P?RE)
- Il faut donc... v.1241 (Acte 3, scène 11, CALLIDÈS)
- Être juste. Oui, sans trop différer, v.1241 (Acte 3, scène 11, DORCI PÈRE)
- Je vous laisse un instant pour en délibérer. v.1242 (Acte 3, scène 11, DORCI P?RE)
- Je gage que cet homme est difficile à vivre. v.1244 (Acte 3, scène 12, BROUSSIN)
- Nul goût, pas une idée, aveuglement total ! v.1245 (Acte 3, scène 12, CALLIDÈS)
- Automate étranger dans l'univers moral! v.1246 (Acte 3, scène 12, CALLID?S)
- Ah çà, voici l'instant, où de la Comédie v.1247 (Acte 3, scène 12, DURCET)
- De Monsieur_Floridor le destin s'expédie. v.1248 (Acte 3, scène 12, DURCET)
- Des pièges de la mort j'ai su l'envelopper. v.1250 (Acte 3, scène 12, DURCET)
- Nous avons pour nous de braves émissaires, v.1251 (Acte 3, scène 12, DURCET)
- De ces gens exercés, cabaleurs honoraires. v.1252 (Acte 3, scène 12, DURCET)
- Que serait-ce de nous, s'il allait réussir? v.1253 (Acte 3, scène 12, DURCET)
- Ils ne le lâcheront qu'à son dernier soupir. v.1254 (Acte 3, scène 12, DURCET)
- On vient de la huer à triple carillon. v.1257 (Acte 3, scène 13, FINETTE)
- L'Auteur s'est, dans sa loge, évanoui, dit-on, v.1258 (Acte 3, scène 13, FINETTE)
- Même, on dit qu'il est mort ; les connaisseurs en chute v.1259 (Acte 3, scène 13, FINETTE)
- De mémoire d'auteur. Le Parterre inhumain, v.1261 (Acte 3, scène 13, FINETTE)
- Par excès de malice, a voulu voir la fin. v.1262 (Acte 3, scène 13, FINETTE)
- Ce pauvre Floridor. v.1263 (Acte 3, scène 13, FINETTE)
- Esprit enluminé de la couleur du temps, v.1265 (Acte 3, scène 13, DURCET)
- Le voilà donc tombé! v.1267 (Acte 3, scène 13, CALLIDÈS)
- Je vois qu'à ma nouvelle on prend assez de goût ; v.1269 (Acte 3, scène 13, FINETTE)
- Mais, Messieurs, je vous trompe, et ne sais rien du tout. v.1270 (Acte 3, scène 13, FINETTE)
- Qu'entends-je? v.1271 (Acte 3, scène 13, CALLIDÈS)
- Un atome, avoir cette impudence ! v.1271 (Acte 3, scène 14, DURCET)
- Il faudra châtier cet excès d'insolence. v.1272 (Acte 3, scène 14, DURCET)
- Que sait-on ? De ce coup je suis tout étourdi. v.1273 (Acte 3, scène 14, VERSAC)
- Si ce bourreau d'Auteur allait être applaudi ! v.1274 (Acte 3, scène 14, CALLIDÈS)
- J'ai mis ordre à cela. Non, il aura beau faire. v.1275 (Acte 3, scène 14, DURCET)
- On vous reconnaît là. C'est un trait de confrère. v.1276 (Acte 3, scène 14, CALLIDÈS)
- Le fade ou le bouffon, tout prospère aujourd'hui. v.1277 (Acte 3, scène 14, VERSAC)
- Le public fait d'abord expier son ennui ; v.1278 (Acte 3, scène 14, VERSAC)
- Mais, dès le lendemain, il vient crier merveille, v.1279 (Acte 3, scène 14, VERSAC)
- Son désastre est pour nous un point trop important. v.1282 (Acte 3, scène 14, DURCET)
- Mais ceci, ce me semble, est d'un sinistre augure! v.1284 (Acte 3, scène 15, VERSAC)
- Plus de foi, plus d'honneur ! C'est nous qu'on a joués. v.1286 (Acte 3, scène 15, FURET)
- Ô détresse ! v.1287 (Acte 3, scène 15, VERSAC)
- Nous faisons tout net le sujet de la pièce. v.1288 (Acte 3, scène 15, FURET)
- Il faut voir de quel ton Callidès est berné ! v.1290 (Acte 3, scène 15, FURET)
- Broussin, tout de son long, y transit dans sa niche ; v.1291 (Acte 3, scène 15, FURET)
- Déroute entière ? v.1293 (Acte 3, scène 15, VERSAC)
- De mes propres sifflets, ils m'ont sifflé moi-même. v.1296 (Acte 3, scène 15, FURET)
- Dans l'action, nous avons tous péri. v.1297 (Acte 3, scène 15, FURET)
- Ce Parterre insolent, vrai fléau du génie, v.1299 (Acte 3, scène 15, FURET)
- A manqué de respect à la Philosophie. v.1300 (Acte 3, scène 15, FURET)
- Madame_de_Norville.... v.1301 (Acte 3, scène 15, FURET)
- S'obstine à la montrer d'un doigt persécuteur. v.1302 (Acte 3, scène 15, FURET)
- La cruauté s'en mêle, et succède à l'éloge. v.1303 (Acte 3, scène 15, FURET)
- Par une volte-face on désigne sa loge. v.1304 (Acte 3, scène 15, FURET)
- Toute l'horreur enfin, tout l'effroi d'une affaire, v.1307 (Acte 3, scène 15, FURET)
- Dieu! qui vois leurs revers, permets qu'ils soient vengés. v.1310 (Acte 3, scène 15, FURET)
- Ce Drame qu'il a lu, v.1313 (Acte 3, scène 15, FURET)
- Il va dans tout Paris raconter notre histoire. v.1316 (Acte 3, scène 15, FURET)
- Quoi donc ? v.1318 (Acte 3, scène 15, FURET)
- On nous arrache un masque, il faut en prendre un autre. v.1320 (Acte 3, scène 15, CALLIDÈS)
- On n'a rien vu d'égal à ce train-là ! v.1321 (Acte 3, scène 16, MADAME DE NORVILLE)
- Voilà donc ce qu'on gagne à montrer du génie ! v.1323 (Acte 3, scène 16, MADAME DE NORVILLE)
- Faut-il les voir, les fuir ? Que faire désormais ? v.1325 (Acte 3, scène 16, MADAME DE NORVILLE)
- Pourquoi ? Cet accident est un bonheur, peut-être. v.1328 (Acte 3, scène 16, MONSIEUR DE NORVILLE)
- Il doit vous éclairer, et vous montrer l'erreur v.1329 (Acte 3, scène 16, MONSIEUR DE NORVILLE)
- De l'esprit qui n'est point dirigé par le coeur. v.1330 (Acte 3, scène 16, MONSIEUR DE NORVILLE)
- Ma femme, on vous retient sur le bord de l'abîme ; v.1331 (Acte 3, scène 16, MONSIEUR DE NORVILLE)
- Et, si vous le voulez, je vous rends mon estime, v.1332 (Acte 3, scène 16, MONSIEUR DE NORVILLE)
- Que l'Hymen de ma fille et de son digne amant. v.1334 (Acte 3, scène 16, MONSIEUR DE NORVILLE)
- Tout comme il vous plaira : décidez. v.1335 (Acte 3, scène 16, MADAME DE NORVILLE)
- Ah ! Madame. v.1335 (Acte 3, scène 16, HORTENSE)
- Croyez-moi ; désormais, laissez agir votre âme. v.1336 (Acte 3, scène 16, MONSIEUR DE NORVILLE)
- Je fais ce que je dois. v.1337 (Acte 3, scène 16, MADAME DE NORVILLE)
- Elle n'est point de moi ; v.1338 (Acte 3, scène 16, DORCI FILS)
- Elle est de Floridor, c'est encore une adresse. v.1339 (Acte 3, scène 16, DORCI FILS)
- Ce Monsieur Floridor me poursuit donc sans cesse? v.1340 (Acte 3, scène 16, MADAME DE NORVILLE)
- Sa pièce, à quand ? J'irai. v.1341 (Acte 3, scène 16, DORCI PÈRE)
- Il faut que vous daigniez me pardonner aussi; v.1342 (Acte 3, scène 16, FORLIS)
- Car j'étais du complot. v.1343 (Acte 3, scène 16, FORLIS)
- Allons..; voguons gaiement.. tout nous devient propice. v.1344 (Acte 3, scène 16, DORCI PÈRE)
- Pour être heureux, il faut, à ses devoirs soumis, v.1345 (Acte 3, scène 16, DORCI P?RE)
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Dans les 1895 textes du corpus, il y a 4 textes (soit une présence dans 0,21 % des textes) dans lesquels il y a 3573 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 893,25 occurences par texte.
n° | Titres | Acte 1 | Acte 2 | Acte 3 | Acte 5 | Total |
1 | LA FEINTE PAR AMOUR | 236 | 281 | 190 | 0 | 707 |
2 | RÉGULUS | 212 | 211 | 161 | 0 | 584 |
3 | LE CÉLIBATAIRE | 502 | 307 | 268 | 269 | 1346 |
4 | LES PRÔNEURS OU LE TARTUFFE LITTÉRAIRE | 320 | 294 | 322 | 0 | 936 |
Total | 1270 | 1093 | 941 | 269 | 3573 |